Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Des victimes oubliées du nazisme

Broché - Cherche Midi - 204 pages

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Après avoir été longtemps négligée, la question du sort de la minorité noire et métisse dans l'Allemagne hitlérienne suscite depuis quelques années nombre d'interrogations ? et d'approximations. En historienne, Catherine Coquery-Vidrovitch a voulu remonter aux sources des persécutions dont furent victimes les Noirs sous le régime nazi. Le racisme ordinaire, enfant naturel du colonialisme allemand, entraîna au début du XXe siècle le massacre des Herero dans le Sud-Ouest africain. Ensuite se mit en place un racisme scientifique, prélude à la montée du nazisme. Après la prise du pouvoir par Hitler viendront les lois racistes, la stérilisation, les massacres de prisonniers et les déportations. Un document implacable sur un des aspects les moins connus des crimes du IIIe Reich. Extrait Extrait de l'introduction : Du «racisme ordinaire» au nazisme Quand les nazis arrivent au pouvoir en 1933, quelques centaines d'enfants nés de femmes allemandes et de soldats africains des troupes françaises d'occupation vivent en Allemagne. Dans Mein Kampf, Hitler écrivait que ces enfants étaient nés d'un complot juif visant à bâtardiser l'Europe. Ces naissances intervinrent surtout dans la Sarre occupée plusieurs années après la Grande Guerre par les troupes françaises. Celles-ci avaient compté, surtout à partir de 1917, au moment où l'hémorragie de la guerre des tranchées était à son comble, plusieurs centaines de milliers de soldats recrutés parmi les «indigènes» des colonies : au total 820 000 mobilisés dans les colonies et protectorats français, dont 636 000 ont été transportés en France. Parmi eux, 450 000 étaient des militaires stricto sensu (plus 187 000 travailleurs), originaires pour la plupart d'Afrique du Nord et d'Afrique noire occidentale, plus 31 000 venus de Madagascar et 43 000 d'Indochine. Un certain nombre d'entre eux - dont environ 11000 Noirs d'AOF - aboutirent sur les champs de bataille européens. Il y eut parmi ces derniers 30 000 morts ou disparus, soit un sur deux. Ce sont donc eux qui payèrent le plus cher la guerre des tranchées. Entre-temps, ils furent un certain nombre à frayer avec des femmes blanches. Les enfants nés de ces unions, on les surnomma les «poussières d'Empire» quand ils étaient d'ascendance asiatique (bui doi ou «poussière de vie» en vietnamien). Mais ce fut surtout la «honte noire» qui marqua les Allemands de la Sarre. Biographie de l'auteur Catherine Coquery-Vidrovitch est historienne et professeur d'université.
Détails du livre

Des victimes oubliées du nazisme

Broché - Cherche Midi - 204 pages

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Après avoir été longtemps négligée, la question du sort de la minorité noire et métisse dans l'Allemagne hitlérienne suscite depuis quelques années nombre d'interrogations ? et d'approximations. En historienne, Catherine Coquery-Vidrovitch a voulu remonter aux sources des persécutions dont furent victimes les Noirs sous le régime nazi. Le racisme ordinaire, enfant naturel du colonialisme allemand, entraîna au début du XXe siècle le massacre des Herero dans le Sud-Ouest africain. Ensuite se mit en place un racisme scientifique, prélude à la montée du nazisme. Après la prise du pouvoir par Hitler viendront les lois racistes, la stérilisation, les massacres de prisonniers et les déportations. Un document implacable sur un des aspects les moins connus des crimes du IIIe Reich. Extrait Extrait de l'introduction : Du «racisme ordinaire» au nazisme Quand les nazis arrivent au pouvoir en 1933, quelques centaines d'enfants nés de femmes allemandes et de soldats africains des troupes françaises d'occupation vivent en Allemagne. Dans Mein Kampf, Hitler écrivait que ces enfants étaient nés d'un complot juif visant à bâtardiser l'Europe. Ces naissances intervinrent surtout dans la Sarre occupée plusieurs années après la Grande Guerre par les troupes françaises. Celles-ci avaient compté, surtout à partir de 1917, au moment où l'hémorragie de la guerre des tranchées était à son comble, plusieurs centaines de milliers de soldats recrutés parmi les «indigènes» des colonies : au total 820 000 mobilisés dans les colonies et protectorats français, dont 636 000 ont été transportés en France. Parmi eux, 450 000 étaient des militaires stricto sensu (plus 187 000 travailleurs), originaires pour la plupart d'Afrique du Nord et d'Afrique noire occidentale, plus 31 000 venus de Madagascar et 43 000 d'Indochine. Un certain nombre d'entre eux - dont environ 11000 Noirs d'AOF - aboutirent sur les champs de bataille européens. Il y eut parmi ces derniers 30 000 morts ou disparus, soit un sur deux. Ce sont donc eux qui payèrent le plus cher la guerre des tranchées. Entre-temps, ils furent un certain nombre à frayer avec des femmes blanches. Les enfants nés de ces unions, on les surnomma les «poussières d'Empire» quand ils étaient d'ascendance asiatique (bui doi ou «poussière de vie» en vietnamien). Mais ce fut surtout la «honte noire» qui marqua les Allemands de la Sarre. Biographie de l'auteur Catherine Coquery-Vidrovitch est historienne et professeur d'université.
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