Fiche technique
- Titre : L'allaitement
- Auteur : Guillain, France
- Langue : Français
- Format : Broché
- Nombre de pages : 128
- Genre : Maternité
- Date de publication : 31-10-2006
- Édition : La Plage
- Poids : 0.245 kg
- Dimensions : 13.9 x 0.9 x 21 cm
- ISBN-10 : 2842211421
- ISBN-13 : 9782842211424
Résumé
Des réponses de bon sens et réconfortantes à toutes les questions que se posent les jeunes mamans qui souhaitent allaiter leur bébé. Toutes les femmes sont-elles capables d'allaiter ? Que faire si bébé ne veut pas téter ? Comment s'assurer que bébé est bien nourri ? L'allaitement abîme-t-il les seins ? Comment éviter les crevasses, soulager l'engorgement ? Comment s'alimenter pendant l'allaitement ? Comment sevrer naturellement son enfant ? Un livre-ressource, qui donne confiance et autonomie aux femmes, pour allaiter longtemps, en travaillant, en voyageant. France Guillain utilise ses expérience réussies (elle a allaité ses cinq enfants) et des méthodes naturelles (argile, bain dérivatif, alimentation saine...) pour répondre aux principaux problèmes rencontrés par maman et bébé. À travers son expérience à la Lleche League, la photographe Emmanuelle Sallustro a travaillé sur le thème de l'allaitement.ExtraitEn tout premier lieu, je tiens à bien préciser qu'il est évident que l'amour maternel ne se mesure pas à la manière de nourrir son enfant. Nous ne sommes pas des fonctions. Personne ne peut décréter qu'une mère qui allaite est une meilleure mère que celle qui n'allaite pas. Mais personne ne peut nier non plus que le lait maternel est le lait le plus adapté que la nature a prévu pour le bébé ; qu'il est en général plus facile, plus rapide de construire un lien d'attachement entre mère et enfant dans le cas de l'allaitement. Indéniable donc que le lait de la mère en bonne santé et nourrie correctement est le meilleur aliment pour le nourrisson et le bébé. Mais la décision de l'allaitement maternel ne peut être qu'un choix fait par la maman et par elle seule. Lorsqu'en 1967, ma première fille est née, petite-fille et nièce de médecins, nombreux autour de moi furent ceux qui ne purent se retenir de me dire : «France, avec toutes les études que tu as faites, tu te doutes bien que les laits artificiels, faits par des médecins, des chercheurs, des chimistes sont plus équilibrés et plus sûrs que le lait maternel qui contient d'ailleurs du DDT (un insecticide très toxique) et toutes sortes de déchets que ne contient pas le lait en poudre ! Au moins on connaît la composition des laits maternisés alors que l'on ne sait pas grand-chose de ton lait !» ; «En plus c'est un véritable esclavage !» ; «Ce n'est pas idéal pour le papa, il ne peut pas partager ça avec toi»; «L'enfant a plus de mal à se détacher». Heureusement il y avait l'oncle Pierre, médecin en PMI depuis trente ans. Pour lui, il n'y avait aucun doute possible : le lait maternel faisait des bébés plus éveillés que les autres, jamais gravement malades, affichant pour la plupart une santé irréprochable.
À propos de l'auteur
Guillain, France
Diplômée d'études scientifiques, France Guillain est partie sur les mers à la voile avec un bébé de 20 jours. Auteur de nombreux ouvrages Les bains dérivatifs, Le bonheur d'être nu, L'argile tout simplement, elle anime des conférences sur les soins naturels.
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