Fiche technique
- Titre : I.R.$., tome 3 : Blue ice
- Auteur : Desberg, Stephen
- Langue : Français
- Format : Relié
- Nombre de pages : 48
- Genre : Policier thriller
- Date de publication : 03-05-2003
- Édition : Le Lombard
- Poids : 0.42 kg
- Dimensions : 23 x 0.9 x 29.8 cm
- ISBN-10 : 2803616319
- ISBN-13 : 9782803616312
Résumé
Doté d'un ordinateur fiscal comme sixième sens, Larry B. Max continue de dénoncer les liens qui unissent la haute finance à la grande criminalité comme s'il avait un sombre compte à régler avec la très riche pourriture de ce monde... Activement recherché par la DEA, la brigade anti-drogue, ainsi que par l'I.R.S, l'administration fiscale, Ryan Ricks débarque à l'aéroport de Los Angeles où il est aussitôt repéré. En tant qu'expert de sociétés écrans, offshore et virtuelles, l'homme possède en effet un lourd passé dans le blanchiment international d'argent sale. Son retour à L.A. est d'autant plus risqué et surprenant qu'il coïncide avec une série de liquidations au sein de la représentation locale des cartels mexicains... Pour Larry B. Max, un tel risque ne peut être lié qu'à une affaire gigantesque...Amazon.frQuand Ryan Ricks, un as des paradis fiscaux, débarque dans la Cité des Anges, Los Angeles se met très vite à ressembler à l'enfer... Avec sa barbichette et son costume impeccable, on aurait pourtant tendance à lui donner le Bon Dieu sans confession. Erreur : l'homme est un spécialiste du blanchiment d'argent sale, traqué depuis douze ans par le fisc américain. Que vient-il faire ? Mystère. Pendant ce temps-là, ça cartonne dans les cartels. Plusieurs de leurs honorables membres passent soudain de vie à trépas. Larry B. Max, spécialiste des feuilles d'impôts pas très claires, mène l'enquête. Et aboutit à cette ahurissante conclusion : Ryan Ricks projette tout bonnement de racheter les cartels comme s'il s'agissait de simples bars à tapas…Mené à un train d'enfer, ce troisième volet de la série I.R.$. plonge au cœur d'une certaine réalité contemporaine. Celle des gros bonnets de la drogue, des trafiquants internationaux et du blanchiment d'argent. Surtout, ne pas se fier au ciel bleu et au décor hollywoodien présents en arrière-plan : la guerre meurtrière pour le contrôle de la cocaïne, ce n'est pas du cinéma… --Philippe ActèreQuatrième de couvertureUn thriller financier haletant et efficace
Quatrième de couverture
Un thriller financier haletant et efficaceBiographie de l'auteurStephen Desberg se destinait en premier lieu à la musique, mais les hasards des rencontres lui ont permis de mettre un pied dans la bande dessinée, via de courtes histoires pour le journal « Tintin » et des séries tout public chez « Spirou » parmi lesquelles « Billy The Cat ». Cette dernière connaîtra d'ailleurs une adaptation en dessin animé, réalisée avec Colman. Se prenant au jeu, il scénarise ensuite de somptueux one shot avec le regretté Will. Ces derniers amorcent une transition vers davantage de réalisme, registre dont Desberg va devenir l'un des grands. Né à Bruxelles d'un père américain, il a toujours suivi avec attention l'actualité de son « autre pays », et a beaucoup réfléchi à la nature profonde des États-Unis. De ces réflexions sont nées des séries telles que « I.R.$. », « Tosca », « Black OP», « Rafales » ou « Sherman ». Féru d'Histoire, il délaisse volontiers le contemporain pour des siècles plus anciens, allant de la Rome antique de « Cassio » au Far-West de « L'Étoile du Désert », en passant par l'Italie du dix-huitième siècle avec « Le Scorpion ». Mais, toutes ses séries sont liées par cette volonté d'interroger la nature de l'homme, son besoin de croire, et sa capacité à utiliser le mythe (qu'il soit historique ou religieux) en tant qu'outil politique. Toujours proactif, il essaie également de faire évoluer le mode de conception des BD franco-belges en créant des séries parallèles à "I.R.$." avec les projets « All Watcher », « I.R.$. Team » ou encore l'ambitieux « Empire USA » conçu avec non moins de six dessinateurs. Photo : L. MelikianNé en mai 1965 à Ixelles, Bernard Vrancken développe très rapidement un sens de l'esthétisme, une recherche du « beau », qu'il n'aura de cesse d'explorer à travers le dessin. Précoce, il se distingue rapidement, publiant ses premières planches dans le journal "Tintin" à l'âge de 16 ans. Et pourtant, il est totalement a
À propos de l'auteur
Desberg, Stephen
Stephen Desberg se destinait en premier lieu à la musique, mais les hasards des rencontres lui ont permis de mettre un pied dans la bande dessinée, via de courtes histoires pour le journal « Tintin » et des séries tout public chez « Spirou » parmi lesquelles « Billy The Cat ». Cette dernière connaîtra d'ailleurs une adaptation en dessin animé, réalisée avec Colman. Se prenant au jeu, il scénarise ensuite de somptueux one shot avec le regretté Will. Ces derniers amorcent une transition vers davantage de réalisme, registre dont Desberg va devenir l'un des grands. Né à Bruxelles d'un père américain, il a toujours suivi avec attention l'actualité de son « autre pays », et a beaucoup réfléchi à la nature profonde des États-Unis. De ces réflexions sont nées des séries telles que « I.R.$. », « Tosca », « Black OP», « Rafales » ou « Sherman ». Féru d'Histoire, il délaisse volontiers le contemporain pour des siècles plus anciens, allant de la Rome antique de « Cassio » au Far-West de « L'Étoile du Désert », en passant par l'Italie du dix-huitième siècle avec « Le Scorpion ». Mais, toutes ses séries sont liées par cette volonté d'interroger la nature de l'homme, son besoin de croire, et sa capacité à utiliser le mythe (qu'il soit historique ou religieux) en tant qu'outil politique. Toujours proactif, il essaie également de faire évoluer le mode de conception des BD franco-belges en créant des séries parallèles à "I.R.$." avec les projets « All Watcher », « I.R.$. Team » ou encore l'ambitieux « Empire USA » conçu avec non moins de six dessinateurs. Photo : L. MelikianNé en mai 1965 à Ixelles, Bernard Vrancken développe très rapidement un sens de l'esthétisme, une recherche du « beau », qu'il n'aura de cesse d'explorer à travers le dessin. Précoce, il se distingue rapidement, publiant ses premières planches dans le journal "Tintin" à l'âge de 16 ans. Et pourtant, il est totalement a
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