Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Les 100 tableaux qui ont fait l'impressionnisme

Relié - Editions Du Chêne - 260 pages - Publication: 15 octobre 2014

Le Pitch

Présentation de l'éditeur S’il est aujourd’hui universellement admiré, l’impressionnisme a pourtant d’abord été synonyme de scandale. Pour mieux comprendre son histoire et vivre l’impressionnisme en temps réel, Pascal Bonafoux s’appuie sur les témoignages et réactions de la presse de l’époque (détracteurs ou défenseurs), des écrivains tels Zola, Huysmans ou Gautier, et sur les souvenirs des peintres eux-mêmes. On revit avec eux, l’émerveillement, le doute, la révolte et la fascination qu’a provoquée cette nouvelle façon de peindre. Devenus maîtres de l’art du paysage parce qu’ils ont quitté leurs ateliers pour peindre en plein air, ces artistes ont aussi investi le terrain de la ville en spectateurs de la vie moderne. Ils ont su capter l’instant, restituer des sensations. Corot et Boudin ouvrent la voie, puis ce sont Manet, Monet, Renoir, Degas, Caillebotte, Seurat, etc. qui nous éblouissent et le livre se referme avec, pour point d’orgue, l’époustouflante série des Nymphéas. Extrait Avertissement Peut-être vous posez-vous cette question simple, très simple : Qu'est-ce que l'impressionnisme ? Méfiez-vous. Je ne suis pas certain (formule prudente) que ma réponse puisse être aussi simple que votre question... Ne serait-ce que pour une raison. En 1877, pendant le temps de la préparation d'une nouvelle exposition qui ne réunit plus que dix-huit peintres, de Degas à Monet, de Caillebotte à Sisley, de Guillaumin à Morisot, de Cézanne à Rouart, on s'inquiète de la manière dont elle doit être présentée. Les débats sont intenses. Renoir propose la solution. Ce qu'il raconte à son marchand Ambroise Vollard : «ce fut moi qui insistai pour qu'on gardât ce nom d'Impressionnistes qui avait fait fortune. C'était dire aux passants, - et personne ne s'y trompa : - "Vous trouverez ici le genre de peinture que vous n'aimez pas. Si vous venez, ce sera tant pis pour vous, on ne vous remboursera pas vos dix sous d'entrée !"» On savait à quoi s'en tenir. Comment ne pas se demander, maintenant que ce même «genre de peinture» est aimé plus qu'aucun autre, si l'impressionnisme n'a pas été, et n'est pas, un malentendu ? Cette question doit vous sembler très étrange. Quelques précisions devraient vous convaincre qu'elle n'est pas aussi inconséquente qu'elle en a l'air... Le 27 décembre 1873, une Société anonyme coopérative à capital variable des artistes peintres, sculpteurs, graveurs, etc., qui doit présenter des expositions indépendantes, sans jury, vendre les oeuvres exposées et publier un journal artistique, est créée à Paris. Les fondateurs de cette société sont des peintres qui sont las d'avoir été encore et encore refusés au Salon, qui est alors le seul moyen de se faire connaître des amateurs et donc de pouvoir vivre de sa peinture. Mais pour être admis à ce Salon, il faut se soumettre aux critères qu'imposent ceux qui se veulent les héritiers de David. Il faut donc maîtriser un dessin que l'on aura exercé grâce à des modèles nus et à des moulages d'antiques, il faut soumettre la couleur à ce dessin et il faut encore être en mesure de composer des tableaux qui ont pour sujet l'Ancien et le Nouveau Testament ou l'Antiquité grecque et l'histoire de Rome. Sinon, comment obtenir ce Premier Grand Prix de Rome qui conduit à la villa Médicis et, au-delà, aux commandes officielles et aux honneurs ? En 1856, les élèves de l'École des beaux-arts qui sont montés en loge ont eu à peindre Le Retour du jeune Tobie, en 1857 La Résurrection de Lazare, en 1859 Coriolan chez Tullus, roi des Volsques, en 1860 Sophocle accusé par ses fils, en 1861 La Mort de Priam... Or les peintres qui fondent cette Société anonyme coopérative à capital variable ont l'impudence de représenter le monde qui les entoure. Certains d'entre eux ont même l'audace de prétendre qu'il est nécessaire de peindre en plein air, seul moyen de rendre compte d'une lumière qui n'est pas celle affadie par l'atelier, et donc de la variété de la couleur. Inadmissible. Dès le mois de mai de
Détails du livre

