Fiche technique
- Titre : I.A.N., tome 1 : Singe électrique
- Auteur : Meyer, Ralph
- Langue : Français
- Format : Relié
- Nombre de pages : 46
- Genre : Science-fiction
- Date de publication : 07-06-2003
- Édition : DARGAUD
- Poids : 0.44 kg
- Dimensions : 22.5 x 1 x 29.9 cm
- ISBN-10 : 2871295182
- ISBN-13 : 9782871295181
Résumé
Les professeurs Joseph Remsky et Claire Neyman travaillent depuis dix ans sur un nouveau prototype d'androïde doté d'intelligence artificielle. Mais les investisseurs de l'AIRI (Artificial Intelligence Research Institute) s'impatientent : IAN, l'androïde le plus perfectionné et le plus controversé - parce que trop humain - doit être testé sur le terrain dans les plus brefs délais. Justement, une mission se présente, dont est chargée l'unité 21 de la 'Special Rescue Section', dirigée par le commandant Saul, un black diplômé de Harvard, réputé pour son efficacité - et par ailleurs de très mauvais poil parce que pas du tout emballé par la présence de Ian. Il s'agit de sauver l'équipage d'un bathyscaphe qui a été percuté par une baleine au fond d'un cimetière de croiseurs nucléaires, et le commandant Saul sait que ce sauvetage sera particulièrement épineux. Bien entendu, les gens de l'AIRI ont omis de préciser que Ian, 'le singe électrique', est sujet à des crises au cours desquelles il se met à avoir des visions et à tenir des propos incohérents. Ian va-t-il tenir le coup ? Après tout, il n'a que onze ans, malgré son corps d'adulte, et à y mieux regarder, il semble bien sensible, mélancolique et vulnérable, parmi professionnels, (ou « experts » ou autre terme, mais on préfère éviter « têtes de lard » !) vouées aux missions impossibles.
À propos de l'auteur
Meyer, Ralph
Fabien Vehlmann est né le 30 janvier 1972 à Mont-de-Marsan, dans les Landes. (Il en gardera l'amour des arbres tordus par le vent.) Trois ans plus tard, il déménage en Savoie, où il passe une enfance "vraiment chouette", un harmonieux dosage entre introversion ? il adore inventer des jeux tout seul ? et sociabilité ? il adore retrouver ses potes. "J'ai eu de la chance, mes parents m'ont laissé jouer, au lieu de me faire bosser dès la maternelle." Vers 6 ans, il attaque la bande dessinée et remplit ses cases de dessins genre "sténo". Il se découvre aussi un don d'amuseur public, qu'il se croit obligé d'entretenir jusqu'au moment où il comprend qu'il a aussi le droit d'être triste. Cela nous vaut (peut-être) les moments les plus touchants de "Samedi et Dimanche". Quand, par exemple, entre deux rigolades, Samedi se chope le blues ; il n'est plus qu'un pauvre petit chiffon qui veut "tomber ici et puis rester tout mou sur le sol, et puis pleurer". Arrivé à la fin du lycée, Vehlmann se dit que la BD n'est pas une orientation professionnelle raisonnable. Il entre à l'école supérieure de commerce de Nantes, navigue dans le marketing des jouets, et sort diplômé en 1995. Objecteur de conscience, il se retrouve administrateur d'une troupe de théâtre. "C'était comme être planté au milieu d'une pâtisserie sans pouvoir manger les gâteaux : je ne vivais que les aspects chiants de la création !" Malgré tout, il tourne deux ou trois courts-métrages avec les comédiens et s'essaie à la radio dans une station locale, avec des sketches qui font bien marrer le technicien ? c'est toujours ça. En 1996, ?Spirou' organise un concours d'écriture de scénarios. Il faut envoyer quatre pages, il en tartine quarante... c'est beaucoup trop ! Il envoie donc ses pages en marge du concours. Il reçoit une réponse mitigée ? "Peut mieux faire" ? qui le galvanise parce que c'est une réponse quand même. En vue de "mieux faire", il attaque une autre BD qu'il renvoie au même ?Spirou'. Réponse : "C'est toujours pas ça." "Là, j'ai morflé : je me voyais déjà en haut de l'affiche !" Le jeune homme fait alors fait un pari : au lieu de chercher du boulot dans le commerce, il va rester chez ses parents pendant un an pour écrire de la BD. "J'ai eu du pot, mes parents ont accepté. J'ai toujours eu beaucoup de chance, je tiens à le dire." Cette fois, ?Spirou' est content et achète ses pages. Après, tout s'enchaîne : il sort, avec Denis Bodart, l'album qui va le lancer, le premier de la série "Green Manor" (Dupuis, 2001), et rencontre Gwen de Bonneval à l'atelier des Vosges. Gwen a inventé deux be
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