Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

1940 un autre 11 novembre

Broché - TALLANDIER - 249 pages - Publication: 01 octobre 2009

Le Pitch

Présentation de l'éditeur À la veille du 11 novembre 1940, les autorités d'occupation déclarent « prohibée sous toutes ses formes l'expression d'un souvenir insultant pour le Reich et attentatoire à l'honneur de la Wehrmacht ». À la Sorbonne et dans les lycées parisiens, cet ordre suscite une vague d'indignation. Initié par un petit groupe d'étudiants du Quartier latin, l'appel à un rassemblement patriotique se propage comme une traînée de poudre dans les établissements scolaires et universitaires. Le 11 novembre 1940, trois mille jeunes filles et garçons remontent les Champs Élysées, se rassemblent devant l'Arc de triomphe pour commémorer la Victoire de 1918 et entonnent La Marseillaise, défiant ainsi l'armée d'occupation d'Hitler. L'intervention de la Wehrmacht et la répression qui s'ensuit sont impitoyables : quinze blessés, un millier d'interpellations, cent vingt-trois arrestations, surtout de jeunes lycéens emprisonnés et martyrisés. Cet acte de résistance constitue, au dire même du général de Gaulle, la première réponse de la France à l'appel du 18 juin. De fait, les conséquences furent considérables, marquant la rupture entre le régime de Vichy et une partie de l'opinion publique, qui tourna désormais ses espoirs vers la France libre. Cet événement, qui aurait dû entrer dans la légende nationale, a quasiment sombré dans l'oubli. Il est temps de le redécouvrir. Quatrième de couverture À la veille du 11 novembre 1940, les autorités d'occupation déclarent « prohibée sous toutes ses formes l'expression d'un souvenir insultant pour le Reich et attentatoire à l'honneur de la Wehrmacht ». À la Sorbonne et dans les lycées parisiens, cet ordre suscite une vague d'indignation. Initié par un petit groupe d'étudiants du Quartier latin, l'appel à un rassemblement patriotique se propage comme une traînée de poudre dans les établissements scolaires et universitaires. Le 11 novembre 1940, trois mille jeunes filles et garçons remontent les Champs Élysées, se rassemblent devant l'Arc de triomphe pour commémorer la Victoire de 1918 et entonnent La Marseillaise, défiant ainsi l'armée d'occupation d'Hitler. L'intervention de la Wehrmacht et la répression qui s'ensuit sont impitoyables : quinze blessés, un millier d'interpellations, cent vingt-trois arrestations, surtout de jeunes lycéens emprisonnés et martyrisés. Cet acte de résistance constitue, au dire même du général de Gaulle, la première réponse de la France à l'appel du 18 juin. De fait, les conséquences furent considérables, marquant la rupture entre le régime de Vichy et une partie de l'opinion publique, qui tourna désormais ses espoirs vers la France libre. Cet événement, qui aurait dû entrer dans la légende nationale, a quasiment sombré dans l'oubli. Il est temps de le redécouvrir. Biographie de l'auteur Maxime Tandonnet, haut fonctionnaire, essayiste, est l'auteur de diverses publications sur l'histoire du 11 novembre 1940.
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1940 un autre 11 novembre

Broché - TALLANDIER - 249 pages - Publication: 01 octobre 2009

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur À la veille du 11 novembre 1940, les autorités d'occupation déclarent « prohibée sous toutes ses formes l'expression d'un souvenir insultant pour le Reich et attentatoire à l'honneur de la Wehrmacht ». À la Sorbonne et dans les lycées parisiens, cet ordre suscite une vague d'indignation. Initié par un petit groupe d'étudiants du Quartier latin, l'appel à un rassemblement patriotique se propage comme une traînée de poudre dans les établissements scolaires et universitaires. Le 11 novembre 1940, trois mille jeunes filles et garçons remontent les Champs Élysées, se rassemblent devant l'Arc de triomphe pour commémorer la Victoire de 1918 et entonnent La Marseillaise, défiant ainsi l'armée d'occupation d'Hitler. L'intervention de la Wehrmacht et la répression qui s'ensuit sont impitoyables : quinze blessés, un millier d'interpellations, cent vingt-trois arrestations, surtout de jeunes lycéens emprisonnés et martyrisés. Cet acte de résistance constitue, au dire même du général de Gaulle, la première réponse de la France à l'appel du 18 juin. De fait, les conséquences furent considérables, marquant la rupture entre le régime de Vichy et une partie de l'opinion publique, qui tourna désormais ses espoirs vers la France libre. Cet événement, qui aurait dû entrer dans la légende nationale, a quasiment sombré dans l'oubli. Il est temps de le redécouvrir. Quatrième de couverture À la veille du 11 novembre 1940, les autorités d'occupation déclarent « prohibée sous toutes ses formes l'expression d'un souvenir insultant pour le Reich et attentatoire à l'honneur de la Wehrmacht ». À la Sorbonne et dans les lycées parisiens, cet ordre suscite une vague d'indignation. Initié par un petit groupe d'étudiants du Quartier latin, l'appel à un rassemblement patriotique se propage comme une traînée de poudre dans les établissements scolaires et universitaires. Le 11 novembre 1940, trois mille jeunes filles et garçons remontent les Champs Élysées, se rassemblent devant l'Arc de triomphe pour commémorer la Victoire de 1918 et entonnent La Marseillaise, défiant ainsi l'armée d'occupation d'Hitler. L'intervention de la Wehrmacht et la répression qui s'ensuit sont impitoyables : quinze blessés, un millier d'interpellations, cent vingt-trois arrestations, surtout de jeunes lycéens emprisonnés et martyrisés. Cet acte de résistance constitue, au dire même du général de Gaulle, la première réponse de la France à l'appel du 18 juin. De fait, les conséquences furent considérables, marquant la rupture entre le régime de Vichy et une partie de l'opinion publique, qui tourna désormais ses espoirs vers la France libre. Cet événement, qui aurait dû entrer dans la légende nationale, a quasiment sombré dans l'oubli. Il est temps de le redécouvrir. Biographie de l'auteur Maxime Tandonnet, haut fonctionnaire, essayiste, est l'auteur de diverses publications sur l'histoire du 11 novembre 1940.
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