Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Nous, les enfants de 1986

Broché - WARTBERG - 63 pages - Publication: 28 février 2013

GROSSI, MATHIEU (Auteur)

Le Pitch

Présentation de l'éditeur C'était un temps où nous regardions le futur avec excitation et curiosité : le temps de notre enfance, de notre adolescence. Avec ce livre, replongez dans vos dix-huit premières années... Enfants de 1986 : On nous a appelé «génération Y» ou «enfants du millénaire». Nous sommes aussi des digital natives, nés juste à temps pour assister au boom des nouvelles technologies. Et des enfants du XXe siècle, que nous avons vu se faire liquider en direct avec la fin de la guerre froide et les attentats du World Trade Center. Aujourd'hui piégés dans une perpétuelle crise d'adolescence, nous aimons tous nous rappeler nos premières années. Car si l'âge adulte, c'est un peu d'la carotte, l'enfance, c'était d'la balle... Mathieu Grossi, lui-même né en 1986, vous entraîne dans le passé. Avec lui, revisitez l'enfance et ses attentes, l'adolescence et ses espoirs, sans oublier les événements politiques et sociaux qui secouaient alors la France et le monde. Extrait Un bon départ Une époque festive Les premières années de notre vie ne nous reviennent que grâce aux anecdotes, aux restes de décorations entreposés dans les greniers, aux polaroïds jaunâtres, aux diapos qu'on regarde face à la fenêtre ou aux photos prises sur une pellicule 12, 24 ou 36 poses. Si on a de la chance, on peut aussi visionner quelques films tournés en Super 8 ou avec une «vraie» caméra Hi-8 de deux kilos, équipée d'un périscope à embout en caoutchouc où nos parents apercevaient à peine ce qu'ils filmaient. En me fondant sur ces sources aussi diverses qu'incertaines, je crois pouvoir affirmer que l'année de notre naissance fut remplie de rayures et de losanges. C'était la mode du moment. Les murs, les chemises et les chaînes de télévision étaient couverts de formes géométriques. Ces bariolages étaient le plus souvent vert pétant, jaune pâle ou fuchsia, et quelquefois noir et blanc, pour faire comme dans les années 1960. La femme typique des années 1980 aimait boire des cocktails colorés et pétillants et porter des tailleurs émeraude, c'est-à-dire verdâtres. Elle avait une mâchoire légèrement carrée, une allure sportive, et était plus dure en affaires que ses collègues mâles. Soucieuse de vivre avec son temps, elle ponctuait tous ses déjeuners d'un petit rail de cocaïne, drogue à jamais associée à cette décennie. Voilà pour le cliché. En réalité, c'était assez différent. Les femmes étaient indépendantes et dynamiques, certes, voire mères célibataires, mais elles n'étaient pas toutes traders à Wall Street. Elles portaient souvent des chemises et des pantalons bouffants en tissu léger. Une certaine luxuriance capillaire était de mise : il fallait avoir un maximum de cheveux et les faire boucler le plus possible. Je me rappelle aussi que beaucoup des femmes avaient une voix très nasillarde. Si vos enregistrements familiaux d'époque ne vous apprennent rien sur le sujet, écoutez les débuts du «Club Dorothée» en 1987 ou Les Brunes comptent pas pour des prunes, le tube de 1986 cancané par Lio. Quant à ces messieurs, ils étaient souvent amateurs de mouvements musicaux alternatifs comme le punk ou la new wave, et payaient cette fidélité d'une exubérance esthétique où le sens du ridicule était étouffé sous plusieurs couches de laque. Si toutefois votre père avait déjà renoncé à afficher des signes d'appartenance à un quelconque sous-groupe culturel, c'est qu'il avait encore honte de sa période adolescente pattes d'eph' ou baba cool - cette précision pour vous permettre de vous moquer quand même de lui. Dernier détail : votre jeune papa avait peut-être un fort accent franchouillard. Cette façon de parler, loin d'être l'apanage des beaufs, participait d'un style de vie, d'un mode de pensée et d'un humour prolétaires dont beaucoup de nos parents étaient fiers. Biographie de l'auteur Mathieu Grossi a passé une enfance tumultueuse aux quatre coins de la France, enchaînant les écoles en tout genre, de la ZEP au collège privé. Après le b
Détails du livre
Auteur

