Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Fidel Castro, une vie

Broché - L'archipel - 542 pages

Le Pitch

Présentation de l'éditeur " Le pouvoir ne m'intéresse pas ", assurait début 1959 le jeune avocat Fidel Castro, 33 ans, tombeur du tyran Batista. Le Lider maximo aura pourtant exercé sa férule sur Cuba pendant un demi-siècle, avant de transmettre le flambeau à son " jeune " frère Raúl, de quatre ans son cadet.Au fil du temps, il aura affronté les États-Unis, attisé les guérillas d'Amérique latine avec l'aide de son compañero " Che " Guevara, joué Pékin contre Moscou, tenté d'imposer La Havane comme troisième pôle de la Révolution mondiale et remodelé le Sud de l'Afrique, avec l'aide du protecteur soviétique. Il a laissé aux Cubains la Sécurité sociale et l'éducation gratuite, mais leur salaire moyen est aujourd'hui de 18 euros par mois, l'un des plus faibles de la planète.De quel poids pèse encore, de sa retraite médicalisée, le vieillard qui fut longtemps " la " voix de Cuba, un phare pour les opprimés d'Amérique latine et, un temps, l'idole de la jeunesse passionnée des cinq continents ? De l'enfance paysanne à sa sortie de scène, en passant par l'éducation jésuite et la jeunesse baroudeuse, l'auteur accompagne la trajectoire d'un révolutionnaire qui aura durablement marqué notre époque. Et redessine la carte de Cuba en 2013 : dictature militaire, oui ; socialiste, pourquoi pas ; en transition vers une économie moins administrée, sans doute. Extrait Extrait de l'introduction DE CUBA AU CŒUR DU MONDE Plutôt que des hommes de grand mérite, nous sommes des hommes à qui le hasard a donné des privilèges excessifs. Fidel Castro, 22 décembre 1975 Fidel Castro aura occupé la chronique mondiale près d'un demi-siècle. De 1959 à 2006, il a exercé sur son pays un pouvoir presque total comme «commandant en chef de la Révolution» cubaine. Il a battu des records planétaires de durée aux affaires. En tant que chef de gouvernement (1959-2006), c'est incontestable. Comme chef d'État, ses quasi-contemporains Elizabeth II d'Angleterre, le dalaï-lama, le roi Bumiphol de Thaïlande ont accédé avant lui à la première marche et exerçaient encore lorsqu'il a quitté la scène - mais il s'agit d'autres types de pouvoir. Le temps qu'il a passé sur le pavois n'approche tout de même pas la durée des règnes «imbattables» de Louis XIV, de François-Joseph ou de Victoria. Mais il se compare à celui de l'empereur Auguste ; et nul pontificat, pas même celui de Pie LX, ne l'égale ! C'est dès 1945 que, après son éducation chez les jésuites, Castro s'est lancé dans la vie publique de Cuba, tentant de conquérir l'université par l'élection tant qu'il l'a cru possible puis, déjà, les armes à la main. Il s'est fait connaître de l'opinion insulaire en tentant, le 26 juillet 1953, un coup de main contre la caserne Moncada de Santiago - un des points d'appui du dictateur Fulgencio Batista qu'il s'était juré de renverser. Le 26 juillet est aujourd'hui encore la fête nationale de la Révolution castriste. Après deux années de prison et un exil d'un peu plus d'un an au Mexique, Fidel Castro a débarqué dans l'Oriente de Cuba avec quatre-vingts compagnons, dont son jeune frère Raúl et le médecin argentin Ernesto Guevara, dit le «Che». Il a mené, dans la Sierra Maestra, une courte guérilla (2 décembre 1956-1er janvier 1959), qui a fini par contraindre son prédécesseur à s'enfuir. Or, la notoriété de celui que, dans son île, on ne nommait déjà plus que «Fidel» ou le «comandante» avait depuis longtemps atteint les États-Unis, à l'occasion d'une interview dans le New York Times, le 24 février 1957 : Fidel Castro y était «Robin des bois». La fuite du dictateur Batista et la victoire de la guérilla castriste, ainsi que le soulèvement civique de beaucoup de Cubains des villes, ont livré l'île au commandant en chef. Sa carrière a commencé sous les vivats de ses compatriotes et de la partie la plus vibrante de la jeunesse du monde. En moins de deux ans, pourtant - suivant en cela, d'instinct ou d'après ses lectures, un conseil que Machiavel donne au prince : exécuter l'
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Fidel Castro, une vie

