Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Henriette-Anne d'Angleterre

Broché - PYGMALION - 276 pages - Publication: 15 novembre 2006

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Elle est morte à vingt-six ans, dans l'éclat de la jeunesse, comme si le mauvais sort s'acharnait sur la famille royale des Stuarts dont elle est issue. Malgré sa vie brève, la belle-soeur de Louis XIV incarne dans les mémoires l'un des astres les plus brillants parus à la cour de France. Pétrie du charme et de l'orgueil de sa race, elle arrive très jeune à Paris, gourmande de plaisirs. Mal mariée au duc d'Orléans, qui préfère la compagnie des garçons et adopte à son égard un comportement odieux, elle n'en est pas moins accablée par des grossesses rapprochées. Admirée par le roi, auquel la lie une complicité amoureuse, elle décide de donner libre cours à ses envies, à ses audaces et à ses instincts. Est-ce par excès de plaisirs qu'elle meurt brutalement, à la stupéfaction de tous ? Lors de ses obsèques, en 1670, l'abbé Bossuet enflamme son auditoire en commençant son oraison par des paroles célèbres : «Madame se meurt. Madame est morte.» Si l'éminent prélat y dénonce la fatuité des vanités humaines, il propulse dans la légende la radieuse Henriette-Anne d'Angleterre, duchesse d'Orléans. C'est ce destin exceptionnel que nous raconte Christian Bouyer avec sa verve bien connue. Professeur agrégé, docteur en études européennes, Christian Bouyer est un spécialiste du XVIIe siècle français auquel il a consacré de nombre us ouvrages. Il a publié chez Pygmalion : La Duchesse de Chevreuse, Le Duc d'Orléans, frère de Louis XIV, La Grande Mademoiselle, La Princesse Palatine (prix Hugues Capet, 2005). Extrait Extrait de l'introduction : En 1661, Henriette-Anne d'Angleterre devient, à dix-sept ans, duchesse d'Orléans et troisième dame de la cour de France par son mariage avec Monsieur, frère de Louis XIV. Contrairement à beaucoup d'Altesses royales, elle n'est pas une inconnue pour les lecteurs passionnés d'histoire. Dans sa courte existence, aux prises avec un destin tragique, un témoin oculaire s'est trouvé sur son chemin. Il s'agit de Bossuet. En quelques heures, sous les voûtes de la basilique de Saint-Denis, le prestigieux prélat a métamorphosé une vie fastueuse en légende. Qui ne se souvient de sa fameuse oraison funèbre prononcée le 21 août 1670 ? Le texte est devenu l'un des morceaux choisis les plus éloquents de la littérature du XVIIe siècle. Des phrases qui, ciselées comme d'indicibles sentences, martelées à l'adresse d'un auditoire désabusé, mais chargées d'émotion et de ferme conviction, se sont, au détour de leurs envolées lyriques, figées comme un rempart contre l'oubli. Le 29 juin au soir : «Madame se meurt.» Le 30 au matin : «Madame est morte.» En une effroyable nuit, la mort a saisi la princesse qui vient juste d'avoir vingt-six ans. Elle s'est crue empoisonnée, innocente victime des agis­sements meurtriers d'un quelconque mignon de son époux aux moeurs dépravées. Il n'en est rien. La maladie qui s'est ancrée depuis l'enfance dans son corps fragile a eu raison d'elle dans la beauté de l'âge. «Le matin, elle fleurissait avec quelles grâces. Le soir, nous la vîmes séchée.» Elle est partie en pleine jeunesse comme de nombreux membres de sa famille. À telle enseigne que d'aucuns n'hésitent pas à dénoncer la malédiction qui semble s'être emparée des descendants de l'infortunée Marie Smart, qui a abandonné sous la hache du bourreau sa tête sur le billot, le 8 février 1587. Quatrième de couverture Elle est morte à vingt-six ans, dans l'éclat de la jeunesse, comme si le mauvais sort s'acharnait sur la famille royale des Stuarts dont elle est issue. Malgré sa vie brève, la belle-soeur de Louis XIV incarne dans les mémoires l'un des astres les plus brillants parus à la cour de France. Pétrie du charme et de l'orgueil de sa race, elle arrive très jeune à Paris, gourmande de plaisirs. Mal mariée au duc d'Orléans, qui préfère la compagnie des garçons et adopte à son égard un comportement odieux, elle n'en est pas moins accablée par des grossesses rapprochées. Admirée par l
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Henriette-Anne d'Angleterre

