Fiche technique
- Titre : Les 7 Vies de l'Epervier - Tome 04: Hyronimus
- Auteur : Cothias - Juillard
- Langue : Français
- Format : Relié
- Nombre de pages : 48
- Genre : Histoire
- Date de publication : 15-05-1988
- Édition : GLENAT
- Poids : 0.42 kg
- Dimensions : 21.5 x 1 x 29.3 cm
- ISBN-10 : 272342538X
- ISBN-13 : 9782723425384
Résumé
Au bon temps du Roi Henri, l'étonnant destin d'Ariane de Troïl... Une jeune femme de caractère qu'un destin farceur incite à se parer des atours de L'Epervier, le justicier masqué... A la manière d'un Dumas, Cothias dénoue les fils d'une tragédie où se croisent personnages connus et héros de fiction nés de son imagination volcanique. Juillard signe une mise en scène où l'élégance et la beauté s'expriment ouvertement. Un chef-d'oeuvre romanesque incontournable qui est depuis et à juste titre devenu un des plus grands classiques de la bande dessinée.Le Cycle des 7 Vies est une des constructions les plus impressionnantes de la bande dessinée française, une véritable " Comédie Humaine " au siècle d'Henri IV et de Louis XIII." A l'origine, les 7 vies devaient se composer de 7 albums, tout simplement. En débutant ce cycle, je n'imaginais pas la richesse de l'époque que j'allais traiter. Les différentes séries venues se greffer sur le tronc principal se sont imposées à moi d'une manière imprévisible, au coup par coup." (Cothias)Quatrième de couvertureDouze jours avant le crime, Ravaillac rôde autour du Louvre où Henri IV, indifférent aux sombres prédictions qui tentent de le prévenir, ignore que son destin est déjà scellé... Décor historique pour un étrange drame à trois personnages : Henri IV, l'Epervier et Hyronimus, encore nommé frère Jérôme de la Résolution, redoutable exorciste. Cette croisade contre le mal atteindra-t-elle l'Épervier qui continue de ridiculiser la noblesse ? Ariane de Troïl n'est pas du tout convaincue, pas plus que le bon roi Henri, isolé au sein d'une cour de plus en plus hostile. "Hyronimus", quatrième volume du cycle des "7 Vies de l'Épervier", brosse un tableau cruel et coloré de cette période de notre histoire traversée par le spectre de la guerre civile. André Juillard, avec "Arno", "Masquerouge" ou "Les 7 Vies de l'Épervier", s'impose comme le leader incontesté de la BD historique. Son association avec Patrick Cothias permet de juger dans tout son éclat l'élégance de son trait et la perfection de ses dessins.
Quatrième de couverture
Douze jours avant le crime, Ravaillac rôde autour du Louvre où Henri IV, indifférent aux sombres prédictions qui tentent de le prévenir, ignore que son destin est déjà scellé... Décor historique pour un étrange drame à trois personnages : Henri IV, l'Epervier et Hyronimus, encore nommé frère Jérôme de la Résolution, redoutable exorciste. Cette croisade contre le mal atteindra-t-elle l'Épervier qui continue de ridiculiser la noblesse ? Ariane de Troïl n'est pas du tout convaincue, pas plus que le bon roi Henri, isolé au sein d'une cour de plus en plus hostile. "Hyronimus", quatrième volume du cycle des "7 Vies de l'Épervier", brosse un tableau cruel et coloré de cette période de notre histoire traversée par le spectre de la guerre civile. André Juillard, avec "Arno", "Masquerouge" ou "Les 7 Vies de l'Épervier", s'impose comme le leader incontesté de la BD historique. Son association avec Patrick Cothias permet de juger dans tout son éclat l'élégance de son trait et la perfection de ses dessins.Biographie de l'auteurNé le 31 décembre 1948 à Paris, Patrick Cothias se retrouve en première année de Philo à la fac de Nanterre en 1968. En 1969, il se fait réformer du service militaire pour incompatibilité