Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Laissées pour mortes

Promo

Broché - MAX MILO - 256 pages - Publication: 11 février 2010

Salah (Auteur)

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Un témoignage poignant et courageux. Deux femmes, au péril de leur vie, se battent pour la reconnaissance de leur dignité. Il pose des questions incontournables telle la place de la femme dans la société, la rigidité de la tradition, le rôle de la religion, des médias, de la justice et de la famille. Hassi Messaoud est la ville la plus riche d'Algérie. Base pétrolifère la plus importante d'Afrique, elle attire les entreprises occidentales et il n'est pas rare de voir les femmes de ménage avoir le même salaire qu'un cadre qui serait établi dans le Nord du pays. C'est pourquoi de nombreuses femmes algériennes, pour nourrir leurs enfants, échapper à la crise économique et au terrorisme des années 90, sont venues s'y installer. Elles y habitent entre elles et partagent les charges. Elles circulent sans surveillance pour aller travailler et se rendre visite. Tissant une solidarité forte et des liens affectifs sincères, elles découvrent une véritable forme de liberté tout en se construisant un avenir décent. Or traditionnellement la femme algérienne ne s'éloigne pas de la cellule familiale, elle est au service d'un père, d'un époux ou d'un frère. Pour les hommes d'Hassi Messaoud, qui ne daignent pas accepter les emplois de service que ces femmes occupent et qui souvent leur louent des baraques délabrées, cette liberté est intolérable. Elle ne peut être que le fait de prostituées. Organisés en comités de quartier, ils exigent un nettoyage de ces " fornicatrices" aux autorités locales. Le vendredi 13 juillet 2001, à la mosquée, l'Imam prononce un discours ravageur à l'encontre de ces femmes, déclenchant une horde furieuse et entraînant la nuit d'horreur. Après l'humiliation des viols et du massacre, Les femmes d'Hassi Messaoud auront à subir la répudiation par leur propre famille, le silence de la presse étrangère, la demande de réconciliation proposée par l'Imam, et surtout un procès sans fin et une justice qui leur refuse le statut de victime et la condamnation des coupables. Revue de presse Le récit est simple, à la va-comme-je-te-pousse. C'est le portrait d'une vie amère, un cri de rage qui culmine après cette terrifiante nuit du 13 juillet 2001, et qui continue sur le ton du désespoir, quand il devient impossible aux victimes d'obtenir réparation du drame. Seule, toujours, pour Rahmouna Salah, avec ses enfants qu'elle place chez sa mère et qu'elle récupère parfois pour les élever tant bien que mal. Mariée, pour Fatiha Maamoura, qui fournit le deuxième témoignage de ce livre, et qui ne se remettra jamais vraiment de son calvaire, elle qui fut atrocement battue et aux trois quarts enterrée vivante à Hassi Messaoud. (Isabelle Mandraud - Le Monde du 19 février 2010) Biographie de l'auteur Karima et Nassira sont nées et ont grandi en Algérie. Pour la première fois, à l'occasion de la publication de leur témoignage, elles viendront en France raconter leur histoire. (Pour les protéger nous diffuserons leur identité réelles à la parution du livre). Nadia Kaci, de nationalité algérienne, comédienne (Ca commence aujourd'hui de Bertrand Tavernier 1998, Paloma Délice et Viva Laldjerie de Nadir Mokneche 2006 et 2004) a été leur plume discrète.
Détails du livre
Auteur

Laissées pour mortes

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Broché - MAX MILO - 256 pages - Publication: 11 février 2010

Salah (Auteur)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Un témoignage poignant et courageux. Deux femmes, au péril de leur vie, se battent pour la reconnaissance de leur dignité. Il pose des questions incontournables telle la place de la femme dans la société, la rigidité de la tradition, le rôle de la religion, des médias, de la justice et de la famille. Hassi Messaoud est la ville la plus riche d'Algérie. Base pétrolifère la plus importante d'Afrique, elle attire les entreprises occidentales et il n'est pas rare de voir les femmes de ménage avoir le même salaire qu'un cadre qui serait établi dans le Nord du pays. C'est pourquoi de nombreuses femmes algériennes, pour nourrir leurs enfants, échapper à la crise économique et au terrorisme des années 90, sont venues s'y installer. Elles y habitent entre elles et partagent les charges. Elles circulent sans surveillance pour aller travailler et se rendre visite. Tissant une solidarité forte et des liens affectifs sincères, elles découvrent une véritable forme de liberté tout en se construisant un avenir décent. Or traditionnellement la femme algérienne ne s'éloigne pas de la cellule familiale, elle est au service d'un père, d'un époux ou d'un frère. Pour les hommes d'Hassi Messaoud, qui ne daignent pas accepter les emplois de service que ces femmes occupent et qui souvent leur louent des baraques délabrées, cette liberté est intolérable. Elle ne peut être que le fait de prostituées. Organisés en comités de quartier, ils exigent un nettoyage de ces " fornicatrices" aux autorités locales. Le vendredi 13 juillet 2001, à la mosquée, l'Imam prononce un discours ravageur à l'encontre de ces femmes, déclenchant une horde furieuse et entraînant la nuit d'horreur. Après l'humiliation des viols et du massacre, Les femmes d'Hassi Messaoud auront à subir la répudiation par leur propre famille, le silence de la presse étrangère, la demande de réconciliation proposée par l'Imam, et surtout un procès sans fin et une justice qui leur refuse le statut de victime et la condamnation des coupables. Revue de presse Le récit est simple, à la va-comme-je-te-pousse. C'est le portrait d'une vie amère, un cri de rage qui culmine après cette terrifiante nuit du 13 juillet 2001, et qui continue sur le ton du désespoir, quand il devient impossible aux victimes d'obtenir réparation du drame. Seule, toujours, pour Rahmouna Salah, avec ses enfants qu'elle place chez sa mère et qu'elle récupère parfois pour les élever tant bien que mal. Mariée, pour Fatiha Maamoura, qui fournit le deuxième témoignage de ce livre, et qui ne se remettra jamais vraiment de son calvaire, elle qui fut atrocement battue et aux trois quarts enterrée vivante à Hassi Messaoud. (Isabelle Mandraud - Le Monde du 19 février 2010) Biographie de l'auteur Karima et Nassira sont nées et ont grandi en Algérie. Pour la première fois, à l'occasion de la publication de leur témoignage, elles viendront en France raconter leur histoire. (Pour les protéger nous diffuserons leur identité réelles à la parution du livre). Nadia Kaci, de nationalité algérienne, comédienne (Ca commence aujourd'hui de Bertrand Tavernier 1998, Paloma Délice et Viva Laldjerie de Nadir Mokneche 2006 et 2004) a été leur plume discrète.
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