Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Un secret de campagne

Broché - LUCIEN SOUNY - 224 pages

Le Pitch

Présentation de l'éditeur L'oncle Justin habite chez les Escoubeyroux depuis toujours. A la mort de ses parents, célibataire, il est resté vivre avec son frère Jean, sa belle-soeur et leurs neuf enfants. Son travail de colporteur met toute la famille à l'abri de la grande misère, mais curieusement, depuis vingt-cinq ans, Justin les tient isolés du monde, leur impose une autarcie sociale et alimentaire et préside à la destinée de tous, de sa nièce en particulier. Ainsi, les enfants grandissent sans voisinage, sans rencontre, sans amis. Ils ne s'étonnent de rien, car ils savent qu'il ne faut pas poser de questions. Quant aux parents, ils ont l'habitude de se plier aux exigences du patriarche. Si le mystère entretenu par l'oncle est impénétrable, il ne nuit pas pour autant au bonheur de chacun, un bonheur simple, fait de fraternité et d'amour. Mais les enfants deviennent adultes. Certains sont obligés de quitter la ferme pour aller travailler chez les autres. Puis Roze, la fille unique de la fratrie, découvre l'amour en gardant ses moutons. Chaque jour, elle voit passer sur le chemin un jeune précepteur qui se rend au château. Un amour impossible puisqu'elle se doit de vivre dans le respect des serments imposés par son oncle. A la mort de Justin, la vie va-t-elle changer pour les Escoubeyroux ? Les jeunes ont soif de liberté. Le chemin sera long et semé d'embûches avant qu'ils puissent y goûter. Reconstituant avec minutie une époque troublée, Marie Gaston nous entraîne dans une palpitante fresque de la paysannerie. Une héroïne émouvante de tendresse, déterminée à concilier ses promesses avec le bonheur de vivre enfin comme les autres. Originaire du Limousin, Marie Gaston a cependant de solides attaches auvergnates (Cantal) par ses racines paternelles. Après Mariage d'automne (Lucien Souny, 2010), roman largement inspiré de l'histoire de sa famille, elle nous offre ici une histoire qu'elle a découverte au hasard de ses travaux d'investigation aux archives départementales. Elle s'est intéressée à un acte d'état civil insolite : un acte de mariage de 1826 qui comportait cinq pages, ce qui est très rare. Émue par cet acte de mariage, elle a décidé d'un faire une histoire. Extrait Avril 1824. En quelques jours, la nature s'était réveillée. Après l'hiver très rude qui avait engendré bien des inquiétudes dans la contrée de Saint-Illide, la peur de la pénurie de foin pour les bêtes, de farine et de pommes de terre pour les habitants du bourg et des villages avoisinants, finalement le printemps était là, brutal, intense, plein de lumière et de promesses. Le seigle dru, d'un vert franc, avait bien levé. Les haies vives au bord des chemins explosaient de fleurs généreuses : aubépines, pruniers sauvages, viornes rivalisaient de blancheur, d'odeur de miel et de pollen. Un couteau à la main, Roze se hâtait. D'un geste précis, elle sectionnait les pieds de pissenlits pour remplir son panier. Bientôt, les boutons de fleurs jaunes allaient apparaître au coeur des jeunes pousses et rendraient leur consommation moins agréable. Il fallait tenir jusqu'aux premières salades du jardin qui étaient encore loin d'être à maturité. Du haut de ses seize ans, la jeune fille avait déjà bien des responsabilités chez les Escoubeyroux. Elle secondait sa mère depuis plusieurs années dans l'entretien de la maison et dans les soins élémentaires prodigués à ses frères. Sur les neuf enfants que comptait la fratrie, Roze était la seule fille. Elle devait donc aider sa mère, mais ne s'en plaignait pas. A Puech-Mège comme ailleurs dans les familles, chacun se voyait assigner un rôle dès les premières années ; c'était en fonction de la taille, de la constitution, de la santé. Les filles restaient à la maison, s'occupaient des tâches ménagères, et c'était très bien ainsi. Le fils aîné, la plupart du temps, succédait à son père sur la propriété ; les autres allaient travailler dans les métairies voisines. Avec un peu de chance, ils courtisaient la fille d'un
Détails du livre

