Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Erro

Broché - Cercle d'art - 80 pages - Publication: 28 septembre 2006

Vasseur, Bernard (Auteur)

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Cent seize chefs-d'oeuvre reproduits en grand format et en couleurs invitent à un parcours passionnant dans l'univers d'Erro. Un texte clair et précis situe son oeuvre dans le XXe siècle, montre ses principales découvertes et raconte l'histoire de sa vie. Extrait L'ŒUVRE D'ERRO DANS SON CHEMINEMENT Erro est un homme qui se confie peu sur son travail de peintre : il aime «donner à voir» (Paul Eluard), faire partager le bonheur du regard de ses toiles, mais assez peu mettre en mots les raisons qui le conduisent au labeur inlassable de ses mains. Il lui est pourtant arrivé de dire : «La peinture est le laboratoire du possible : un lieu où l'on peut expérimenter, faire du vieux avec du neuf. Je peins parce que la peinture est la forme privée de l'utopie, le plaisir de contredire, le bonheur d'être seul contre tous, la joie de provoquer.» Elle est à ses yeux une forme supérieure de jubilation critique, mais qui, dans son cas, ne met pas à l'abri ou à l'écart du monde, vous y plonge bien plutôt - et avec quelle densité ! - pour jouer de ses antagonismes, de sa cacophonie, de ses mythes, de la mauvaise foi des images à travers lesquelles il se perçoit et se raconte. «UN SIECLE DE MASSACRES» La guerre est une réalité que le jeune Islandais va avoir à subir très tôt et qui demeurera l'un des thèmes récurrents de son oeuvre. Certes son île lointaine (colonie danoise, placée sous protectorat anglais puis américain pendant le conflit, jusqu'en 1944 où elle déclare son indépendance) n'est pas aux avant-postes de la tuerie, mais on y connaît bel et bien l'angoisse et la peur des bombardements. Chez l'adolescent déjà décidé à devenir peintre, cela donnera Strid (n° 1), une aquarelle réalisée en 1946, à quatorze ans : l'Islande, le globe terrestre qui crache ses armes de destruction, des bateaux, des avions, des squelettes, des hommes en armes cernant le tout. Cela donnera encore le premier Planescape, colorié à même le mur de la ferme natale : une accumulation d'avions allemands représentés de profil et du dessous. Les premiers éléments d'un lexique qui va s'avérer durable se mettent en place. Puis viendront les voyages qui vont enrichir son regard. Devenu brillamment professeur d'art alors qu'il n'a pas vingt ans, il n'aura de cesse de parcourir le monde avec un bel appétit de découverte. Il s'ouvre ainsi à l'espace et au temps : à la diversité des moeurs et des modes de vie, mais aussi - il est un infatigable visiteur de musées - à l'histoire des cultures et des arts, au feu incessant des événements de l'actualité, mais aussi au «temps long» des mouvements en profondeur que dévoilent les artistes. En Norvège, il découvre Munch, en Allemagne, les expressionnistes, en Espagne, Jérôme Bosch (au Prado), en Italie, la nuée d'églises, de galeries, de musées, avant de s'établir en France en 1958.
Détails du livre
Auteur

Erro

Broché - Cercle d'art - 80 pages - Publication: 28 septembre 2006

Vasseur, Bernard (Auteur)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Cent seize chefs-d'oeuvre reproduits en grand format et en couleurs invitent à un parcours passionnant dans l'univers d'Erro. Un texte clair et précis situe son oeuvre dans le XXe siècle, montre ses principales découvertes et raconte l'histoire de sa vie. Extrait L'ŒUVRE D'ERRO DANS SON CHEMINEMENT Erro est un homme qui se confie peu sur son travail de peintre : il aime «donner à voir» (Paul Eluard), faire partager le bonheur du regard de ses toiles, mais assez peu mettre en mots les raisons qui le conduisent au labeur inlassable de ses mains. Il lui est pourtant arrivé de dire : «La peinture est le laboratoire du possible : un lieu où l'on peut expérimenter, faire du vieux avec du neuf. Je peins parce que la peinture est la forme privée de l'utopie, le plaisir de contredire, le bonheur d'être seul contre tous, la joie de provoquer.» Elle est à ses yeux une forme supérieure de jubilation critique, mais qui, dans son cas, ne met pas à l'abri ou à l'écart du monde, vous y plonge bien plutôt - et avec quelle densité ! - pour jouer de ses antagonismes, de sa cacophonie, de ses mythes, de la mauvaise foi des images à travers lesquelles il se perçoit et se raconte. «UN SIECLE DE MASSACRES» La guerre est une réalité que le jeune Islandais va avoir à subir très tôt et qui demeurera l'un des thèmes récurrents de son oeuvre. Certes son île lointaine (colonie danoise, placée sous protectorat anglais puis américain pendant le conflit, jusqu'en 1944 où elle déclare son indépendance) n'est pas aux avant-postes de la tuerie, mais on y connaît bel et bien l'angoisse et la peur des bombardements. Chez l'adolescent déjà décidé à devenir peintre, cela donnera Strid (n° 1), une aquarelle réalisée en 1946, à quatorze ans : l'Islande, le globe terrestre qui crache ses armes de destruction, des bateaux, des avions, des squelettes, des hommes en armes cernant le tout. Cela donnera encore le premier Planescape, colorié à même le mur de la ferme natale : une accumulation d'avions allemands représentés de profil et du dessous. Les premiers éléments d'un lexique qui va s'avérer durable se mettent en place. Puis viendront les voyages qui vont enrichir son regard. Devenu brillamment professeur d'art alors qu'il n'a pas vingt ans, il n'aura de cesse de parcourir le monde avec un bel appétit de découverte. Il s'ouvre ainsi à l'espace et au temps : à la diversité des moeurs et des modes de vie, mais aussi - il est un infatigable visiteur de musées - à l'histoire des cultures et des arts, au feu incessant des événements de l'actualité, mais aussi au «temps long» des mouvements en profondeur que dévoilent les artistes. En Norvège, il découvre Munch, en Allemagne, les expressionnistes, en Espagne, Jérôme Bosch (au Prado), en Italie, la nuée d'églises, de galeries, de musées, avant de s'établir en France en 1958.
Détails du livre
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