Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Freeman

Broché - HUGO ROMAN - 520 pages - Publication: 06 février 2020

Braverman, Roy (Auteur)

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Puissant comme un ouragan sur le bayou Épicé comme un jambalaya créole Enivrant comme un Ramos Gin Fizz Endiablé comme un air de zydeco Envoûtant comme le parfum des belles-de-nuit Sensuel comme La Nouvelle-Orléans Noir comme un roman de James Lee Burke L'ouragan se déchaîne. Les bourrasques défoncent et emportent jusque sous le ciel noir tout ce qu'elles déchirent. Les traits de pluie, glacée et violente, fouettés par le vent, le cinglent comme autant de lanières. La pelouse est jonchée de projectiles hétéroclites qui retombent lourdement du ciel. Il pleut des barques, des barbecues, des poubelles. Des lampadaires. Des remorques. Tout ce que l'ouragan arrache sur l'autre rive du bayou Teche, il le crache sur cette pelouse. Une baignoire se fiche dans un parterre de géraniums, à deux mètres à peine de l'homme qui sursaute. C'est en se retournant pour voir à quoi d'autre s'attendre qu'il aperçoit l'alligator. Un monstre de quatre bons mètres. Trois cent cinquante kilos de fausse pesanteur préhistorique. Caparaçonné d'une armure d'écailles cornées et de plaques osseuses. Le crâne incrusté de coquillages. La plus puissante mâchoire sur Terre. Quinze fois celle d'un rottweiler. On devine son flanc nacré enfoncé par les coups de boutoir de la tempête. Chaque bourrasque le percute de côté pour le retourner. Par instinct, il se plaque au sol et plante ses griffes cornées dans la terre qui s'emboue et fond sous le déluge. Son oeil d'ambre alerté par les mouvements de l'homme, le monstre se dresse sur ses courtes pattes, coudes écartés, pour mieux le voir de ses yeux myopes grand ouverts sous la pluie. Le vent en profite aussitôt. Il se glisse sous son ventre d'ivoire, l'arrache du sol, et l'emporte avec lui dans son assaut contre la maison. Paralysé par l'horreur, l'homme regarde l'alligator valdinguer à travers les airs droit sur lui, tournoyant sur lui-même, comme une simple bouée de piscine sous un vent de plage. Mais ce qui le frappe en pleine poitrine, ce sont trois cent cinquante kilos d'un animal blindé projeté par des vents de cent quatre-vingts kilomètres-heure. Le choc les projette cinq mètres plus loin dans la boue épaisse qu'est devenue la pelouse. L'homme y patauge aussitôt sur le dos, terrifié, et tente de se dégager du poids de l'alligator qui l'étouffe, tombé à l'envers en travers de sa poitrine. Mais, d'abord étourdi par le vol et le choc, le reptile retrouve vite ses instincts primaires. D'un coup de reins puissant, il se remet sur ses courtes pattes et se retourne face à l'homme, pétrifié par l'horreur à quatre pattes lui aussi. Les deux restent immobiles dans la tempête, la gueule et le visage lacérés par la pluie, abasourdis par le vent. Les yeux d'ambre et fendus de noir de l'alligator, sans aucune expression, comme absent du carnage qui s'annonce. Quand il amorce un imperceptible recul, le sicaire croit à sa chance. Une seconde. Une seule. Celle d'après, l'alligator se jette sur lui et sa gueule hérissée de crocs d'ivoire jaunis claque sur sa tête et lui déchire l'épaule et le crâne. Puis l'animal s'assure, de deux brusques mouvements de la tête en l'air, que l'homme hurlant ne lui échappera pas, et le traîne à reculons jusqu'à la berge du bayou. Pour le noyer dans son garde-manger, quelque part au fond de l'eau, profond sous les courants inondés. Biographie de l'auteur Plus connu sous le pseudo Ian Manook, Roy Braverman est l'auteur de la série à succès Yeruldelgger chez Albin Michel. Le premier opus de la série a été récompensé en 2014 par : le Prix des lectrices Elle, le Prix SNCF du Polar et le Prix Quais du Polar.
Détails du livre
Auteur

