Contenu
Notre programme qualité
Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.
Description de l’état d’un livre :
Très bon :
- Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
- Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
- Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées
- La couverture est en parfait étatVous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !
Bon:
- Livre déjà lu et usagé
- Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
- Aucune page n’est manquante
- La couverture est intacte
Correct:
- Livre usagé avec des marques d’usure visibles (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
- Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
- Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
- La couverture de protection peut être manquante
Le Pitch
Présentation
Lire les chroniques dePulphead, c’est grimper à bord d’un camping-car de neuf mètres de long pour rejoindre les ados d’un festival de rock chrétien. C’est dormir sous le même toit qu’un vieux fou, le dernier des Agrarians, chef de file des écrivains du sud des États-Unis. S’interroger sur l’art en sifflant des cocktails dans une boîte branchée aux côtés du Miz, star de la téléréalité. Croiser la solitude de Michael Jackson ou celle des sans-abris après Katrina. C’est se demander pourquoi Axl Rose, né au milieu de nulle part, est devenu Axl Rose, le chanteur des Guns N’Roses. Se frayer un chemin dans une manifestation pour protester contre la réforme du système de santé américain. C’est, dans la fumée jamaïquaine, à Kingston, distinguer les dreadlocks de Bunny Wailer, l’unique survivant du groupe de Bob Marley. S’enfoncer dans des grottes du Tennessee à la recherche des origines de l’homme. C’est aussi écouter en boucle un blues des années 30, pour essayer de retrouver, malgré le disque rayé, un mot inaudible perdu quelque part dans l’histoire.En quatorze chroniques détonantes, John Jeremiah Sullivan décline sa quête de l’identité américaine, fouillant dans les entrailles de sa culture pop, scientifique, underground ou littéraire pour répondre à des questions universelles : Qui sommes-nous ? De quoi sommes-nous faits ?
Si sa plume l’élève au rang des hérauts du nouveau journalisme, John Jeremiah Sullivan a su trouver son propre regard, dans lequel l’intelligence, la curiosité et le charme le disputent à une bienveillance stupéfiante pour ses contemporains.
Le Pitch
Présentation
Lire les chroniques dePulphead, c’est grimper à bord d’un camping-car de neuf mètres de long pour rejoindre les ados d’un festival de rock chrétien. C’est dormir sous le même toit qu’un vieux fou, le dernier des Agrarians, chef de file des écrivains du sud des États-Unis. S’interroger sur l’art en sifflant des cocktails dans une boîte branchée aux côtés du Miz, star de la téléréalité. Croiser la solitude de Michael Jackson ou celle des sans-abris après Katrina. C’est se demander pourquoi Axl Rose, né au milieu de nulle part, est devenu Axl Rose, le chanteur des Guns N’Roses. Se frayer un chemin dans une manifestation pour protester contre la réforme du système de santé américain. C’est, dans la fumée jamaïquaine, à Kingston, distinguer les dreadlocks de Bunny Wailer, l’unique survivant du groupe de Bob Marley. S’enfoncer dans des grottes du Tennessee à la recherche des origines de l’homme. C’est aussi écouter en boucle un blues des années 30, pour essayer de retrouver, malgré le disque rayé, un mot inaudible perdu quelque part dans l’histoire.En quatorze chroniques détonantes, John Jeremiah Sullivan décline sa quête de l’identité américaine, fouillant dans les entrailles de sa culture pop, scientifique, underground ou littéraire pour répondre à des questions universelles : Qui sommes-nous ? De quoi sommes-nous faits ?
Si sa plume l’élève au rang des hérauts du nouveau journalisme, John Jeremiah Sullivan a su trouver son propre regard, dans lequel l’intelligence, la curiosité et le charme le disputent à une bienveillance stupéfiante pour ses contemporains.