Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Dans la disruption

Broché - LIENS LIBERENT - 480 pages - Publication: 11 mai 2016

Audience
Adulte - Haut niveau

Le Pitch

Pourquoi notre monde est-il en train de devenir fou ? Bernard Stiegler commet ici son livre fondamental sur les ressorts d’une société qui a vendu le souci d’humanisation au diable d’une technologie aveugle. Avec la connexion planétaire des ordinateurs, des smartphones et des foules que tout cela forme, les organisations sociales et les individus qui tentent de s’approprier l’évolution foudroyante de la technologie arrivent toujours trop tard – à tel point qu’elles sont à présent au bord de l’effondrement. C’est ce que l’on appelle la disruption. Cette immense puissance installe un immense sentiment d’impuissance qui rend fou.Quatrième de couverturePourquoi notre monde est-il en train de devenir fou ? Bernard Stiegler commet ici son livre fondamental sur les ressorts d’une société qui a vendu le souci d’humanisation au diable d’une technologie aveugle. Avec la connexion planétaire des ordinateurs, des smartphones et des foules que tout cela forme, les organisations sociales et les individus qui tentent de s’approprier l’évolution foudroyante de la technologie arrivent toujours trop tard – à tel point qu’elles sont à présent au bord de l’effondrement. C’est ce que l’on appelle la disruption. Cette immense puissance installe un immense sentiment d’impuissance qui rend fou.Dans la disruption, les organisations sociales se désintègrent. Or les individus psychiques ne peuvent pas vivre raisonnablement hors des processus d’individuation collective qui forment les systèmes sociaux. Il résulte de cet état de fait un désordre mental qui incline au délire de mille manières – sur un fond de désespoir où prolifèrent des types extraordinairement violents et meurtriers de folie. C’est ce dont la France découvre à présent la terrible réalité.Ces sombres évolutions radicalisent les contradictions de l’Anthropocène, où ne cesse de s’aggraver le retard structurel des systèmes sociaux sur le système technique qui, en les désintégrant, désinihibe systémiquement les pulsions. Avec la réticulation numérique, le système technique qui s’est totalement planétarisé porte ainsi l’épreuve que Nietzsche annonçait sous le nom de nihilisme à son acmé. La disruption d’un côté et la folie qu’elle suscite de l’autre constituent deux formes de barbarie qui se nourrissent l’une l’autre – ce que Theodor Adorno et Max Horkheimer virent venir dès 1944. La pensée de cet état de fait passe par une relecture de l’Histoire de la folie à l’âge classique de Michel Foucault, par une analyse des arguments que lui avait opposés Jacques Derrida, et par un dialogue avec Peter Sloterdijk décrivant l’histoire du capitalisme comme le déploiement d’un immense processus de désinhibition organisant une « propension à la folie » (cf. Le palais de cristal).La question de la folie est l’épreuve de l’hubris (ὕϐρις), qui est toujours elle-même la conséquence de la technicité des êtres non-inhumains, et dont la disruption, comme dernière période de l’Anthropocène, est la radicalisation. Pour la première fois, le philosophe livre quelques éléments biographiques – notamment sur ses années d’incarcération pour braquage – pour alimenter son propos sur la prison comme vecteur de radicalisation et de haine. Un diagnostic d’une très grande lucidité !
Détails du livre
Contenu
Auteur

Dans la disruption

Broché - LIENS LIBERENT - 480 pages - Publication: 11 mai 2016

État
 
 
Il ne reste plus que 1 exemplaire(s) en stock
24,00 € - 60 %
Prix réduit9,51 € Prix normal

Livraison

Livré entre : 8 octobre - 11 octobre
Livraison gratuite (FR et BE) à partir de 20 €

Retour GRATUIT sous 14 jours.


Paiement sécurisé

Achat engagé

Produit collecté et traité en France.

1382 g de CO2eq en moins par rapport au neuf.

Le Pitch

Pourquoi notre monde est-il en train de devenir fou ? Bernard Stiegler commet ici son livre fondamental sur les ressorts d’une société qui a vendu le souci d’humanisation au diable d’une technologie aveugle. Avec la connexion planétaire des ordinateurs, des smartphones et des foules que tout cela forme, les organisations sociales et les individus qui tentent de s’approprier l’évolution foudroyante de la technologie arrivent toujours trop tard – à tel point qu’elles sont à présent au bord de l’effondrement. C’est ce que l’on appelle la disruption. Cette immense puissance installe un immense sentiment d’impuissance qui rend fou.Quatrième de couverturePourquoi notre monde est-il en train de devenir fou ? Bernard Stiegler commet ici son livre fondamental sur les ressorts d’une société qui a vendu le souci d’humanisation au diable d’une technologie aveugle. Avec la connexion planétaire des ordinateurs, des smartphones et des foules que tout cela forme, les organisations sociales et les individus qui tentent de s’approprier l’évolution foudroyante de la technologie arrivent toujours trop tard – à tel point qu’elles sont à présent au bord de l’effondrement. C’est ce que l’on appelle la disruption. Cette immense puissance installe un immense sentiment d’impuissance qui rend fou.Dans la disruption, les organisations sociales se désintègrent. Or les individus psychiques ne peuvent pas vivre raisonnablement hors des processus d’individuation collective qui forment les systèmes sociaux. Il résulte de cet état de fait un désordre mental qui incline au délire de mille manières – sur un fond de désespoir où prolifèrent des types extraordinairement violents et meurtriers de folie. C’est ce dont la France découvre à présent la terrible réalité.Ces sombres évolutions radicalisent les contradictions de l’Anthropocène, où ne cesse de s’aggraver le retard structurel des systèmes sociaux sur le système technique qui, en les désintégrant, désinihibe systémiquement les pulsions. Avec la réticulation numérique, le système technique qui s’est totalement planétarisé porte ainsi l’épreuve que Nietzsche annonçait sous le nom de nihilisme à son acmé. La disruption d’un côté et la folie qu’elle suscite de l’autre constituent deux formes de barbarie qui se nourrissent l’une l’autre – ce que Theodor Adorno et Max Horkheimer virent venir dès 1944. La pensée de cet état de fait passe par une relecture de l’Histoire de la folie à l’âge classique de Michel Foucault, par une analyse des arguments que lui avait opposés Jacques Derrida, et par un dialogue avec Peter Sloterdijk décrivant l’histoire du capitalisme comme le déploiement d’un immense processus de désinhibition organisant une « propension à la folie » (cf. Le palais de cristal).La question de la folie est l’épreuve de l’hubris (ὕϐρις), qui est toujours elle-même la conséquence de la technicité des êtres non-inhumains, et dont la disruption, comme dernière période de l’Anthropocène, est la radicalisation. Pour la première fois, le philosophe livre quelques éléments biographiques – notamment sur ses années d’incarcération pour braquage – pour alimenter son propos sur la prison comme vecteur de radicalisation et de haine. Un diagnostic d’une très grande lucidité !
Détails du livre
Contenu
Auteur

Vous pouvez également aimer

Récemment consultés