Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Lapize

Broché - TABLE RONDE - 234 pages - Publication: 03 avril 2003

Bobet, Jean (Auteur)

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Au début des années cinquante, mon frère (Louison) et moi résidions dans la banlieue est de Paris. A chacun de nos entraînements, nous passions devant le Café Lapize à Villiers-sur-Marne. Ce Lapize nous poursuivait partout. Il n'y avait pas, à cette époque, d'autres courroies de cale-pied que celles signées Lapize. Il y avait sur le circuit automobile de Montlhéry cette sacrée côte Lapize qui forçait la décision de toutes les courses qui s'y déroulaient. À Villiers-sur-Marne, Octave Lapize n'était plus dans le café. Nous savions qu'il était mort à la guerre, celle de 14-18. On disait même qu'il était mort en héros. Le Café Lapize était la propriété du père du champion. Un jour, j'ai franchi la tonnelle qui donnait accès à la grande salle du café. J'ai vu Octave Lapize, le champion, dans un grand tableau accroché au mur, un pastel qui le représentait, superbe, dans son maillot de champion de France. J'avais devant moi le portrait d'un homme de classe, d'un seigneur. Sous le portrait, on pouvait lire : " Vainqueur du Tour de France, de Paris-Roubaix (3 fois), de Paris-Bruxelles (3 fois) ". Pendant cinquante ans, j'ai toujours pensé à Octave Lapize. Un jour, j'ai décidé de retrouver sa trace raconter sa vie. Grâce à lui, j'ai connu les plus riches heures du sport cycliste, celles du début du XXe siècle. Les années Lapize. Jean Bobet Quatrième de couverture "Au début des années cinquante, mon frère (Louison) et moi résidions dans la banlieue est de Paris. À chacun de nos entraînements, nous passions devant le Café Lapize à Villiers-sur-Marne. Ce Lapize nous poursuivait partout. Il n'y avait pas, à cette époque, d'autres courroies de cale-pied que celles signées Lapize. Il y avait sur le circuit automobile de Montlhéry cette sacrée côte Lapize qui forçait la décision de toutes les courses qui s'y déroulaient. À Villiers-sur-Marne, Octave Lapize n'était plus dans le café. Nous savions qu'il était mort à la guerre, celle de 14-18. On disait même qu'il était mort en héros. Le Café Lapize était la propriété du père du champion. Un jour, j'ai franchi la tonnelle qui donnait accès à la grande salle du café. J'ai vu Octave Lapize, le champion, dans un grand tableau accroché au mur, un pastel qui le représentait, superbe, dans son maillot de champion de France. J'avais devant moi le portrait d'un homme de classe, d'un seigneur. Sous le portrait, on pouvait lire : "Vainqueur du Tour de France, de Paris-Roubaix (3 fois), de Paris-Bruxelles (3 fois)." Pendant cinquante ans, j'ai toujours pensé à Octave Lapize. Un jour, j'ai décidé de retrouver sa trace pour raconter sa vie. Grâce à lui, j'ai connu les plus riches heures du sport cycliste, celles du début du XXᵉ siècle. Les années Lapize." Jean Bobet.
Détails du livre
Auteur

Lapize

Broché - TABLE RONDE - 234 pages - Publication: 03 avril 2003

Bobet, Jean (Auteur)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Au début des années cinquante, mon frère (Louison) et moi résidions dans la banlieue est de Paris. A chacun de nos entraînements, nous passions devant le Café Lapize à Villiers-sur-Marne. Ce Lapize nous poursuivait partout. Il n'y avait pas, à cette époque, d'autres courroies de cale-pied que celles signées Lapize. Il y avait sur le circuit automobile de Montlhéry cette sacrée côte Lapize qui forçait la décision de toutes les courses qui s'y déroulaient. À Villiers-sur-Marne, Octave Lapize n'était plus dans le café. Nous savions qu'il était mort à la guerre, celle de 14-18. On disait même qu'il était mort en héros. Le Café Lapize était la propriété du père du champion. Un jour, j'ai franchi la tonnelle qui donnait accès à la grande salle du café. J'ai vu Octave Lapize, le champion, dans un grand tableau accroché au mur, un pastel qui le représentait, superbe, dans son maillot de champion de France. J'avais devant moi le portrait d'un homme de classe, d'un seigneur. Sous le portrait, on pouvait lire : " Vainqueur du Tour de France, de Paris-Roubaix (3 fois), de Paris-Bruxelles (3 fois) ". Pendant cinquante ans, j'ai toujours pensé à Octave Lapize. Un jour, j'ai décidé de retrouver sa trace raconter sa vie. Grâce à lui, j'ai connu les plus riches heures du sport cycliste, celles du début du XXe siècle. Les années Lapize. Jean Bobet Quatrième de couverture "Au début des années cinquante, mon frère (Louison) et moi résidions dans la banlieue est de Paris. À chacun de nos entraînements, nous passions devant le Café Lapize à Villiers-sur-Marne. Ce Lapize nous poursuivait partout. Il n'y avait pas, à cette époque, d'autres courroies de cale-pied que celles signées Lapize. Il y avait sur le circuit automobile de Montlhéry cette sacrée côte Lapize qui forçait la décision de toutes les courses qui s'y déroulaient. À Villiers-sur-Marne, Octave Lapize n'était plus dans le café. Nous savions qu'il était mort à la guerre, celle de 14-18. On disait même qu'il était mort en héros. Le Café Lapize était la propriété du père du champion. Un jour, j'ai franchi la tonnelle qui donnait accès à la grande salle du café. J'ai vu Octave Lapize, le champion, dans un grand tableau accroché au mur, un pastel qui le représentait, superbe, dans son maillot de champion de France. J'avais devant moi le portrait d'un homme de classe, d'un seigneur. Sous le portrait, on pouvait lire : "Vainqueur du Tour de France, de Paris-Roubaix (3 fois), de Paris-Bruxelles (3 fois)." Pendant cinquante ans, j'ai toujours pensé à Octave Lapize. Un jour, j'ai décidé de retrouver sa trace pour raconter sa vie. Grâce à lui, j'ai connu les plus riches heures du sport cycliste, celles du début du XXᵉ siècle. Les années Lapize." Jean Bobet.
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