Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Shojo

Broché - Delcourt/Tonkam - 200 pages - Publication: 30 juin 2010

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Le monde est en pleine déliquescence, une épidémie frappe la population et transforme les gens en zombies qui attaquent sauvagement le reste de la population ! Menée par Lucile, une bande de baladins parcourt le monde, tentant de réaliser des miracles grâce à leur musique... Mais cela a-t-il encore un sens ? Revue de presse La jeune maman qu’est Kaori Yuki a bien du mal à nous sortir de quoi se rassasier, surtout que pour la plupart de ses lecteurs, il n’y a jamais assez de Yuki dans une bibliothèque ! C’est avec grand plaisir que l’on accueille ce premier tome de série en France. Fébrile, les premières pages sont un réel plaisir, rien qu’en nous replongeant dans l’univers si particulier de cette mangaka. L’histoire est évidemment fantastique, mais plutôt simple : une épidémie frappe la population. La transmission étant très rapide, la loi ordonne de brûler tout corps de « Guignol ». Les Guignol sont les poupées de chair qui ont perdu toute humanité, toute raison et toute conscience. Ils ne cherchent qu’à dévorer les vivants, qui subsistent tant bien que mal dans ce monde de fous. De ville en villages, un orchestre royal officieux se balade. Composée de Rutile, un chanteur plutôt particulier, et de ses deux acolytes, la petite troupe baroude pour donner des concerts assez spéciaux, moyennant une certaine somme d’argent. En réalisant des miracles par leur musique, l’orchestre royal officieux ne se refuse aucune chanson et seul compte l’argent … Il est bien connu que la musique adoucit les mœurs, et en chantant Rutile et ses compagnons permettent aux guignols de retrouver un court instant leur humanité. N’existant que pour satisfaire les désirs obscurs de leurs employeurs, les membres de l’orchestre réalisent des miracles qui n’ont plus aucun sens …La narration commence dans un grand paradoxe, comme d’ordinaire chez Yuki : sur les chapeau de roues, le lecteur est plongé dans un monde inconnu, des liens étranges et des mystères loin d’être éclaircis. Dans le même temps, les trois personnages principaux s’ancrent assez facilement, rapidement rejoints par un quatrième membre. La première histoire sert donc à poser certaines bases, le reste du manga permettant d’exploiter le rôle de l’orchestre et ses façons d’agir face à la folie du monde et les vices des hommes, plus que des marionnettes. C’est donc par petites touches que l’on rentre dans le récit, à la manière d’un God Child, en plus brouillon. Les informations fusent de toutes parts, tout en sachant très bien qu’il est inutile de chercher pour l’instant à comprendre le fonctionnement de la série. Encore une fois, par son univers gothique, sombre et violent, on sait très bien que l’auteur va nous emmener de révélations en contre révélations … Du moins l’espérons nous. L’originalité n’est pas ce qui prime vraiment, toutefois la certaine stabilité de retrouver des figures principales assez typées et souvent déjà rencontrées dans la bibliographie de la mangaka aide le lecteur à se repérer et à mieux appréhender ce départ, aussi déconcertant que prometteur. On ne peut encore pas s’extasier du génie de l’auteur, loin de là. Mais des pistes nous permettent de croire à d’excellentes surprises, et en attendant on profite de cet intérêt tout particulier aux poupées et autres marionnettes, symbole même du gothique et du fantastique. L’action, supposée se dérouler dans une France médiévale, est plus entre deux mondes et ne nous renvoie pas vraiment à quelque chose de connu, ce qui est un peu dommage. Un ancrage plus fort, plus proche de nous aurait sûrement permis de mieux s’approprier les détails de ce premier volume. N’oublions pas, de plus, que plus que les poupées ce sont les zombies qui sont mis à l’honneur, dans un univers aussi décadent, décalé et surprenant que d’ordinaire.D’un point de vue graphique, rien de bien nouveau sous le soleil. On ne vante plus le tant de dessinatrice de Kaori Yuki, de même qu’on n’a même plus à s’attarder sur l’aspect très
Détails du livre

