Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Soins palliatifs : le dernier manteau

Broché - ERES - 162 pages

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Sous la forme d'un abécédaire, une équipe de soutien en soins palliatifs témoigne de sa pratique. Elaboré à partir d'une supervision assurée pendant plusieurs années par Jean-Pierre Lebrun, cet abécédaire rend compte du travail d'ajustement incessant de détails auquel se soumettent les membres de l'équipe Delta, pour couvrir - palliatif venant de palliare, qui veut dire recouvrir - d'un manteau d'humanité jusqu'à leur dernier souffle, ceux et celles que la vie est en en train de quitter. Dire cette clinique du détail, de la broutille, voire m ême de la bricole, fait émerger l'importance cruciale de ces choses apparemment anodines, mais aussi des frottements, parfois des frictions, m ême des heurts, dans la rencontre entre le patient en fin de vie et celui qui l'accompagne. Extrait Extrait de l'avant-propos de Jean-Pierre Lebrun J'ai été invité comme psychanalyste à «superviser» - selon l'expression courante qui n'est certainement pas la meilleure - pendant cinq ans une équipe de soutien en soins palliatifs de seconde ligne à domicile, comme on le dit en Belgique. La différence de la situation politique entre la Belgique et les autres pays d'Europe, mais aussi la spécificité de ladite équipe justifient de commencer par expliciter quelque peu ce que recouvre cette appellation. En Belgique, les soins palliatifs se déplient entre des équipes mobiles qui vont à domicile, des unités d'hébergement, intra ou extra-hospitalières (unités de soins palliatifs) exclusivement consacrées aux personnes en fin de vie, ou encore des équipes volantes hospitalières auxquelles peuvent faire appel les différents services hospitaliers lorsqu'ils ont affaire à des patients en fin d'existence. L'équipe dont il est ici question se rattache donc aux équipes mobiles qui vont à domicile, mais elle est dite de seconde ligne, parce que son travail ne consiste pas à intervenir directement auprès du patient, mais plutôt à aider, soutenir le personnel médical, infirmier et paramédical déjà en place, ainsi que la famille et l'entourage du patient. La seconde ligne a la volonté de ne pas se substituer à l'environnement médical constitué souvent même avant l'annonce du diagnostic fatal -médecin généraliste, infirmière à domicile... - mais se charge de venir en aide aux personnes déjà au chevet du patient, soit par des conseils appropriés, par exemple en matière de lutte contre la douleur, ou de possibilité de meilleur confort (matériel plus performant...), soit par des interventions qui permettent des ajustements relatifs à la situation, soit encore par un accompagnement psychologique du patient, de son entourage direct ou de sa famille. L'équipe Delta - ainsi s'est-elle nommée - couvre l'arrondissement englobant les villes de Liège, Huy et Waremme (près d'un million d'habitants dans la région francophone du pays, appelée Wallonie) et leurs alentours. Cette équipe suit un minimum de quatre cents patients par an et bénéficie du financement de l'État. Elle est constituée d'une douzaine d'infirmières dont une coordinatrice, de trois médecins, d'une kinésithérapeute, d'une responsable administrative, d'une psychologue et d'une secrétaire comptable, la majorité de ces personnes à temps partiel, pour un total de dix équivalents temps plein. Les réunions consacrées à la supervision se sont tenues à raison d'une fois par mois environ, de 2007 à 2012. L'équipe Delta s'est constituée en 1999 à partir d'un groupe de soignants - certains hospitaliers, d'autres travaillant à domicile - qui souhaitaient permettre aux patients qui le désiraient de mourir chez eux, et pour ce faire, il s'agissait soit d'améliorer ce qui se faisait déjà - des équipes de soins à domicile existent en Belgique depuis les années 1990 -, soit de créer une structure d'aide pour les soignants extra-hospitaliers qui n'avaient pas une telle pratique faute d'expérience suffisante ou de compétence plus spécifique. Cette culture du prendre soin - et non plus du guérir - a
Détails du livre

