Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Femmes bourreaux, femmes victimes

Broché - EDITIONS DU MOMENT - 150 pages - Publication: 05 mars 2015

Audience
Adulte - Haut niveau

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Au fil d'affaires judiciaires marquantes, tantôt sordides, tantôt émouvantes, l'auteur se livre à une analyse des femmes, bourreaux ou victimes, avec cette ambiguïté des rôles et des postures qui anime tout accusé lors d'un procès d'assises. Dans l'inconscient collectif, tout crime de femme ne peut que surprendre et choquer, parce qu'elle symbolise le sacré de l'enfantement, et qu'elle ne peut donner la mort car elle est l'icône, censée donner la vie. Et pourtant, chez la plupart des criminelles, un chaos mental, soudain et imprévisible, gomme toute fragilité, toute compassion et tout affect, et abolit tout terrain émotionnel avant l'inhumain. Leur passage à l'acte investit, de plus en plus, celui des hommes, dont elles adoptent le comportement rituel, tout en gardant leur spécificité de femme, à travers une détermination sans failles, empreinte de séduction et de manipulation. Une autre femme, placée au cœur du procès, vous invite, à travers cet ouvrage, à pénétrer dans l'antre des cours d'assises, à travers des affaires vécues dans toute leur détresse, dans toute leur horreur; sans filtres, sans écrans. Avocate générale, elle décrypte les actes pathogènes, " l'anormalité sociale ", l'humain au féminin. Les rôles respectifs des bourreaux et des victimes ne sont-ils pas, en effet, destinés à s'interpénétrer, à travers un effet miroir hallucinant, où les déviances des uns renvoient au regard des autres, à leurs blessures secrètes, à leur douleur indicible, à leur passé souvent chaotique. Extrait Extrait de l'avant-propos On m'appelle, couramment, Maître. C'est la signification usuelle que l'on attribue au vocable d'avocat général, assimilant ainsi la magistrature au barreau, au sein d'une confusion terminologique. Être avocat général consiste à prendre la défense de la société et requérir une peine en son nom devant la cour d'assises, ayant été désigné, par ses instances hiérarchiques, pour venir soutenir l'accusation ; un procédé de pure forme, puisque la teneur de nos réquisitions est laissée à notre libre appréciation. La robe rouge, d'origine royale, et la robe noire, en référence au clergé, sont réunies en un seul vêtement, que portent les magistrats de la cour d'appel. Ce rituel ne peut que symboliser la pérennité des acteurs judiciaires qui traversent les siècles, indifférenciés dans leur uniformité costumière, et garants de la continuité du pouvoir judiciaire. La toque, ronde, en velours, figure la couronne du monarque, avec ses attributs de droit divin. La chrétienté n'est pas en reste, avec les idées de rachat, de rédemption, et de réinsertion du criminel. Notre justice est pourtant entrée dans l'ère du séculier, où toute inféodation au pouvoir monarchique comme à la puissance ecclésiastique n'est plus de mise. Ses traditions, cependant, ont la vie dure, et éloignent, quelque peu, le justiciable qui peut percevoir, dans le cérémonial judiciaire, une volonté d'opacité corporatiste, comme de toute caste. Et, pourtant, les procès sont publics, les jurys populaires, les décisions des cours d'assises relayées par les médias. C'est de cette justice, à l'échelle humaine, et proche de ses citoyens, dont je veux vous parler ; une justice surtout centrée sur les femmes victimes de violences conjugales, et qui s'émeut, ponctuellement, des coups mortels qui les anéantissent, dans leur propre foyer. Une justice qui s'étonne de leur révolte contre les hommes, lorsqu'elles finissent, au terme d'un long parcours d'humiliations et de violences, par supprimer leur bourreau. Une justice que leurs crimes fascinent, dérangent, interpellent, parce qu'ils sont exécutés de façon totalement spécifique, parce qu'ils sont, le plus souvent, placés sous le signe de l'intelligence ou de l'intuition par une littérature criminologique qui fait peu de place aux femmes délinquantes, parce qu'elles conservent, à la différence des hommes, une intimité émotionnelle, et adoptent des modes opératoires beaucou
Détails du livre
Auteur