Shojo

Broché - Delcourt/Tonkam - 200 pages - Publication: 30 juin 2010

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Le monde est en pleine déliquescence, une épidémie frappe la population et transforme les gens en zombies qui attaquent sauvagement le reste de la population ! Menée par Lucile, une bande de baladins parcourt le monde, tentant de réaliser des miracles grâce à leur musique... Mais cela a-t-il encore un sens ? Revue de presse La jeune maman qu’est Kaori Yuki a bien du mal à nous sortir de quoi se rassasier, surtout que pour la plupart de ses lecteurs, il n’y a jamais assez de Yuki dans une bibliothèque ! C’est avec grand plaisir que l’on accueille ce premier tome de série en France. Fébrile, les premières pages sont un réel plaisir, rien qu’en nous replongeant dans l’univers si particulier de cette mangaka. L’histoire est évidemment fantastique, mais plutôt simple : une épidémie frappe la population. La transmission étant très rapide, la loi ordonne de brûler tout corps de « Guignol ». Les Guignol sont les poupées de chair qui ont perdu toute humanité, toute raison et toute conscience. Ils ne cherchent qu’à dévorer les vivants, qui subsistent tant bien que mal dans ce monde de fous. De ville en villages, un orchestre royal officieux se balade. Composée de Rutile, un chanteur plutôt particulier, et de ses deux acolytes, la petite troupe baroude pour donner des concerts assez spéciaux, moyennant une certaine somme d’argent. En réalisant des miracles par leur musique, l’orchestre royal officieux ne se refuse aucune chanson et seul compte l’argent … Il est bien connu que la musique adoucit les mœurs, et en chantant Rutile et ses compagnons permettent aux guignols de retrouver un court instant leur humanité. N’existant que pour satisfaire les désirs obscurs de leurs employeurs, les membres de l’orchestre réalisent des miracles qui n’ont plus aucun sens …La narration commence dans un grand paradoxe, comme d’ordinaire chez Yuki : sur les chapeau de roues, le lecteur est plongé dans un monde inconnu, des liens étranges et des mystères loin d’être éclaircis. Dans le même temps, les trois personnages principaux s’ancrent assez facilement, rapidement rejoints par un quatrième membre. La première histoire sert donc à poser certaines bases, le reste du manga permettant d’exploiter le rôle de l’orchestre et ses façons d’agir face à la folie du monde et les vices des hommes, plus que des marionnettes. C’est donc par petites touches que l’on rentre dans le récit, à la manière d’un God Child, en plus brouillon. Les informations fusent de toutes parts, tout en sachant très bien qu’il est inutile de chercher pour l’instant à comprendre le fonctionnement de la série. Encore une fois, par son univers gothique, sombre et violent, on sait très bien que l’auteur va nous emmener de révélations en contre révélations … Du moins l’espérons nous. L’originalité n’est pas ce qui prime vraiment, toutefois la certaine stabilité de retrouver des figures principales assez typées et souvent déjà rencontrées dans la bibliographie de la mangaka aide le lecteur à se repérer et à mieux appréhender ce départ, aussi déconcertant que prometteur. On ne peut encore pas s’extasier du génie de l’auteur, loin de là. Mais des pistes nous permettent de croire à d’excellentes surprises, et en attendant on profite de cet intérêt tout particulier aux poupées et autres marionnettes, symbole même du gothique et du fantastique. L’action, supposée se dérouler dans une France médiévale, est plus entre deux mondes et ne nous renvoie pas vraiment à quelque chose de connu, ce qui est un peu dommage. Un ancrage plus fort, plus proche de nous aurait sûrement permis de mieux s’approprier les détails de ce premier volume. N’oublions pas, de plus, que plus que les poupées ce sont les zombies qui sont mis à l’honneur, dans un univers aussi décadent, décalé et surprenant que d’ordinaire.D’un point de vue graphique, rien de bien nouveau sous le soleil. On ne vante plus le tant de dessinatrice de Kaori Yuki, de même qu’on n’a même plus à s’attarder sur l’aspect très
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