Soins palliatifs : le dernier manteau

Broché - ERES - 162 pages

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Sous la forme d'un abécédaire, une équipe de soutien en soins palliatifs témoigne de sa pratique. Elaboré à partir d'une supervision assurée pendant plusieurs années par Jean-Pierre Lebrun, cet abécédaire rend compte du travail d'ajustement incessant de détails auquel se soumettent les membres de l'équipe Delta, pour couvrir - palliatif venant de palliare, qui veut dire recouvrir - d'un manteau d'humanité jusqu'à leur dernier souffle, ceux et celles que la vie est en en train de quitter. Dire cette clinique du détail, de la broutille, voire m ême de la bricole, fait émerger l'importance cruciale de ces choses apparemment anodines, mais aussi des frottements, parfois des frictions, m ême des heurts, dans la rencontre entre le patient en fin de vie et celui qui l'accompagne. Extrait Extrait de l'avant-propos de Jean-Pierre Lebrun J'ai été invité comme psychanalyste à «superviser» - selon l'expression courante qui n'est certainement pas la meilleure - pendant cinq ans une équipe de soutien en soins palliatifs de seconde ligne à domicile, comme on le dit en Belgique. La différence de la situation politique entre la Belgique et les autres pays d'Europe, mais aussi la spécificité de ladite équipe justifient de commencer par expliciter quelque peu ce que recouvre cette appellation. En Belgique, les soins palliatifs se déplient entre des équipes mobiles qui vont à domicile, des unités d'hébergement, intra ou extra-hospitalières (unités de soins palliatifs) exclusivement consacrées aux personnes en fin de vie, ou encore des équipes volantes hospitalières auxquelles peuvent faire appel les différents services hospitaliers lorsqu'ils ont affaire à des patients en fin d'existence. L'équipe dont il est ici question se rattache donc aux équipes mobiles qui vont à domicile, mais elle est dite de seconde ligne, parce que son travail ne consiste pas à intervenir directement auprès du patient, mais plutôt à aider, soutenir le personnel médical, infirmier et paramédical déjà en place, ainsi que la famille et l'entourage du patient. La seconde ligne a la volonté de ne pas se substituer à l'environnement médical constitué souvent même avant l'annonce du diagnostic fatal -médecin généraliste, infirmière à domicile... - mais se charge de venir en aide aux personnes déjà au chevet du patient, soit par des conseils appropriés, par exemple en matière de lutte contre la douleur, ou de possibilité de meilleur confort (matériel plus performant...), soit par des interventions qui permettent des ajustements relatifs à la situation, soit encore par un accompagnement psychologique du patient, de son entourage direct ou de sa famille. L'équipe Delta - ainsi s'est-elle nommée - couvre l'arrondissement englobant les villes de Liège, Huy et Waremme (près d'un million d'habitants dans la région francophone du pays, appelée Wallonie) et leurs alentours. Cette équipe suit un minimum de quatre cents patients par an et bénéficie du financement de l'État. Elle est constituée d'une douzaine d'infirmières dont une coordinatrice, de trois médecins, d'une kinésithérapeute, d'une responsable administrative, d'une psychologue et d'une secrétaire comptable, la majorité de ces personnes à temps partiel, pour un total de dix équivalents temps plein. Les réunions consacrées à la supervision se sont tenues à raison d'une fois par mois environ, de 2007 à 2012. L'équipe Delta s'est constituée en 1999 à partir d'un groupe de soignants - certains hospitaliers, d'autres travaillant à domicile - qui souhaitaient permettre aux patients qui le désiraient de mourir chez eux, et pour ce faire, il s'agissait soit d'améliorer ce qui se faisait déjà - des équipes de soins à domicile existent en Belgique depuis les années 1990 -, soit de créer une structure d'aide pour les soignants extra-hospitaliers qui n'avaient pas une telle pratique faute d'expérience suffisante ou de compétence plus spécifique. Cette culture du prendre soin - et non plus du guérir - a
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