Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

L'herbier boisé

Broché - Editions Plume De Carotte - 195 pages - Publication: 15 septembre 2007

Audience
Adulte - Grand Public

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Histoires et légendes des arbres et arbustes Racontées par Bernard Bertrand Fondations de Venise construites en Aulne, plus gros avion du monde bâti en Bouleau, Frêne confident des timides, Robinier ami des gourmands, erzatz de café fait avec des baies de Houx, Gallois vainqueurs de guerres grâce à l'If... De tout temps et dans quelque société que ce soit, les populations ont utilisé les arbres et arbustes pour fabriquer des objets de tous les jours, des meubles, des charpentes, des bols, des outils. Mais les arbres ont bien souvent offert également leur lot en nourriture, en médicaments, en jeux... et en légendes, toutes plus étonnantes les unes que les autres. Chez nous, en Europe occidentale, l'air du plastique a balayé, en moins d'un demi-siècle, une grande partie de ce savoir faire prodigieux. Ce livre, à sa façon, se veut être un hommage et une mémoire de ces richesses... à redécouvrir sans tarder. Extrait L'urgence d'une réconciliation S'il est bien un domaine où l'homme a besoin de se réconcilier avec l'arbre, c'est bien celui de l'agriculture... Un domaine qui m'est cher, en ayant fait profession, aussi les lecteurs indulgents comprendront qu'il est plus facile pour moi de traiter de ce sujet par ce biais ! L'opposition civilisation agraire/forêt remonte à la nuit des temps et nous plonge à nouveau à l'origine de nos civilisations. Nous avons déjà eu l'occasion de parler de cette époque-charnière de l'histoire de l'humanité et des conséquences imprévisibles qui en découlèrent... (cf. Le Bestiaire sauvage, chez le même éditeur, «Genèse d'une coupure»). S'il fut un temps relativement long de notre histoire où l'espace arboré apporta aux hominidés gîte et couvert, il y eut aussi le temps de la rupture de cette relation privilégiée... C'est que, si l'arbre et la forêt ont pu nourrir le clan nomade, ils s'avéreront inadaptés aux besoins d'une population en pleine croissance démographique. Alors, l'homme se sédentarisa et inventa l'agriculture en profitant d'une manne providentielle, la steppe de graminées. On doit aux ancêtres du Blé, de l'Orge ou de l'Avoine, d'avoir nourri des populations grandissantes, d'avoir permis une certaine sécurité alimentaire que n'offrait pas la forêt. Ce n'est donc pas un hasard si parmi les plus probables berceaux de l'agriculture figurent les steppes du croissant fertile du Moyen-Orient. L'Homo sapiens aurait trouvé là les conditions optimales d'un développement équilibré et rapide de ses populations... Résultat : partout où il s'installera, il va tenter de reproduire ce schéma et n'aura de cesse de remplacer la forêt par des steppes non pas sauvages, mais agraires... Bien sûr, il y a des exceptions, nous sommes bien placés pour le savoir, la civilisation celte étant une civilisation forestière !
Détails du livre

L'herbier boisé

Broché - Editions Plume De Carotte - 195 pages - Publication: 15 septembre 2007

État
 
 
Il ne reste plus que 1 exemplaire(s) en stock
Prix réduit18,29 €

Livraison

Livré entre : 10 octobre - 13 octobre
Livraison gratuite (FR et BE) à partir de 20 €

Retour GRATUIT sous 14 jours.


Paiement sécurisé

Achat engagé

Produit collecté et traité en France.

3460 g de CO2eq en moins par rapport au neuf.

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Histoires et légendes des arbres et arbustes Racontées par Bernard Bertrand Fondations de Venise construites en Aulne, plus gros avion du monde bâti en Bouleau, Frêne confident des timides, Robinier ami des gourmands, erzatz de café fait avec des baies de Houx, Gallois vainqueurs de guerres grâce à l'If... De tout temps et dans quelque société que ce soit, les populations ont utilisé les arbres et arbustes pour fabriquer des objets de tous les jours, des meubles, des charpentes, des bols, des outils. Mais les arbres ont bien souvent offert également leur lot en nourriture, en médicaments, en jeux... et en légendes, toutes plus étonnantes les unes que les autres. Chez nous, en Europe occidentale, l'air du plastique a balayé, en moins d'un demi-siècle, une grande partie de ce savoir faire prodigieux. Ce livre, à sa façon, se veut être un hommage et une mémoire de ces richesses... à redécouvrir sans tarder. Extrait L'urgence d'une réconciliation S'il est bien un domaine où l'homme a besoin de se réconcilier avec l'arbre, c'est bien celui de l'agriculture... Un domaine qui m'est cher, en ayant fait profession, aussi les lecteurs indulgents comprendront qu'il est plus facile pour moi de traiter de ce sujet par ce biais ! L'opposition civilisation agraire/forêt remonte à la nuit des temps et nous plonge à nouveau à l'origine de nos civilisations. Nous avons déjà eu l'occasion de parler de cette époque-charnière de l'histoire de l'humanité et des conséquences imprévisibles qui en découlèrent... (cf. Le Bestiaire sauvage, chez le même éditeur, «Genèse d'une coupure»). S'il fut un temps relativement long de notre histoire où l'espace arboré apporta aux hominidés gîte et couvert, il y eut aussi le temps de la rupture de cette relation privilégiée... C'est que, si l'arbre et la forêt ont pu nourrir le clan nomade, ils s'avéreront inadaptés aux besoins d'une population en pleine croissance démographique. Alors, l'homme se sédentarisa et inventa l'agriculture en profitant d'une manne providentielle, la steppe de graminées. On doit aux ancêtres du Blé, de l'Orge ou de l'Avoine, d'avoir nourri des populations grandissantes, d'avoir permis une certaine sécurité alimentaire que n'offrait pas la forêt. Ce n'est donc pas un hasard si parmi les plus probables berceaux de l'agriculture figurent les steppes du croissant fertile du Moyen-Orient. L'Homo sapiens aurait trouvé là les conditions optimales d'un développement équilibré et rapide de ses populations... Résultat : partout où il s'installera, il va tenter de reproduire ce schéma et n'aura de cesse de remplacer la forêt par des steppes non pas sauvages, mais agraires... Bien sûr, il y a des exceptions, nous sommes bien placés pour le savoir, la civilisation celte étant une civilisation forestière !
Détails du livre

Vous pouvez également aimer

Récemment consultés