Un secret de campagne

Broché - LUCIEN SOUNY - 224 pages

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur L'oncle Justin habite chez les Escoubeyroux depuis toujours. A la mort de ses parents, célibataire, il est resté vivre avec son frère Jean, sa belle-soeur et leurs neuf enfants. Son travail de colporteur met toute la famille à l'abri de la grande misère, mais curieusement, depuis vingt-cinq ans, Justin les tient isolés du monde, leur impose une autarcie sociale et alimentaire et préside à la destinée de tous, de sa nièce en particulier. Ainsi, les enfants grandissent sans voisinage, sans rencontre, sans amis. Ils ne s'étonnent de rien, car ils savent qu'il ne faut pas poser de questions. Quant aux parents, ils ont l'habitude de se plier aux exigences du patriarche. Si le mystère entretenu par l'oncle est impénétrable, il ne nuit pas pour autant au bonheur de chacun, un bonheur simple, fait de fraternité et d'amour. Mais les enfants deviennent adultes. Certains sont obligés de quitter la ferme pour aller travailler chez les autres. Puis Roze, la fille unique de la fratrie, découvre l'amour en gardant ses moutons. Chaque jour, elle voit passer sur le chemin un jeune précepteur qui se rend au château. Un amour impossible puisqu'elle se doit de vivre dans le respect des serments imposés par son oncle. A la mort de Justin, la vie va-t-elle changer pour les Escoubeyroux ? Les jeunes ont soif de liberté. Le chemin sera long et semé d'embûches avant qu'ils puissent y goûter. Reconstituant avec minutie une époque troublée, Marie Gaston nous entraîne dans une palpitante fresque de la paysannerie. Une héroïne émouvante de tendresse, déterminée à concilier ses promesses avec le bonheur de vivre enfin comme les autres. Originaire du Limousin, Marie Gaston a cependant de solides attaches auvergnates (Cantal) par ses racines paternelles. Après Mariage d'automne (Lucien Souny, 2010), roman largement inspiré de l'histoire de sa famille, elle nous offre ici une histoire qu'elle a découverte au hasard de ses travaux d'investigation aux archives départementales. Elle s'est intéressée à un acte d'état civil insolite : un acte de mariage de 1826 qui comportait cinq pages, ce qui est très rare. Émue par cet acte de mariage, elle a décidé d'un faire une histoire. Extrait Avril 1824. En quelques jours, la nature s'était réveillée. Après l'hiver très rude qui avait engendré bien des inquiétudes dans la contrée de Saint-Illide, la peur de la pénurie de foin pour les bêtes, de farine et de pommes de terre pour les habitants du bourg et des villages avoisinants, finalement le printemps était là, brutal, intense, plein de lumière et de promesses. Le seigle dru, d'un vert franc, avait bien levé. Les haies vives au bord des chemins explosaient de fleurs généreuses : aubépines, pruniers sauvages, viornes rivalisaient de blancheur, d'odeur de miel et de pollen. Un couteau à la main, Roze se hâtait. D'un geste précis, elle sectionnait les pieds de pissenlits pour remplir son panier. Bientôt, les boutons de fleurs jaunes allaient apparaître au coeur des jeunes pousses et rendraient leur consommation moins agréable. Il fallait tenir jusqu'aux premières salades du jardin qui étaient encore loin d'être à maturité. Du haut de ses seize ans, la jeune fille avait déjà bien des responsabilités chez les Escoubeyroux. Elle secondait sa mère depuis plusieurs années dans l'entretien de la maison et dans les soins élémentaires prodigués à ses frères. Sur les neuf enfants que comptait la fratrie, Roze était la seule fille. Elle devait donc aider sa mère, mais ne s'en plaignait pas. A Puech-Mège comme ailleurs dans les familles, chacun se voyait assigner un rôle dès les premières années ; c'était en fonction de la taille, de la constitution, de la santé. Les filles restaient à la maison, s'occupaient des tâches ménagères, et c'était très bien ainsi. Le fils aîné, la plupart du temps, succédait à son père sur la propriété ; les autres allaient travailler dans les métairies voisines. Avec un peu de chance, ils courtisaient la fille d'un
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