Les 100 tableaux qui ont fait l'impressionnisme

Relié - Editions Du Chêne - 260 pages - Publication: 15 octobre 2014

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur S’il est aujourd’hui universellement admiré, l’impressionnisme a pourtant d’abord été synonyme de scandale. Pour mieux comprendre son histoire et vivre l’impressionnisme en temps réel, Pascal Bonafoux s’appuie sur les témoignages et réactions de la presse de l’époque (détracteurs ou défenseurs), des écrivains tels Zola, Huysmans ou Gautier, et sur les souvenirs des peintres eux-mêmes. On revit avec eux, l’émerveillement, le doute, la révolte et la fascination qu’a provoquée cette nouvelle façon de peindre. Devenus maîtres de l’art du paysage parce qu’ils ont quitté leurs ateliers pour peindre en plein air, ces artistes ont aussi investi le terrain de la ville en spectateurs de la vie moderne. Ils ont su capter l’instant, restituer des sensations. Corot et Boudin ouvrent la voie, puis ce sont Manet, Monet, Renoir, Degas, Caillebotte, Seurat, etc. qui nous éblouissent et le livre se referme avec, pour point d’orgue, l’époustouflante série des Nymphéas. Extrait Avertissement Peut-être vous posez-vous cette question simple, très simple : Qu'est-ce que l'impressionnisme ? Méfiez-vous. Je ne suis pas certain (formule prudente) que ma réponse puisse être aussi simple que votre question... Ne serait-ce que pour une raison. En 1877, pendant le temps de la préparation d'une nouvelle exposition qui ne réunit plus que dix-huit peintres, de Degas à Monet, de Caillebotte à Sisley, de Guillaumin à Morisot, de Cézanne à Rouart, on s'inquiète de la manière dont elle doit être présentée. Les débats sont intenses. Renoir propose la solution. Ce qu'il raconte à son marchand Ambroise Vollard : «ce fut moi qui insistai pour qu'on gardât ce nom d'Impressionnistes qui avait fait fortune. C'était dire aux passants, - et personne ne s'y trompa : - "Vous trouverez ici le genre de peinture que vous n'aimez pas. Si vous venez, ce sera tant pis pour vous, on ne vous remboursera pas vos dix sous d'entrée !"» On savait à quoi s'en tenir. Comment ne pas se demander, maintenant que ce même «genre de peinture» est aimé plus qu'aucun autre, si l'impressionnisme n'a pas été, et n'est pas, un malentendu ? Cette question doit vous sembler très étrange. Quelques précisions devraient vous convaincre qu'elle n'est pas aussi inconséquente qu'elle en a l'air... Le 27 décembre 1873, une Société anonyme coopérative à capital variable des artistes peintres, sculpteurs, graveurs, etc., qui doit présenter des expositions indépendantes, sans jury, vendre les oeuvres exposées et publier un journal artistique, est créée à Paris. Les fondateurs de cette société sont des peintres qui sont las d'avoir été encore et encore refusés au Salon, qui est alors le seul moyen de se faire connaître des amateurs et donc de pouvoir vivre de sa peinture. Mais pour être admis à ce Salon, il faut se soumettre aux critères qu'imposent ceux qui se veulent les héritiers de David. Il faut donc maîtriser un dessin que l'on aura exercé grâce à des modèles nus et à des moulages d'antiques, il faut soumettre la couleur à ce dessin et il faut encore être en mesure de composer des tableaux qui ont pour sujet l'Ancien et le Nouveau Testament ou l'Antiquité grecque et l'histoire de Rome. Sinon, comment obtenir ce Premier Grand Prix de Rome qui conduit à la villa Médicis et, au-delà, aux commandes officielles et aux honneurs ? En 1856, les élèves de l'École des beaux-arts qui sont montés en loge ont eu à peindre Le Retour du jeune Tobie, en 1857 La Résurrection de Lazare, en 1859 Coriolan chez Tullus, roi des Volsques, en 1860 Sophocle accusé par ses fils, en 1861 La Mort de Priam... Or les peintres qui fondent cette Société anonyme coopérative à capital variable ont l'impudence de représenter le monde qui les entoure. Certains d'entre eux ont même l'audace de prétendre qu'il est nécessaire de peindre en plein air, seul moyen de rendre compte d'une lumière qui n'est pas celle affadie par l'atelier, et donc de la variété de la couleur. Inadmissible. Dès le mois de mai de
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