Broché - L'archipel - 542 pages

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur " Le pouvoir ne m'intéresse pas ", assurait début 1959 le jeune avocat Fidel Castro, 33 ans, tombeur du tyran Batista. Le Lider maximo aura pourtant exercé sa férule sur Cuba pendant un demi-siècle, avant de transmettre le flambeau à son " jeune " frère Raúl, de quatre ans son cadet.Au fil du temps, il aura affronté les États-Unis, attisé les guérillas d'Amérique latine avec l'aide de son compañero " Che " Guevara, joué Pékin contre Moscou, tenté d'imposer La Havane comme troisième pôle de la Révolution mondiale et remodelé le Sud de l'Afrique, avec l'aide du protecteur soviétique. Il a laissé aux Cubains la Sécurité sociale et l'éducation gratuite, mais leur salaire moyen est aujourd'hui de 18 euros par mois, l'un des plus faibles de la planète.De quel poids pèse encore, de sa retraite médicalisée, le vieillard qui fut longtemps " la " voix de Cuba, un phare pour les opprimés d'Amérique latine et, un temps, l'idole de la jeunesse passionnée des cinq continents ? De l'enfance paysanne à sa sortie de scène, en passant par l'éducation jésuite et la jeunesse baroudeuse, l'auteur accompagne la trajectoire d'un révolutionnaire qui aura durablement marqué notre époque. Et redessine la carte de Cuba en 2013 : dictature militaire, oui ; socialiste, pourquoi pas ; en transition vers une économie moins administrée, sans doute. Extrait Extrait de l'introduction DE CUBA AU CŒUR DU MONDE Plutôt que des hommes de grand mérite, nous sommes des hommes à qui le hasard a donné des privilèges excessifs. Fidel Castro, 22 décembre 1975 Fidel Castro aura occupé la chronique mondiale près d'un demi-siècle. De 1959 à 2006, il a exercé sur son pays un pouvoir presque total comme «commandant en chef de la Révolution» cubaine. Il a battu des records planétaires de durée aux affaires. En tant que chef de gouvernement (1959-2006), c'est incontestable. Comme chef d'État, ses quasi-contemporains Elizabeth II d'Angleterre, le dalaï-lama, le roi Bumiphol de Thaïlande ont accédé avant lui à la première marche et exerçaient encore lorsqu'il a quitté la scène - mais il s'agit d'autres types de pouvoir. Le temps qu'il a passé sur le pavois n'approche tout de même pas la durée des règnes «imbattables» de Louis XIV, de François-Joseph ou de Victoria. Mais il se compare à celui de l'empereur Auguste ; et nul pontificat, pas même celui de Pie LX, ne l'égale ! C'est dès 1945 que, après son éducation chez les jésuites, Castro s'est lancé dans la vie publique de Cuba, tentant de conquérir l'université par l'élection tant qu'il l'a cru possible puis, déjà, les armes à la main. Il s'est fait connaître de l'opinion insulaire en tentant, le 26 juillet 1953, un coup de main contre la caserne Moncada de Santiago - un des points d'appui du dictateur Fulgencio Batista qu'il s'était juré de renverser. Le 26 juillet est aujourd'hui encore la fête nationale de la Révolution castriste. Après deux années de prison et un exil d'un peu plus d'un an au Mexique, Fidel Castro a débarqué dans l'Oriente de Cuba avec quatre-vingts compagnons, dont son jeune frère Raúl et le médecin argentin Ernesto Guevara, dit le «Che». Il a mené, dans la Sierra Maestra, une courte guérilla (2 décembre 1956-1er janvier 1959), qui a fini par contraindre son prédécesseur à s'enfuir. Or, la notoriété de celui que, dans son île, on ne nommait déjà plus que «Fidel» ou le «comandante» avait depuis longtemps atteint les États-Unis, à l'occasion d'une interview dans le New York Times, le 24 février 1957 : Fidel Castro y était «Robin des bois». La fuite du dictateur Batista et la victoire de la guérilla castriste, ainsi que le soulèvement civique de beaucoup de Cubains des villes, ont livré l'île au commandant en chef. Sa carrière a commencé sous les vivats de ses compatriotes et de la partie la plus vibrante de la jeunesse du monde. En moins de deux ans, pourtant - suivant en cela, d'instinct ou d'après ses lectures, un conseil que Machiavel donne au prince : exécuter l'
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