Nous, les enfants de 1986

Broché - WARTBERG - 63 pages - Publication: 28 février 2013

GROSSI, MATHIEU (Auteur)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur C'était un temps où nous regardions le futur avec excitation et curiosité : le temps de notre enfance, de notre adolescence. Avec ce livre, replongez dans vos dix-huit premières années... Enfants de 1986 : On nous a appelé «génération Y» ou «enfants du millénaire». Nous sommes aussi des digital natives, nés juste à temps pour assister au boom des nouvelles technologies. Et des enfants du XXe siècle, que nous avons vu se faire liquider en direct avec la fin de la guerre froide et les attentats du World Trade Center. Aujourd'hui piégés dans une perpétuelle crise d'adolescence, nous aimons tous nous rappeler nos premières années. Car si l'âge adulte, c'est un peu d'la carotte, l'enfance, c'était d'la balle... Mathieu Grossi, lui-même né en 1986, vous entraîne dans le passé. Avec lui, revisitez l'enfance et ses attentes, l'adolescence et ses espoirs, sans oublier les événements politiques et sociaux qui secouaient alors la France et le monde. Extrait Un bon départ Une époque festive Les premières années de notre vie ne nous reviennent que grâce aux anecdotes, aux restes de décorations entreposés dans les greniers, aux polaroïds jaunâtres, aux diapos qu'on regarde face à la fenêtre ou aux photos prises sur une pellicule 12, 24 ou 36 poses. Si on a de la chance, on peut aussi visionner quelques films tournés en Super 8 ou avec une «vraie» caméra Hi-8 de deux kilos, équipée d'un périscope à embout en caoutchouc où nos parents apercevaient à peine ce qu'ils filmaient. En me fondant sur ces sources aussi diverses qu'incertaines, je crois pouvoir affirmer que l'année de notre naissance fut remplie de rayures et de losanges. C'était la mode du moment. Les murs, les chemises et les chaînes de télévision étaient couverts de formes géométriques. Ces bariolages étaient le plus souvent vert pétant, jaune pâle ou fuchsia, et quelquefois noir et blanc, pour faire comme dans les années 1960. La femme typique des années 1980 aimait boire des cocktails colorés et pétillants et porter des tailleurs émeraude, c'est-à-dire verdâtres. Elle avait une mâchoire légèrement carrée, une allure sportive, et était plus dure en affaires que ses collègues mâles. Soucieuse de vivre avec son temps, elle ponctuait tous ses déjeuners d'un petit rail de cocaïne, drogue à jamais associée à cette décennie. Voilà pour le cliché. En réalité, c'était assez différent. Les femmes étaient indépendantes et dynamiques, certes, voire mères célibataires, mais elles n'étaient pas toutes traders à Wall Street. Elles portaient souvent des chemises et des pantalons bouffants en tissu léger. Une certaine luxuriance capillaire était de mise : il fallait avoir un maximum de cheveux et les faire boucler le plus possible. Je me rappelle aussi que beaucoup des femmes avaient une voix très nasillarde. Si vos enregistrements familiaux d'époque ne vous apprennent rien sur le sujet, écoutez les débuts du «Club Dorothée» en 1987 ou Les Brunes comptent pas pour des prunes, le tube de 1986 cancané par Lio. Quant à ces messieurs, ils étaient souvent amateurs de mouvements musicaux alternatifs comme le punk ou la new wave, et payaient cette fidélité d'une exubérance esthétique où le sens du ridicule était étouffé sous plusieurs couches de laque. Si toutefois votre père avait déjà renoncé à afficher des signes d'appartenance à un quelconque sous-groupe culturel, c'est qu'il avait encore honte de sa période adolescente pattes d'eph' ou baba cool - cette précision pour vous permettre de vous moquer quand même de lui. Dernier détail : votre jeune papa avait peut-être un fort accent franchouillard. Cette façon de parler, loin d'être l'apanage des beaufs, participait d'un style de vie, d'un mode de pensée et d'un humour prolétaires dont beaucoup de nos parents étaient fiers. Biographie de l'auteur Mathieu Grossi a passé une enfance tumultueuse aux quatre coins de la France, enchaînant les écoles en tout genre, de la ZEP au collège privé. Après le b
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