Fiche technique
- Titre : Une épouse presque parfaite !
- Auteur : Colwin, Laurie
- Langue : Français
- Format : Broché
- Nombre de pages : 310
- Genre : Romans
- Date de publication : 17-01-2008
- Édition : AUTREMENT
- Poids : 0.335 kg
- Dimensions : 14.5 x 1.9 x 22 cm
- ISBN-10 : 2746704757
- ISBN-13 : 9782746704756
Résumé
Polly se demanda si les autres femmes connaissaient aussi bien le dos de leurs maris. Quand elle pensait à Henry, elle se le représentait assis derrière son bureau, tard le soir, penché sur un gros tas de papiers. Elle voyait qu'il prenait des notes, et il ne se retourna pas pour l'embrasser. Au lieu de cela, elle mit son bras autour de son épaule et lui embrassa le cou. Il la caressa distraitement. " - Je me sens si seule, dit-elle.- Moi aussi, dit Henry. Viens, on va faire la vinaigrette. " On ne peut pas faire plaisir à tout le monde. Quand on aime sa famille, son mari, ses enfants et son amant, il y a parfois des conflits intérieurs qui empêchent de dormir. Si en plus, comme Polly Solo-Millet, on descend d'une famille ultra-conservatrice de la côte Est des États-Unis dont les conceptions du sportswear s'arrêtent aux robes à smocks et celles de la vie de couple à un silence tendre et compréhensif, une famille où prénoms et professions se transmettent comme des virus de génération en génération, l'apparition d'un amant dans ce décor de carte postale devient un événement tout aussi dramatique que la conquête de l'Ouest ou la Révolution française.Amazon.frIl est des livres qui vous transforment en lecteurs frénétiques, voraces. Des livres qui vous tendent, comme un arc, jusquà leur dernière ligne. Commence alors lincubation des modifications profondes quils ont inséminées en vous. Le quatrième et dernier roman de Laurie Colwin est – comme les trois autres ! – de ceux-là. Le titre à lui seul provoque doute et impatience : quel est donc ce "presque" qui prive cette épouse de la perfection ? Un amant bien sûr, comme on lapprend très vite. Mais lévidence a de quoi étonner au sein de laristocratique famille davocats à laquelle appartient la douce et irréprochable Polly. Dans la tribu des Solo-Miller, elle est celle dont la perfection ne surprend plus personne. Elle répond si absolument aux critères dexcellence de chacun, à commencer par ses parents et son mari Henry, quelle est devenue sans le savoir lombre delle-même. Cest Lincoln qui la réveille. Polly a remarqué ce jeune peintre au talent prometteur lors dun vernissage. Commence une liaison qui fait éclater ses repères, comme on fait voler un château de cartes. Langoisse de sentir mourir en elle lancienne Polly et son édifice de valeurs familiales. La terreur de ne plus se sentir consolée par ses deux enfants. Comment retrouver la paix quand une lignée entière vous condamne à la rébellion et à la solitude ? Laurie Colwin nous offre une réponse pleine dhumanité, dhumour et de finesse... aussi effrontément optimiste que celle deFranck et Billy, sur le même sujet.--Laure AncielQuatrième de couverture« Polly se demanda si les autres femmes connaissaient aussi bien le dos de leurs maris. Quand elle pensait à Henry, elle se le représentait assis derrière son bureau, tard le soir, penché sur un gros tas de papiers. Elle voyait qu'il prenait des notes, et il ne se retourna pas pour l'embrasser. Au lieu de cela, elle mit son bras autour de son épaule et lui embrassa le cou. Il la caressa distraitement. - Je me sens si seule, dit-elle. - Moi aussi, dit Henry. Viens, on va faire la vinaigrette. On ne peut pas faire plaisir à tout le monde. Quand on aime sa famille, son mari, ses enfants et son amant, il y a parfois des conflits intérieurs qui empêchent de dormir. Si en plus, comme Polly Solo-Miller, on descend d'une famille ultra-conservatrice de la côte Est des États-Unis dont les conceptions du sportswear s'arrêtent aux robes à smocks et celles de la vie de couple à un silence tendre et compréhensif, une famille où prénoms et professions se transmettent comme des virus de génération en génération, l'apparition d'un amant dans ce décor de carte postale devient un événement tout aussi dramatique que la conquête de l'Ouest ou la Révolution française.
Quatrième de couverture
« Polly se demanda si les autres femmes connaissaient aussi bien le dos de leurs maris. Quand elle pensait à Henry, elle se le représentait assis derrière son bureau, tard le soir, penché sur un gros tas de papiers. Elle voyait qu'il prenait des notes, et il ne se retourna pas pour l'embrasser. Au lieu de cela, elle mit son bras autour de son épaule et lui embrassa le cou. Il la caressa distraitement. - Je me sens si seule, dit-elle. - Moi aussi, dit Henry. Viens, on va faire la vinaigrette. On ne peut pas faire plaisir à tout le monde. Quand on aime sa famille, son mari, ses enfants et son amant, il y a parfois des conflits intérieurs qui empêchent de dormir. Si en plus, comme Polly Solo-Miller, on descend d'une famille ultra-conservatrice de la côte Est des États-Unis dont les conceptions du sportswear s'arrêtent aux robes à smocks et celles de la vie de couple à un silence tendre et compréhensif, une famille où prénoms et professions se transmettent comme des virus de génération en génération, l'apparition d'un amant dans ce décor de carte postale devient un événement tout aussi dramatique que la conquête de l'Ouest ou la Révolution française.Biographie de l'auteurTrop tôt disparue, Laurie Colwin (1944-1992), que l'on
À propos de l'auteur
Colwin, Laurie
Trop tôt disparue, Laurie Colwin (1944-1992), que l'on
Vous souhaitez vendre ce livre ?
C'est simple et rapide, il vous suffit de scanner le code-barres. Cette référence a été scannée 7 fois avec notre app par notre communauté de vendeurs, rejoignez le mouvement en cliquant ici.