Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Grand-père

Broché - Denoël - 222 pages - Publication: 03 octobre 2001

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Avec la collaboration de Louis Valentin Amazon.fr Les créateurs ont-ils le droit d'engloutir et de désespérer tous ceux qui les approchent ? Celle qui pose cette question difficile s'appelle Marina Picasso. Petite-fille du génie. Fille de Paulo, décédé. Sœur de Pablito, mort en avalant une dose d'eau de javel. L'art est souvent étroitement mêlé à la mort. Quelle autre œuvre que celle de Picasso illustre aussi bien cette union douloureuse ? Quel talent – aussi immense fut-il – peut justifier autant de blessures, de tragédies intimes ? L'émotion du récit de Marina se situe là, dans ces contours obscurs où l'art se situe : entre égocentrisme profond et humanisme, réflexe naturel pour certains, complètement étranger pour d'autres. Quatorze ans d'analyse auront aider la petite fille qu'elle fût à vivre avec le monstre génial, l'homme des corridas, à la sexualité exacerbée, au talent dévorant, voire meurtrier. Qui n'hésita pas à laisser sa famille dans la misère, à quelques kilomètres de sa propriété, préférant s'isoler avec sa dernière femme, Jacqueline. Quatorze ans pour comprendre la faiblesse de son propre père, avalé par le maître Picasso qui lui disait "Tu es médiocre et tu resteras médiocre" : comment alors parvenir, pour Paulo, à exister, à assumer, à aimer ? Quatorze ans aussi pour accepter la folie hystérique de sa mère ne vivant que par rapport à son beau-père mythique. Quatorze ans pour s'arroger le droit de vivre, malgré la disparition de son frère chéri, ce double pour qui la vie n'avait plus de goût. Marina est revenue de ces épreuves. Avec une pudeur immense, un recul dû à des années d'analyse et une générosité désintéressée, elle livre la vie d'une Picasso. Son action en faveur des orphelins au Vietnam achève de prouver qu'elle a aussi un prénom. Marina. Un monstre… d'humanisme. Belle revanche ! --Marine Segalen Quatrième de couverture "Mon père me tient par la main. Sans un mot, il s'avance vers le portail qui défend la maison de mon grand-père. Mon frère, Pablito, nous suit à quelques pas. J'ai six ans, Pablito pas tout à fait huit. Mon père sonne. J'ai peur comme à chaque fois. Le gardien de La Californie apparaît : "Monsieur Paul, vous aviez rendez-vous ? - Oui", bredouille mon père. Il a lâché ma main pour que je ne sente pas à quel point la sienne est devenue moite. "Je vais voir si le maître peut vous recevoir." Le portail se referme. Il pleut, mais nous devons attendre le bon plaisir du maître..."Grand-père, c'est l'histoire de Picasso, le plus grand génie du siècle vu à travers les yeux d'une enfant, Marina, sa petite-fille. En 1973, à la mort du peintre, elle a vingt-deux ans. Pendant trente ans elle se tait. Il lui aura fallu toutes ces années pour mettre des mots sur sa souffrance, pour caresser avec une émotion infinie et pleine de pudeur cette cicatrice. De la manière la plus intime, la plus terrible, Marina Picasso écrit jusqu'au-delà de la douleur, là où se trouve aujourd'hui sa liberté : ses enfants et ceux du bout du monde. Biographie de l'auteur Petite-fille de Pablo Picasso et d'Olga Kokhlova, fille de Paulo Picasso et d'Emilienne Lotte, Marina est née en 1950, à Cannes. Depuis 1990, elle se consacre à des œuvres humanitaires au Vietnam. Sa fondation multiplie les actions dont, notamment, " Le Village de la Jeunesse " qui accueille aujourd'hui plus de trois cents orphelins. Elle a cinq enfants.
Détails du livre

Grand-père

Broché - Denoël - 222 pages - Publication: 03 octobre 2001

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Avec la collaboration de Louis Valentin Amazon.fr Les créateurs ont-ils le droit d'engloutir et de désespérer tous ceux qui les approchent ? Celle qui pose cette question difficile s'appelle Marina Picasso. Petite-fille du génie. Fille de Paulo, décédé. Sœur de Pablito, mort en avalant une dose d'eau de javel. L'art est souvent étroitement mêlé à la mort. Quelle autre œuvre que celle de Picasso illustre aussi bien cette union douloureuse ? Quel talent – aussi immense fut-il – peut justifier autant de blessures, de tragédies intimes ? L'émotion du récit de Marina se situe là, dans ces contours obscurs où l'art se situe : entre égocentrisme profond et humanisme, réflexe naturel pour certains, complètement étranger pour d'autres. Quatorze ans d'analyse auront aider la petite fille qu'elle fût à vivre avec le monstre génial, l'homme des corridas, à la sexualité exacerbée, au talent dévorant, voire meurtrier. Qui n'hésita pas à laisser sa famille dans la misère, à quelques kilomètres de sa propriété, préférant s'isoler avec sa dernière femme, Jacqueline. Quatorze ans pour comprendre la faiblesse de son propre père, avalé par le maître Picasso qui lui disait "Tu es médiocre et tu resteras médiocre" : comment alors parvenir, pour Paulo, à exister, à assumer, à aimer ? Quatorze ans aussi pour accepter la folie hystérique de sa mère ne vivant que par rapport à son beau-père mythique. Quatorze ans pour s'arroger le droit de vivre, malgré la disparition de son frère chéri, ce double pour qui la vie n'avait plus de goût. Marina est revenue de ces épreuves. Avec une pudeur immense, un recul dû à des années d'analyse et une générosité désintéressée, elle livre la vie d'une Picasso. Son action en faveur des orphelins au Vietnam achève de prouver qu'elle a aussi un prénom. Marina. Un monstre… d'humanisme. Belle revanche ! --Marine Segalen Quatrième de couverture "Mon père me tient par la main. Sans un mot, il s'avance vers le portail qui défend la maison de mon grand-père. Mon frère, Pablito, nous suit à quelques pas. J'ai six ans, Pablito pas tout à fait huit. Mon père sonne. J'ai peur comme à chaque fois. Le gardien de La Californie apparaît : "Monsieur Paul, vous aviez rendez-vous ? - Oui", bredouille mon père. Il a lâché ma main pour que je ne sente pas à quel point la sienne est devenue moite. "Je vais voir si le maître peut vous recevoir." Le portail se referme. Il pleut, mais nous devons attendre le bon plaisir du maître..."Grand-père, c'est l'histoire de Picasso, le plus grand génie du siècle vu à travers les yeux d'une enfant, Marina, sa petite-fille. En 1973, à la mort du peintre, elle a vingt-deux ans. Pendant trente ans elle se tait. Il lui aura fallu toutes ces années pour mettre des mots sur sa souffrance, pour caresser avec une émotion infinie et pleine de pudeur cette cicatrice. De la manière la plus intime, la plus terrible, Marina Picasso écrit jusqu'au-delà de la douleur, là où se trouve aujourd'hui sa liberté : ses enfants et ceux du bout du monde. Biographie de l'auteur Petite-fille de Pablo Picasso et d'Olga Kokhlova, fille de Paulo Picasso et d'Emilienne Lotte, Marina est née en 1950, à Cannes. Depuis 1990, elle se consacre à des œuvres humanitaires au Vietnam. Sa fondation multiplie les actions dont, notamment, " Le Village de la Jeunesse " qui accueille aujourd'hui plus de trois cents orphelins. Elle a cinq enfants.
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