caractérielle et interrompt sauvagement ses études pour consacrer deux ans à faire le tour du monde en stop, avec 3 francs six sous en poche. En 1970, il vend ses premiers textes dans le Journal de Téhéran, du temps du Shah botté.En 1972, de retour au « pays », il fait la connaissance des jeunes Régis Loisel, Serge Letendre, Max Cabane, Michel Rouge, Fabien Lacaf, etc. Il hésite encore entre la plume et le pinceau. A défaut de pouvoir s’entendre avec les « néo-anarchistes » de la jeune presse pseudo-contestataire qu’il juge trop « caca-boudin » (il a déjà donné), il publie ses premiers travaux de bd dans les revues du groupe Fleurus (Gazoline, pour Pierre Guilmard) ainsi qu’aux Editions Vaillant où il devient, sans le vouloir, le faire-valoir de Jean Richard : ce dernier étant censé raconter, en son nom propre, de courtes histoires animalières. En 1975, toujours dans "Pif-Gadget", Cothias écrit la série Les Sandberg avec Alfonso Font. Il scénarise aussi un grand nombre d’épisodes de Sylvio le Grillon pour Philippe Luguy. Il se prête au "Journal de Mickey" pour gérer quelques aventures des neveux de Donald et de l’Oncle Picsou.Parallèlement, il fait une très courte intrusion dans "Pilote" avec son désormais grand ami Loisel, et dans "Métal Hurlant", tout seul, comme une bête. Toujours avec Loisel, il participe aux Nocturnes et co-signe les scénarios de Norbert le Lézard, pour les éditons Kesselring.Très accessoirement, à l’occasion d’un concours, il obtient le Grand prix Nicolas Goujon du meilleur dessinateur.En 1980, il crée Masquerouge pour Juillard, qu’il vient enfin de rencontrer, puis pour Marco Venanzi. Après une collaboration avec "Okapi" (Snar
À propos de l'auteur
Cothias - Juillard
Né le 31 décembre 1948 à Paris, Patrick Cothias se retrouve en première année de Philo à la fac de Nanterre en 1968. En 1969, il se fait réformer du service militaire pour incompatibilité caractérielle et interrompt sauvagement ses études pour consacrer deux ans à faire le tour du monde en stop, avec 3 francs six sous en poche. En 1970, il vend ses premiers textes dans le Journal de Téhéran, du temps du Shah botté.En 1972, de retour au « pays », il fait la connaissance des jeunes Régis Loisel, Serge Letendre, Max Cabane, Michel Rouge, Fabien Lacaf, etc. Il hésite encore entre la plume et le pinceau. A défaut de pouvoir s’entendre avec les « néo-anarchistes » de la jeune presse pseudo-contestataire qu’il juge trop « caca-boudin » (il a déjà donné), il publie ses premiers travaux de bd dans les revues du groupe Fleurus (Gazoline, pour Pierre Guilmard) ainsi qu’aux Editions Vaillant où il devient, sans le vouloir, le faire-valoir de Jean Richard : ce dernier étant censé raconter, en son nom propre, de courtes histoires animalières. En 1975, toujours dans "Pif-Gadget", Cothias écrit la série Les Sandberg avec Alfonso Font. Il scénarise aussi un grand nombre d’épisodes de Sylvio le Grillon pour Philippe Luguy. Il se prête au "Journal de Mickey" pour gérer quelques aventures des neveux de Donald et de l’Oncle Picsou.Parallèlement, il fait une très courte intrusion dans "Pilote" avec son désormais grand ami Loisel, et dans "Métal Hurlant", tout seul, comme une bête. Toujours avec Loisel, il participe aux Nocturnes et co-signe les scénarios de Norbert le Lézard, pour les éditons Kesselring.Très accessoirement, à l’occasion d’un concours, il obtient le Grand prix Nicolas Goujon du meilleur dessinateur.En 1980, il crée Masquerouge pour Juillard, qu’il vient enfin de rencontrer, puis pour Marco Venanzi. Après une collaboration avec "Okapi" (Snar
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