Qualité
Notre programme qualité
Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.
Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.
Description de l’état d’un livre :
Très bon :
- Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
- Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
- Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées
- La couverture est en parfait état
- Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !
Bon:
- Livre déjà lu et usagé
- Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
- Aucune page n’est manquante
- La couverture est intacte
Correct:
- Livre usagé avec des marques d’usure visibles (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
- Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
- Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
- La couverture de protection peut être manquante
Le Pitch
Comment se libérer de la croissance du Pib ?
Du léger rebond de croissance observé, on attend l’emploi, la prospérité, l’équilibre budgétaire, les hausses de pouvoir d’achat… Et il faudrait toujours plus« libérer la croissance » des contraintes que le droit social, la protection sociale, la fiscalité ou les interdits environnementaux font peser sur la compétitivité des entreprises... L’inversion est complète entre la fin et les moyens.
L’heure n’est-elle pas venue, au contraire, de se libérer de la croissance, de cet imaginaire d’un toujours plus au prix de la destruction desécosystèmes, au prix d’inégalités abyssales, pour se donner un autre cap : celui d’un bien vivre en prenant soin les uns des autres et de« notre maison commune » ?
Ces dernières décennies ont vu naître de nombreux indicateurs pourmesurer le bien-être et la qualité de vie–à l’échelle locale, nationale ou internationale. Avec quelle incidence ? Pourquoi la croissance du Pib est-elle si addictive ? Comment mobiliser les indicateurs alternatifs qui existent désormais dans la prise de décision publique. Comment s’y prennent les collectivités, lesÉtats qui innovent en la matière ? Comment faire en sorte que ces nouveaux indicateurs deviennent de véritables leviers de transformation sociale etécologique ?
Du léger rebond de croissance observé, on attend l’emploi, la prospérité, l’équilibre budgétaire, les hausses de pouvoir d’achat… Et il faudrait toujours plus« libérer la croissance » des contraintes que le droit social, la protection sociale, la fiscalité ou les interdits environnementaux font peser sur la compétitivité des entreprises... L’inversion est complète entre la fin et les moyens.
L’heure n’est-elle pas venue, au contraire, de se libérer de la croissance, de cet imaginaire d’un toujours plus au prix de la destruction desécosystèmes, au prix d’inégalités abyssales, pour se donner un autre cap : celui d’un bien vivre en prenant soin les uns des autres et de« notre maison commune » ?
Ces dernières décennies ont vu naître de nombreux indicateurs pourmesurer le bien-être et la qualité de vie–à l’échelle locale, nationale ou internationale. Avec quelle incidence ? Pourquoi la croissance du Pib est-elle si addictive ? Comment mobiliser les indicateurs alternatifs qui existent désormais dans la prise de décision publique. Comment s’y prennent les collectivités, lesÉtats qui innovent en la matière ? Comment faire en sorte que ces nouveaux indicateurs deviennent de véritables leviers de transformation sociale etécologique ?
Le Pitch
Comment se libérer de la croissance du Pib ?
Du léger rebond de croissance observé, on attend l’emploi, la prospérité, l’équilibre budgétaire, les hausses de pouvoir d’achat… Et il faudrait toujours plus« libérer la croissance » des contraintes que le droit social, la protection sociale, la fiscalité ou les interdits environnementaux font peser sur la compétitivité des entreprises... L’inversion est complète entre la fin et les moyens.
L’heure n’est-elle pas venue, au contraire, de se libérer de la croissance, de cet imaginaire d’un toujours plus au prix de la destruction desécosystèmes, au prix d’inégalités abyssales, pour se donner un autre cap : celui d’un bien vivre en prenant soin les uns des autres et de« notre maison commune » ?
Ces dernières décennies ont vu naître de nombreux indicateurs pourmesurer le bien-être et la qualité de vie–à l’échelle locale, nationale ou internationale. Avec quelle incidence ? Pourquoi la croissance du Pib est-elle si addictive ? Comment mobiliser les indicateurs alternatifs qui existent désormais dans la prise de décision publique. Comment s’y prennent les collectivités, lesÉtats qui innovent en la matière ? Comment faire en sorte que ces nouveaux indicateurs deviennent de véritables leviers de transformation sociale etécologique ?
Du léger rebond de croissance observé, on attend l’emploi, la prospérité, l’équilibre budgétaire, les hausses de pouvoir d’achat… Et il faudrait toujours plus« libérer la croissance » des contraintes que le droit social, la protection sociale, la fiscalité ou les interdits environnementaux font peser sur la compétitivité des entreprises... L’inversion est complète entre la fin et les moyens.
L’heure n’est-elle pas venue, au contraire, de se libérer de la croissance, de cet imaginaire d’un toujours plus au prix de la destruction desécosystèmes, au prix d’inégalités abyssales, pour se donner un autre cap : celui d’un bien vivre en prenant soin les uns des autres et de« notre maison commune » ?
Ces dernières décennies ont vu naître de nombreux indicateurs pourmesurer le bien-être et la qualité de vie–à l’échelle locale, nationale ou internationale. Avec quelle incidence ? Pourquoi la croissance du Pib est-elle si addictive ? Comment mobiliser les indicateurs alternatifs qui existent désormais dans la prise de décision publique. Comment s’y prennent les collectivités, lesÉtats qui innovent en la matière ? Comment faire en sorte que ces nouveaux indicateurs deviennent de véritables leviers de transformation sociale etécologique ?
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