Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Plantes à parfums

Broché - Plume de carotte - 158 pages - Publication: 27 mars 2014

Schall, Serge (Auteur)

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Ayez le nez fin et plongez-vous dans ces histoires d'hommes et de plantes parfumées ! Car l'histoire des grands parfums commence toujours avec une fleur, un fruit, une écorce odorante... Au-delà de leurs fragrance évocatrices, les plantes à parfum ont une histoire passionnante ! Saviez-vous, par exemple, que la fleur de jasmin est à son apogée olfactive après une nuit douce à plus de 17 °C ? C'est donc au petit matin, à partir de début août, qu'on procède à la récolte. Ou encore, qu'il faut environ 3 000 kg de fleurs cueillies à la main, le matin, pour obtenir un litre d'essence de rose ? Ou enfin, qu'on faisait brûler l'essence de lavande, en même temps que celles d'autres plantes aromatiques, dans les maisons et dans les rues en période d'épidémies...? Plongez le nez ce livre enivrant pour y retrouver l'origine de vos parfums préférés. Extrait PRÉAMBULE LE SENS DE LA VIE Personne ne pourrait contester l'utilité des cinq sens dont nous disposons, ils nous permettent d'être immergés dans notre environnement. Avec un peu de réflexion, nous serions nombreux à regretter leur nombre si limité, avides que nous sommes d'appréhender l'univers. Chacun s'est livré au petit jeu de savoir quel sens il serait prêt à abandonner si on ne sait quel impératif l'y obligeait. Tout le monde semble attaché à la vue comme à la prunelle de ses yeux, et beaucoup sacrifieraient l'odorat, jugé comme mineur. Quelle erreur ! Pour connaître une personne frappée d'anosmie, c'est-à-dire de perte de l'odorat, je peux témoigner quel calvaire devient la vie, soudain sans relief. Non, trois fois non, le nez n'est pas un organe mineur. Mais il est vrai que l'homme moderne a sans doute perdu «de vue» l'intérêt de l'olfaction. Qui sait que le nez de n'importe quel péquin sait reconnaître plus de 10 000 senteurs présentes à des concentrations infimes, et que bien sûr il sait faire le tri entre les mauvaises odeurs et les bonnes ? KESKIPUDONKTAN ? Il fut un temps préhistorique où tous les sens étaient en éveil, l'odorat permettait aussi de juger subjectivement du danger potentiel à consommer tel ou tel aliment inconnu. Il mettait le chasseur sur la bonne piste et le préservait des mauvaises rencontres. Au même titre que les autres sens, il a sans doute contribué à la survie de l'espèce. Il serait intéressant de suivre le cheminement qui a réduit au fil du temps l'odorat à sa simple fonction de plaisir. À nous les bonnes odeurs pour l'agrément, et ouste, plein de grosses claques aux mauvaises odeurs qui ont été chassées impitoyablement avec une nette accélération à partir de la seconde moitié du XXe siècle et ses décennies de révolution hygiéniste. On réalise peu dans nos sociétés occidentales la place accordée aux parfums. Comme l'omniprésence de la musique ou des images, celle des senteurs a pris une place étonnamment importante - la publicité est passée par là. Et pas toujours avec une qualité irréprochable (dans ces trois domaines). L'ODEUR DE LA MADELEINE DE PROUST Disons-le tout net, nous sommes des handicapés du nez, des diminués du tarin, des poussifs de la narine. Autant on peut en fermant les yeux reconstituer une scène, un décor, autant la mémoire joue à plein pour se rejouer une chansonnette ou déclamer un passage de texte, autant il est impossible même en faisant de gros efforts de «sentir» une odeur du passé. On a besoin d'ouvrir un flacon dûment étiqueté pour se replonger dans les souvenirs. Pareillement, le nez commun est bien peu performant. Essayez simplement de reconnaître la plus banale plante aromatique placée dans un sachet, sans la voir ni la toucher. La moitié du public est incapable de reconnaître le simple thym ou la sauge. Alors sitôt qu'on aborde les parfums dont on sait que plusieurs constituants entrent dans la composition, c'est souvent impossible. On a beau nous dire qu'il y a du melon ou de l'origan, on dit oui-oui pour faire plaisir, mais bien peu de personnes ont ce talent d'identificat
Détails du livre
Auteur

