Qualité
Notre programme qualité
Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.
Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.
Description de l’état d’un livre :
Très bon :
- Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
- Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
- Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées
- La couverture est en parfait état
- Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !
Bon:
- Livre déjà lu et usagé
- Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
- Aucune page n’est manquante
- La couverture est intacte
Correct:
- Livre usagé avec des marques d’usure visibles (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
- Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
- Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
- La couverture de protection peut être manquante
Le Pitch
En 1939,un exceptionnel ensemble de portraitsdu XVIe siècle était donné au musée Condé de Chantilly par la vicomtesse de Montaigne de Poncins. Cette collection avait été réunie aux XIXe siècle par ses ancêtres, les marquis de Biencourt, alors propriétaires du château d'Azay-le-Rideau. Pour la première fois depuis ce don, 36 chefs-d'œuvre restaurés pour l'occasion, quitteront Chantilly pour retrouver les murs du château d'Azay-le-Rideau où ils étaient autrefois admirés.
L'occasion de retrouver les portraits de Charles VII, Charles IX, Catherine de Médicis, Marguerite de Navarre, Anne de Montmorency ou encore d'Henriette de Balzac d'Entragues... dont les auteurs se nomment Jean Fouquet, François Clouet, Jean Decourt ou François Quesnel,les plus grands noms de la peinture françaisede l'époque.
Conservateur du patrimoine au musée Condé, Mathieu Deldicque fait revivre icil'art du portrait à la française, mis au point par Jean Clouet et son fils François Clouet, qui allie vérité des traits du modèle et acuité psychologique. Il permet également au lecteur de comprendrele fonctionnement d'un atelier de portraitiste, ainsi que l'usage du portrait à la Renaissance qui pouvait être aussi bien un cadeau diplomatique que destiné à orner une galerie familiale. Alexandra Zvereva, spécialiste de la peinture du XVIe siècle, retrace quant à elle l'histoire de cette collection unique.
Le Pitch
En 1939,un exceptionnel ensemble de portraitsdu XVIe siècle était donné au musée Condé de Chantilly par la vicomtesse de Montaigne de Poncins. Cette collection avait été réunie aux XIXe siècle par ses ancêtres, les marquis de Biencourt, alors propriétaires du château d'Azay-le-Rideau. Pour la première fois depuis ce don, 36 chefs-d'œuvre restaurés pour l'occasion, quitteront Chantilly pour retrouver les murs du château d'Azay-le-Rideau où ils étaient autrefois admirés.
L'occasion de retrouver les portraits de Charles VII, Charles IX, Catherine de Médicis, Marguerite de Navarre, Anne de Montmorency ou encore d'Henriette de Balzac d'Entragues... dont les auteurs se nomment Jean Fouquet, François Clouet, Jean Decourt ou François Quesnel,les plus grands noms de la peinture françaisede l'époque.
Conservateur du patrimoine au musée Condé, Mathieu Deldicque fait revivre icil'art du portrait à la française, mis au point par Jean Clouet et son fils François Clouet, qui allie vérité des traits du modèle et acuité psychologique. Il permet également au lecteur de comprendrele fonctionnement d'un atelier de portraitiste, ainsi que l'usage du portrait à la Renaissance qui pouvait être aussi bien un cadeau diplomatique que destiné à orner une galerie familiale. Alexandra Zvereva, spécialiste de la peinture du XVIe siècle, retrace quant à elle l'histoire de cette collection unique.