Fiche technique
- Titre : Rue Katalin
- Auteur : Szabo, Magda
- Langue : Français
- Format : Broché
- Nombre de pages : 250
- Genre : Romans étrangers
- Date de publication : 02-10-2006
- Édition : Viviane Hamy
- Poids : 0.285 kg
- Dimensions : 13 x 1.7 x 21 cm
- ISBN-10 : 2878582365
- ISBN-13 : 9782878582369
Résumé
" Ce que nous dit Magda Szabó, avec une grâce et une simplicité confondantes, c'est que, de tout ce qui constitue une vie, seuls quelques lieux et épisodes comptent vraiment. [...] Oui, c'est bien cela au fond qui est fascinant chez Magda Szabó, cette réflexion profonde sur ce qu'on garde, ce qu'on laisse. " Le Monde" Nous restâmes assis en silence, comme de braves frère et sœur, et pour la première fois de ma vie, je pressentis que les morts ne mouraient pas, que ce qui avait un jour été vivant sur cette terre, sous quelque forme que ce soit, était indestructible. " Les morts demeurent : Rue Katalin en donne une magistrale illustration. À Budapest, des années après la disparition de la jeune Henriette, les membres de trois familles vivent sous l'emprise de sa présence. Et, d'outre-tombe, la jeune fille nous introduit dans la vie naufragée de ceux qui furent ses amis : Balint, Irén, Blanka, M. et Mme Elekes... Que s'est-il passé pendant la guerre, rue Katalin ? Quels événements ont acculé ses habitants à la détresse et au désespoir ? " Ce que nous dit Magda Szabó, avec une grâce et une simplicité confondantes, c'est que, de tout ce qui constitue une vie, seuls quelques lieux et épisodes comptent vraiment. [...] Oui, c'est bien cela au fond qui est fascinant chez Magda Szabó, cette réflexion profonde sur ce qu'on garde, ce qu'on laisse. " Le MondeCe roman a reçu le Prix Cévennes 2007. Quatrième de couverture« Nous restâmes assis en silence, comme de braves frère et sœur, et pour la première fois de ma vie, je pressentis que les morts ne mouraient pas, que ce qui avait un jour été vivant sur cette terre, sous quelque forme que ce soit, était indestructible. » Les morts demeurent : Rue Katalin en donne une magistrale illustration. À Budapest, des années après la disparition de la jeune Henriette, les membres de trois familles vivent sous l'emprise de sa présence. Et, d'outre-tombe, la jeune fille nous introduit dans la vie naufragée de ceux qui furent ses amis : Balint, Irén, Blanka, M. et Mme Elekes... Que s'est-il passé pendant la guerre, rue Katalin ? Quels événements ont acculé ses habitants à la détresse et au désespoir ?
Quatrième de couverture
« Nous restâmes assis en silence, comme de braves frère et sœur, et pour la première fois de ma vie, je pressentis que les morts ne mouraient pas, que ce qui avait un jour été vivant sur cette terre, sous quelque forme que ce soit, était indestructible. » Les morts demeurent : Rue Katalin en donne une magistrale illustration. À Budapest, des années après la disparition de la jeune Henriette, les membres de trois familles vivent sous l'emprise de sa présence. Et, d'outre-tombe, la jeune fille nous introduit dans la vie naufragée de ceux qui furent ses amis : Balint, Irén, Blanka, M. et Mme Elekes... Que s'est-il passé pendant la guerre, rue Katalin ? Quels événements ont acculé ses habitants à la détresse et au désespoir ?Biographie de l'auteurMagda Szabó est née en 1917 en Hongrie. Ses premiers écrits sont publiés au lendemain de la Seconde Guerre mondiale mais, après 1948, pour des raisons politiques, elle disparaît de la scène littéraire. Lorsque ses livres reparaissent à la fin des années 50, l'accueil est enthousiaste. Depuis, elle est une des figures majeures des lettres hongroises. Traduite dans de nombreux pays, elle était peu connue en France avant que son roman, La Porte, n'obtienne le Prix Femina étranger en 2003.
À propos de l'auteur
Szabo, Magda
Magda Szabó est née en 1917 en Hongrie. Ses premiers écrits sont publiés au lendemain de la Seconde Guerre mondiale mais, après 1948, pour des raisons politiques, elle disparaît de la scène littéraire. Lorsque ses livres reparaissent à la fin des années 50, l'accueil est enthousiaste. Depuis, elle est une des figures majeures des lettres hongroises. Traduite dans de nombreux pays, elle était peu connue en France avant que son roman, La Porte, n'obtienne le Prix Femina étranger en 2003.
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