Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

La tête dans les choux

Broché - Thierry Magnier - 152 pages - Publication: 12 avril 2013

Guasti, Gaia (Auteur)

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Quelle belle aventure que l'installation dans un hameau ardéchois pour cette famille de Parisiens. Mais il y a tout apprendre de la nature et des habitants. Margotte observe avec humour sa nouvelle vie. Extrait L'équilibre de notre vie de famille repose sur une savante maîtrise des compétences. Ou, pour mieux dire, reposait. Demain ce sera fini. J'essaye de ne pas y penser pour l'instant. Je me dis que j'ai encore un peu de temps devant moi. Autant en profiter. Car chez nous, ce n'est peut-être pas le paradis tous les jours, mais on s'entend bien. Le secret, c'est que chacun a son rôle. Ma mère râle. C'est sa vocation dans la vie. Sa grande mission. Elle râle parce que le train n'est pas à l'heure, contre les offres par téléphone, parce que la maîtresse donne trop de devoirs et qu'il fait beau en même temps, parce qu'il n'y a pas assez de place dans les colonies de vacances de la ville, parce que les chefs d'État sont aveugles, parce que le climat se dérègle, parce que les chiens sèment leurs crottes sur le trottoir, parce qu'elle travaille trop ou pas assez, et que ça dépend des périodes. Nous, on l'aime beaucoup, notre râleuse. C'est sans aucun doute notre râleuse préférée. On l'aime car la grogne, chez elle, est l'antichambre de l'action. Ma mère pense encore qu'en râlant, on peut changer les choses. Elle se met parfois à râler par écrit, elle inonde les services concernés de lettres comminatoires (avec une mère râleuse, on apprend vite certains mots comme scandaleux, vergogne et comminatoire, qui veut dire menaçant mais en plus recherché et plus efficace vis-à-vis de l'administration), elle organise des pétitions, elle se réunit avec d'autres râleurs de profession pour râler ensemble et pousser les gens paisibles à la râlerie collective. Lorsque mon père fait de l'humour en l'appelant ma suffragette, maman s'énerve, elle râle alors contre l'ironie de papa, qui ferait mieux d'arrêter ses idioties sexistes et de lui donner un coup de main à plier les tracts sur la table de la cuisine. Lorsqu'elle obtient gain de cause - c'est arrivé une ou deux fois dans une vie entière de rouspétage, mais on en entend parler en abondance -, elle rayonne, et pendant quelques jours elle traverse le salon comme une danseuse de l'Opéra, la démarche aérienne et aux lèvres le sourire de la gloire éternelle. Biographie de l'auteur Scénariste pour le cinéma, Italienne transplantée en Seine-Saint-Denis, partageant sa vie entre sa Toscane natale, l'Ardèche et le 93, s'acharnant malgré les années à confondre u et ou, mère épatée de deux filles mystérieusement remplies de sagesse, Gaia Guasti aime lire autant qu'écrire. Alors elle lit. Et elle écrit. Aux éditions Thierry Magnier, elle a publié en 2011 Mayo, ketchup ou lait de soja, son premier roman en langue française, et La Dame aux Chamélias paru en 2012.
Détails du livre
Contenu
Auteur

La tête dans les choux

Broché - Thierry Magnier - 152 pages - Publication: 12 avril 2013

Guasti, Gaia (Auteur)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Quelle belle aventure que l'installation dans un hameau ardéchois pour cette famille de Parisiens. Mais il y a tout apprendre de la nature et des habitants. Margotte observe avec humour sa nouvelle vie. Extrait L'équilibre de notre vie de famille repose sur une savante maîtrise des compétences. Ou, pour mieux dire, reposait. Demain ce sera fini. J'essaye de ne pas y penser pour l'instant. Je me dis que j'ai encore un peu de temps devant moi. Autant en profiter. Car chez nous, ce n'est peut-être pas le paradis tous les jours, mais on s'entend bien. Le secret, c'est que chacun a son rôle. Ma mère râle. C'est sa vocation dans la vie. Sa grande mission. Elle râle parce que le train n'est pas à l'heure, contre les offres par téléphone, parce que la maîtresse donne trop de devoirs et qu'il fait beau en même temps, parce qu'il n'y a pas assez de place dans les colonies de vacances de la ville, parce que les chefs d'État sont aveugles, parce que le climat se dérègle, parce que les chiens sèment leurs crottes sur le trottoir, parce qu'elle travaille trop ou pas assez, et que ça dépend des périodes. Nous, on l'aime beaucoup, notre râleuse. C'est sans aucun doute notre râleuse préférée. On l'aime car la grogne, chez elle, est l'antichambre de l'action. Ma mère pense encore qu'en râlant, on peut changer les choses. Elle se met parfois à râler par écrit, elle inonde les services concernés de lettres comminatoires (avec une mère râleuse, on apprend vite certains mots comme scandaleux, vergogne et comminatoire, qui veut dire menaçant mais en plus recherché et plus efficace vis-à-vis de l'administration), elle organise des pétitions, elle se réunit avec d'autres râleurs de profession pour râler ensemble et pousser les gens paisibles à la râlerie collective. Lorsque mon père fait de l'humour en l'appelant ma suffragette, maman s'énerve, elle râle alors contre l'ironie de papa, qui ferait mieux d'arrêter ses idioties sexistes et de lui donner un coup de main à plier les tracts sur la table de la cuisine. Lorsqu'elle obtient gain de cause - c'est arrivé une ou deux fois dans une vie entière de rouspétage, mais on en entend parler en abondance -, elle rayonne, et pendant quelques jours elle traverse le salon comme une danseuse de l'Opéra, la démarche aérienne et aux lèvres le sourire de la gloire éternelle. Biographie de l'auteur Scénariste pour le cinéma, Italienne transplantée en Seine-Saint-Denis, partageant sa vie entre sa Toscane natale, l'Ardèche et le 93, s'acharnant malgré les années à confondre u et ou, mère épatée de deux filles mystérieusement remplies de sagesse, Gaia Guasti aime lire autant qu'écrire. Alors elle lit. Et elle écrit. Aux éditions Thierry Magnier, elle a publié en 2011 Mayo, ketchup ou lait de soja, son premier roman en langue française, et La Dame aux Chamélias paru en 2012.
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