Femmes bourreaux, femmes victimes

Broché - EDITIONS DU MOMENT - 150 pages - Publication: 05 mars 2015

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Au fil d'affaires judiciaires marquantes, tantôt sordides, tantôt émouvantes, l'auteur se livre à une analyse des femmes, bourreaux ou victimes, avec cette ambiguïté des rôles et des postures qui anime tout accusé lors d'un procès d'assises. Dans l'inconscient collectif, tout crime de femme ne peut que surprendre et choquer, parce qu'elle symbolise le sacré de l'enfantement, et qu'elle ne peut donner la mort car elle est l'icône, censée donner la vie. Et pourtant, chez la plupart des criminelles, un chaos mental, soudain et imprévisible, gomme toute fragilité, toute compassion et tout affect, et abolit tout terrain émotionnel avant l'inhumain. Leur passage à l'acte investit, de plus en plus, celui des hommes, dont elles adoptent le comportement rituel, tout en gardant leur spécificité de femme, à travers une détermination sans failles, empreinte de séduction et de manipulation. Une autre femme, placée au cœur du procès, vous invite, à travers cet ouvrage, à pénétrer dans l'antre des cours d'assises, à travers des affaires vécues dans toute leur détresse, dans toute leur horreur; sans filtres, sans écrans. Avocate générale, elle décrypte les actes pathogènes, " l'anormalité sociale ", l'humain au féminin. Les rôles respectifs des bourreaux et des victimes ne sont-ils pas, en effet, destinés à s'interpénétrer, à travers un effet miroir hallucinant, où les déviances des uns renvoient au regard des autres, à leurs blessures secrètes, à leur douleur indicible, à leur passé souvent chaotique. Extrait Extrait de l'avant-propos On m'appelle, couramment, Maître. C'est la signification usuelle que l'on attribue au vocable d'avocat général, assimilant ainsi la magistrature au barreau, au sein d'une confusion terminologique. Être avocat général consiste à prendre la défense de la société et requérir une peine en son nom devant la cour d'assises, ayant été désigné, par ses instances hiérarchiques, pour venir soutenir l'accusation ; un procédé de pure forme, puisque la teneur de nos réquisitions est laissée à notre libre appréciation. La robe rouge, d'origine royale, et la robe noire, en référence au clergé, sont réunies en un seul vêtement, que portent les magistrats de la cour d'appel. Ce rituel ne peut que symboliser la pérennité des acteurs judiciaires qui traversent les siècles, indifférenciés dans leur uniformité costumière, et garants de la continuité du pouvoir judiciaire. La toque, ronde, en velours, figure la couronne du monarque, avec ses attributs de droit divin. La chrétienté n'est pas en reste, avec les idées de rachat, de rédemption, et de réinsertion du criminel. Notre justice est pourtant entrée dans l'ère du séculier, où toute inféodation au pouvoir monarchique comme à la puissance ecclésiastique n'est plus de mise. Ses traditions, cependant, ont la vie dure, et éloignent, quelque peu, le justiciable qui peut percevoir, dans le cérémonial judiciaire, une volonté d'opacité corporatiste, comme de toute caste. Et, pourtant, les procès sont publics, les jurys populaires, les décisions des cours d'assises relayées par les médias. C'est de cette justice, à l'échelle humaine, et proche de ses citoyens, dont je veux vous parler ; une justice surtout centrée sur les femmes victimes de violences conjugales, et qui s'émeut, ponctuellement, des coups mortels qui les anéantissent, dans leur propre foyer. Une justice qui s'étonne de leur révolte contre les hommes, lorsqu'elles finissent, au terme d'un long parcours d'humiliations et de violences, par supprimer leur bourreau. Une justice que leurs crimes fascinent, dérangent, interpellent, parce qu'ils sont exécutés de façon totalement spécifique, parce qu'ils sont, le plus souvent, placés sous le signe de l'intelligence ou de l'intuition par une littérature criminologique qui fait peu de place aux femmes délinquantes, parce qu'elles conservent, à la différence des hommes, une intimité émotionnelle, et adoptent des modes opératoires beaucou
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