Fiche technique
- Titre : La Brioche tue plus que le cholestérol: Combattre l'inflammation
- Auteur : Pelissier, Édouard
- Langue : Français
- Format : Broché
- Nombre de pages : 396
- Genre : Santé et Bien-être (santé physique et mentale, hygiène, sexualité, psychologie, pédagogie, enfants)
- Date de publication : 30-08-2012
- Édition : Odile Jacob
- Poids : 0.56 kg
- Dimensions : 14.5 x 2.1 x 21.5 cm
- ISBN-10 : 2738127959
- ISBN-13 : 9782738127952
Résumé
" J'ai écrit ce livre pour vous aider à savoir ce qu'il faut faire et ce qu'il ne faut pas faire, afin de mieux vous protéger contre les maladies liées à notre civilisation : infarctus, obésité, diabète, cancer, Alzheimer, ostéoporose, fatigue chronique et même dépression. Toutes ont en commun un état d'inflammation systémique silencieux et, comme elles sont en grande partie inhérentes à notre mode de vie moderne, c'est en le changeant qu'on peut s'en préserver." É. P. Dans cet ouvrage, étayé par de solides études scientifiques, le Docteur Édouard Pélissier nous invite à découvrir un phénomène qui doit nous alerter : l'inflammation systémique. Une chance : toutes les solutions pour s'en prémunir dépendent de mesures d'hygiène de vie anti-inflammatoire qui sont à notre portée ! Le docteur Édouard Pélissier est chirurgien en cancérologie, membre de l'Académie nationale de chirurgie, de la New York Academy of Sciences, de l'American College of Surgeons et de nombreuses sociétés savantes. Il est l'auteur d'une centaine de publications dans des revues médicales nationales ou internationales et coauteur d'ouvrages médicaux, notamment en cancérologie digestive.ExtraitPourquoi ce livre ? Que ce livre soit écrit par un chirurgien pourra surprendre. En effet, en quoi le chirurgien peut-il être légitime à traiter du diabète, de l'athérosclérose, de la maladie d'Alzheimer, du régime alimentaire ou du stress ? N'est-il pas habituellement l'ultime maillon de la chaîne : celui qui intervient à la fin du processus de soin, après que les médecins généralistes et spécialistes ont déterminé la nature du mal ? Celui qui tranche, qui excise, qui résèque, ou qui répare, qui rapièce, ou qui raccommode, et non celui qui fait de la prévention ? En fait, cela n'a rien d'étonnant. Le bon chirurgien ne se borne pas à traiter le «cas», la maladie ou l'organe, il soigne un malade, au moyen d'une technique très perfectionnée, qu'il est le seul à maîtriser, et il prend en considération cette personne dans son état de santé global. Cela est vrai pour toute chirurgie, et plus encore en chirurgies majeures, cancérologique ou cardio-vasculaire, qui sont des chirurgies à haut risque. Pour donner toutes ses chances au malade, il faut savoir évaluer au plus près le rapport bénéfice/risque et cette évaluation nécessite de bonnes connaissances médicales. Même si le chirurgien prend l'avis des différents spécialistes médicaux qui l'entourent et en tient le plus grand compte, c'est à lui que revient la décision finale d'opérer. Il doit non seulement prendre la décision mais aussi en assurer la réalisation technique et en assumer les conséquences. Il doit donc avoir suffisamment de connaissances médicales pour intégrer les avis des différents spécialistes en un tout, qui est une sorte de modélisation du malade, que nous dénommons plus sobrement et de façon pragmatique dans notre jargon, le «terrain». Si le terrain est défavorable, le risque, lors de l'intervention, est plus élevé. Le bon chirurgien n'est pas qu'un bon opérateur ; il est avant tout un médecin. Un médecin qui maîtrise une technique de traitement hautement spécialisée, la chirurgie. Dans la réussite de l'entreprise chirurgicale, la part du raisonnement et de la réflexion ne vaut pas moins que celle de l'habileté manuelle : les mains sont des prolongements du cerveau. Si l'on adopte cette vision du chirurgien, on comprend qu'il puisse s'intéresser à d'autres aspects de la médecine que la seule technique chirurgicale. Le chirurgien est aussi un humaniste. S'il peut paraître distant, parce qu'il a appris à maîtriser ses émotions pour garder son sang-froid en toutes circonstances, même les plus dramatiques, au fond de lui, il demeure sensible à la souffrance de ses semblables. Il s'efforce de réduire au minimum la douleur et de faciliter le retour à la vie normale ; ce que nous appelons la réhabilitation postopératoire. (...)
À propos de l'auteur
Pelissier, Édouard
Le docteur Édoua
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