Freeman

Broché - HUGO ROMAN - 520 pages - Publication: 06 février 2020

Braverman, Roy (Auteur)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Puissant comme un ouragan sur le bayou Épicé comme un jambalaya créole Enivrant comme un Ramos Gin Fizz Endiablé comme un air de zydeco Envoûtant comme le parfum des belles-de-nuit Sensuel comme La Nouvelle-Orléans Noir comme un roman de James Lee Burke L'ouragan se déchaîne. Les bourrasques défoncent et emportent jusque sous le ciel noir tout ce qu'elles déchirent. Les traits de pluie, glacée et violente, fouettés par le vent, le cinglent comme autant de lanières. La pelouse est jonchée de projectiles hétéroclites qui retombent lourdement du ciel. Il pleut des barques, des barbecues, des poubelles. Des lampadaires. Des remorques. Tout ce que l'ouragan arrache sur l'autre rive du bayou Teche, il le crache sur cette pelouse. Une baignoire se fiche dans un parterre de géraniums, à deux mètres à peine de l'homme qui sursaute. C'est en se retournant pour voir à quoi d'autre s'attendre qu'il aperçoit l'alligator. Un monstre de quatre bons mètres. Trois cent cinquante kilos de fausse pesanteur préhistorique. Caparaçonné d'une armure d'écailles cornées et de plaques osseuses. Le crâne incrusté de coquillages. La plus puissante mâchoire sur Terre. Quinze fois celle d'un rottweiler. On devine son flanc nacré enfoncé par les coups de boutoir de la tempête. Chaque bourrasque le percute de côté pour le retourner. Par instinct, il se plaque au sol et plante ses griffes cornées dans la terre qui s'emboue et fond sous le déluge. Son oeil d'ambre alerté par les mouvements de l'homme, le monstre se dresse sur ses courtes pattes, coudes écartés, pour mieux le voir de ses yeux myopes grand ouverts sous la pluie. Le vent en profite aussitôt. Il se glisse sous son ventre d'ivoire, l'arrache du sol, et l'emporte avec lui dans son assaut contre la maison. Paralysé par l'horreur, l'homme regarde l'alligator valdinguer à travers les airs droit sur lui, tournoyant sur lui-même, comme une simple bouée de piscine sous un vent de plage. Mais ce qui le frappe en pleine poitrine, ce sont trois cent cinquante kilos d'un animal blindé projeté par des vents de cent quatre-vingts kilomètres-heure. Le choc les projette cinq mètres plus loin dans la boue épaisse qu'est devenue la pelouse. L'homme y patauge aussitôt sur le dos, terrifié, et tente de se dégager du poids de l'alligator qui l'étouffe, tombé à l'envers en travers de sa poitrine. Mais, d'abord étourdi par le vol et le choc, le reptile retrouve vite ses instincts primaires. D'un coup de reins puissant, il se remet sur ses courtes pattes et se retourne face à l'homme, pétrifié par l'horreur à quatre pattes lui aussi. Les deux restent immobiles dans la tempête, la gueule et le visage lacérés par la pluie, abasourdis par le vent. Les yeux d'ambre et fendus de noir de l'alligator, sans aucune expression, comme absent du carnage qui s'annonce. Quand il amorce un imperceptible recul, le sicaire croit à sa chance. Une seconde. Une seule. Celle d'après, l'alligator se jette sur lui et sa gueule hérissée de crocs d'ivoire jaunis claque sur sa tête et lui déchire l'épaule et le crâne. Puis l'animal s'assure, de deux brusques mouvements de la tête en l'air, que l'homme hurlant ne lui échappera pas, et le traîne à reculons jusqu'à la berge du bayou. Pour le noyer dans son garde-manger, quelque part au fond de l'eau, profond sous les courants inondés. Biographie de l'auteur Plus connu sous le pseudo Ian Manook, Roy Braverman est l'auteur de la série à succès Yeruldelgger chez Albin Michel. Le premier opus de la série a été récompensé en 2014 par : le Prix des lectrices Elle, le Prix SNCF du Polar et le Prix Quais du Polar.
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