Broché - PYGMALION - 276 pages - Publication: 15 novembre 2006

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Elle est morte à vingt-six ans, dans l'éclat de la jeunesse, comme si le mauvais sort s'acharnait sur la famille royale des Stuarts dont elle est issue. Malgré sa vie brève, la belle-soeur de Louis XIV incarne dans les mémoires l'un des astres les plus brillants parus à la cour de France. Pétrie du charme et de l'orgueil de sa race, elle arrive très jeune à Paris, gourmande de plaisirs. Mal mariée au duc d'Orléans, qui préfère la compagnie des garçons et adopte à son égard un comportement odieux, elle n'en est pas moins accablée par des grossesses rapprochées. Admirée par le roi, auquel la lie une complicité amoureuse, elle décide de donner libre cours à ses envies, à ses audaces et à ses instincts. Est-ce par excès de plaisirs qu'elle meurt brutalement, à la stupéfaction de tous ? Lors de ses obsèques, en 1670, l'abbé Bossuet enflamme son auditoire en commençant son oraison par des paroles célèbres : «Madame se meurt. Madame est morte.» Si l'éminent prélat y dénonce la fatuité des vanités humaines, il propulse dans la légende la radieuse Henriette-Anne d'Angleterre, duchesse d'Orléans. C'est ce destin exceptionnel que nous raconte Christian Bouyer avec sa verve bien connue. Professeur agrégé, docteur en études européennes, Christian Bouyer est un spécialiste du XVIIe siècle français auquel il a consacré de nombre us ouvrages. Il a publié chez Pygmalion : La Duchesse de Chevreuse, Le Duc d'Orléans, frère de Louis XIV, La Grande Mademoiselle, La Princesse Palatine (prix Hugues Capet, 2005). Extrait Extrait de l'introduction : En 1661, Henriette-Anne d'Angleterre devient, à dix-sept ans, duchesse d'Orléans et troisième dame de la cour de France par son mariage avec Monsieur, frère de Louis XIV. Contrairement à beaucoup d'Altesses royales, elle n'est pas une inconnue pour les lecteurs passionnés d'histoire. Dans sa courte existence, aux prises avec un destin tragique, un témoin oculaire s'est trouvé sur son chemin. Il s'agit de Bossuet. En quelques heures, sous les voûtes de la basilique de Saint-Denis, le prestigieux prélat a métamorphosé une vie fastueuse en légende. Qui ne se souvient de sa fameuse oraison funèbre prononcée le 21 août 1670 ? Le texte est devenu l'un des morceaux choisis les plus éloquents de la littérature du XVIIe siècle. Des phrases qui, ciselées comme d'indicibles sentences, martelées à l'adresse d'un auditoire désabusé, mais chargées d'émotion et de ferme conviction, se sont, au détour de leurs envolées lyriques, figées comme un rempart contre l'oubli. Le 29 juin au soir : «Madame se meurt.» Le 30 au matin : «Madame est morte.» En une effroyable nuit, la mort a saisi la princesse qui vient juste d'avoir vingt-six ans. Elle s'est crue empoisonnée, innocente victime des agis­sements meurtriers d'un quelconque mignon de son époux aux moeurs dépravées. Il n'en est rien. La maladie qui s'est ancrée depuis l'enfance dans son corps fragile a eu raison d'elle dans la beauté de l'âge. «Le matin, elle fleurissait avec quelles grâces. Le soir, nous la vîmes séchée.» Elle est partie en pleine jeunesse comme de nombreux membres de sa famille. À telle enseigne que d'aucuns n'hésitent pas à dénoncer la malédiction qui semble s'être emparée des descendants de l'infortunée Marie Smart, qui a abandonné sous la hache du bourreau sa tête sur le billot, le 8 février 1587. Quatrième de couverture Elle est morte à vingt-six ans, dans l'éclat de la jeunesse, comme si le mauvais sort s'acharnait sur la famille royale des Stuarts dont elle est issue. Malgré sa vie brève, la belle-soeur de Louis XIV incarne dans les mémoires l'un des astres les plus brillants parus à la cour de France. Pétrie du charme et de l'orgueil de sa race, elle arrive très jeune à Paris, gourmande de plaisirs. Mal mariée au duc d'Orléans, qui préfère la compagnie des garçons et adopte à son égard un comportement odieux, elle n'en est pas moins accablée par des grossesses rapprochées. Admirée par l
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