Plantes à parfums

Broché - Plume de carotte - 158 pages - Publication: 27 mars 2014

Schall, Serge (Auteur)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Ayez le nez fin et plongez-vous dans ces histoires d'hommes et de plantes parfumées ! Car l'histoire des grands parfums commence toujours avec une fleur, un fruit, une écorce odorante... Au-delà de leurs fragrance évocatrices, les plantes à parfum ont une histoire passionnante ! Saviez-vous, par exemple, que la fleur de jasmin est à son apogée olfactive après une nuit douce à plus de 17 °C ? C'est donc au petit matin, à partir de début août, qu'on procède à la récolte. Ou encore, qu'il faut environ 3 000 kg de fleurs cueillies à la main, le matin, pour obtenir un litre d'essence de rose ? Ou enfin, qu'on faisait brûler l'essence de lavande, en même temps que celles d'autres plantes aromatiques, dans les maisons et dans les rues en période d'épidémies...? Plongez le nez ce livre enivrant pour y retrouver l'origine de vos parfums préférés. Extrait PRÉAMBULE LE SENS DE LA VIE Personne ne pourrait contester l'utilité des cinq sens dont nous disposons, ils nous permettent d'être immergés dans notre environnement. Avec un peu de réflexion, nous serions nombreux à regretter leur nombre si limité, avides que nous sommes d'appréhender l'univers. Chacun s'est livré au petit jeu de savoir quel sens il serait prêt à abandonner si on ne sait quel impératif l'y obligeait. Tout le monde semble attaché à la vue comme à la prunelle de ses yeux, et beaucoup sacrifieraient l'odorat, jugé comme mineur. Quelle erreur ! Pour connaître une personne frappée d'anosmie, c'est-à-dire de perte de l'odorat, je peux témoigner quel calvaire devient la vie, soudain sans relief. Non, trois fois non, le nez n'est pas un organe mineur. Mais il est vrai que l'homme moderne a sans doute perdu «de vue» l'intérêt de l'olfaction. Qui sait que le nez de n'importe quel péquin sait reconnaître plus de 10 000 senteurs présentes à des concentrations infimes, et que bien sûr il sait faire le tri entre les mauvaises odeurs et les bonnes ? KESKIPUDONKTAN ? Il fut un temps préhistorique où tous les sens étaient en éveil, l'odorat permettait aussi de juger subjectivement du danger potentiel à consommer tel ou tel aliment inconnu. Il mettait le chasseur sur la bonne piste et le préservait des mauvaises rencontres. Au même titre que les autres sens, il a sans doute contribué à la survie de l'espèce. Il serait intéressant de suivre le cheminement qui a réduit au fil du temps l'odorat à sa simple fonction de plaisir. À nous les bonnes odeurs pour l'agrément, et ouste, plein de grosses claques aux mauvaises odeurs qui ont été chassées impitoyablement avec une nette accélération à partir de la seconde moitié du XXe siècle et ses décennies de révolution hygiéniste. On réalise peu dans nos sociétés occidentales la place accordée aux parfums. Comme l'omniprésence de la musique ou des images, celle des senteurs a pris une place étonnamment importante - la publicité est passée par là. Et pas toujours avec une qualité irréprochable (dans ces trois domaines). L'ODEUR DE LA MADELEINE DE PROUST Disons-le tout net, nous sommes des handicapés du nez, des diminués du tarin, des poussifs de la narine. Autant on peut en fermant les yeux reconstituer une scène, un décor, autant la mémoire joue à plein pour se rejouer une chansonnette ou déclamer un passage de texte, autant il est impossible même en faisant de gros efforts de «sentir» une odeur du passé. On a besoin d'ouvrir un flacon dûment étiqueté pour se replonger dans les souvenirs. Pareillement, le nez commun est bien peu performant. Essayez simplement de reconnaître la plus banale plante aromatique placée dans un sachet, sans la voir ni la toucher. La moitié du public est incapable de reconnaître le simple thym ou la sauge. Alors sitôt qu'on aborde les parfums dont on sait que plusieurs constituants entrent dans la composition, c'est souvent impossible. On a beau nous dire qu'il y a du melon ou de l'origan, on dit oui-oui pour faire plaisir, mais bien peu de personnes ont ce talent d'identificat
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