Fiche technique
- Titre : Les élixirs du diable (0000)
- Auteur : Ernst Theodor, Amadeus Hoffmann
- Langue : Français
- Format : Paperback
- Nombre de pages : 384
- Genre : Romans étrangers
- Date de publication : 18-02-2005
- Édition : LIBRETTO
- Poids : 0.305 kg
- Dimensions : 12.2 x 2.7 x 18 cm
- ISBN-10 : 2752900554
- ISBN-13 : 9782752900555
Résumé
Aux côtés du Moine de Lewis (1795) et du Melmoth de Maturin (1820). Les Elixirs du Diable (1816) figurent parmi les chefs-d'œuvre absolus du " roman noir " de la période romantique. Pour Hoffmann, ce récit de toutes les indécences et de tous les excès n'était rien de moins que le pivot secret autour duquel devait s'orienter toute son œuvre de conteur. Freud note qu'on y retrouve, dans une sorte de symphonie frénétique, l'ensemble des thèmes chers au grand " fantastiqueur ", et d'abord celui du Double, " dans toutes ses nuances, tous ses développements ". Texte déconcertant à coup sûr, où viennent se fondre comme en un creuset les plus hautes intuitions du Romantisme allemand.Quatrième de couvertureUn capucin, Frère Médard, succombe au pouvoir d'un mystérieux élixir, conservé parmi les trésors de son couvent. Commence alors une lutte contre lui-même, contre la folie et contre le destin...Aux côtés du Moine de Lewis (1795) et du Melmoth de Maturin (1820), Les Élixirs du Diable (1816) figure parmi les chefs-d'œuvre absolus du « roman noir » de la période romantique. Sigmund Freud reconnaît cette œuvre comme le modèle exemplaire de l'« inquiétante étrangeté » en littérature.
Quatrième de couverture
Un capucin, Frère Médard, succombe au pouvoir d'un mystérieux élixir, conservé parmi les trésors de son couvent. Commence alors une lutte contre lui-même, contre la folie et contre le destin...Aux côtés du Moine de Lewis (1795) et du Melmoth de Maturin (1820), Les Élixirs du Diable (1816) figure parmi les chefs-d'œuvre absolus du « roman noir » de la période romantique. Sigmund Freud reconnaît cette œuvre comme le modèle exemplaire de l'« inquiétante étrangeté » en littérature.Biographie de l'auteurNé le 24 janvier 1776 à Königsberg, en Prusse-Orientale, E. T. A. Hoffmann, dont les parents se séparèrent très tôt, fut élevé par ses grands-parents et un oncle qu'il n'aimait guère. Il tenait de lui son troisième prénom, Wilhelm, qu'il échangera plus tard contre celui d'Amadeus, en témoignage de son admiration pour Mozart. Après des études de droit, il devient juriste au service de l'État prussien et réussit à concilier une vie de bohème et une carrière qui le conduit en 1814 à la cour d'appel de Berlin. Privé pendant huit ans de sa charge par les défaites de la Prusse, il mène de 1806 à 1814 une existence précaire, tour à tour professeur de chant, chef d'orchestre, compositeur et directeur de théâtre. Il rédige des critiques musicales, compose le premier opéra romantique, Ondine, en 1814, sur un livret de La Motte-Fouqué, publie des nouvelles et un roman : Les Élixirs du Diable. Le succès de ses premiers recueils de contes fantastiques le pousse à se consacrer à la littérature. Dès les années 1820, il devient l'une des plus importantes figures du romantisme allemand et inspire de nombreux artistes, en Europe comme dans le reste du monde. Rarement un écrivain aura si durablement marqué, non seulement la littérature, mais aussi la musique et la peinture, de son empreinte : Richard Wagner reprend certains de ses motifs pour écrire les livrets de Tannhäuser et des Maîtres chanteurs, Schumann compose les Kreisleriana et Jacques Offenbach Les Contes d'Hoffmann. En littérature, le genre fantastique devient une expression dominante, l'influence d'Hoffmann s'exerçant sur des auteurs comme Balzac, Gautier, Mérimée, Nodier, Nerval et même Dumas. Sigmund Freud voyait en lui « le maître inégalé de l'inquiétante étrangeté en littérature ». Hoffmann est mort à Berlin le 25 juin 1822, à l'âge de quarante-six ans.
À propos de l'auteur
Ernst Theodor, Amadeus Hoffmann
Né le 24 janvier 1776 à Königsberg, en Prusse-Orientale, E. T. A. Hoffmann, dont les parents se séparèrent très tôt, fut élevé par ses grands-parents et un oncle qu'il n'aimait guère. Il tenait de lui son troisième prénom, Wilhelm, qu'il échangera plus tard contre celui d'Amadeus, en témoignage de son admiration pour Mozart. Après des études de droit, il devient juriste au service de l'État prussien et réussit à concilier une vie de bohème et une carrière qui le conduit en 1814 à la cour d'appel de Berlin. Privé pendant huit ans de sa charge par les défaites de la Prusse, il mène de 1806 à 1814 une existence précaire, tour à tour professeur de chant, chef d'orchestre, compositeur et directeur de théâtre. Il rédige des critiques musicales, compose le premier opéra romantique, Ondine, en 1814, sur un livret de La Motte-Fouqué, publie des nouvelles et un roman : Les Élixirs du Diable. Le succès de ses premiers recueils de contes fantastiques le pousse à se consacrer à la littérature. Dès les années 1820, il devient l'une des plus importantes figures du romantisme allemand et inspire de nombreux artistes, en Europe comme dans le reste du monde. Rarement un écrivain aura si durablement marqué, non seulement la littérature, mais aussi la musique et la peinture, de son empreinte : Richard Wagner reprend certains de ses motifs pour écrire les livrets de Tannhäuser et des Maîtres chanteurs, Schumann compose les Kreisleriana et Jacques Offenbach Les Contes d'Hoffmann. En littérature, le genre fantastique devient une expression dominante, l'influence d'Hoffmann s'exerçant sur des auteurs comme Balzac, Gautier, Mérimée, Nodier, Nerval et même Dumas. Sigmund Freud voyait en lui « le maître inégalé de l'inquiétante étrangeté en littérature ». Hoffmann est mort à Berlin le 25 juin 1822, à l'âge de quarante-six ans.
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