Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Odeur du temps

Broché - Héloïse d'Ormesson - 475 pages - Publication: 24 mai 2007

Audience
Adulte - Haut niveau

Le Pitch

Présentation de l'éditeur " Le livre est irremplaçable. On le dit menacé par l'image et par l'ordinateur. J'espère pourtant – et je crois – que le rôle du livre est loin d'être terminé. Plus que la machine, évidemment, et plus aussi que l'image, si forte, mais peut-être justement trop forte, c'est le livre qui permet le mieux les jeux féconds du souvenir, du rêve, de l'imagination. " Parmi le millier de chroniques que Jean d'Ormesson a publié de 1969 à aujourd'hui, Odeur du Temps en rassemble une centaine. Plaidoyer pour la lecture mais aussi billets d'humeur, réflexions sur un monde en mutation, ces textes pleins d'esprit furent autant d'occasions de rendre hommage aux grands noms de la vie intellectuelle de la fin du XXe siècle et du début du XXIe. Avec une jubilation communicative, Jean d'Ormesson y proclame son amour de la littérature, de l'art et de la vie. Il y parle de ses voyages, réels ou imaginaires, aux côtés de figures aussi diverses que le peintre Raphaël, l'empereur Frédéric II, le poète Charles Péguy ou le tennis-man John McEnroe. Tour à tour érudites, enthousiastes ou polémiques, ces chroniques séduisent par leur fraîcheur, surprennent par leur actualité. Vingt, trente après, elles continuent de nous transporter tout à la fois hors du temps et au cœur de notre temps. Autant qu'une autobiographie, elles dessinent le portrait de leur auteur. Le titre est tiré d'un vers de L'Adieu d'Apollinaire : J'ai cueilli ce brin de bruyère L'automne est morte souviens-t'en Nous ne nous verrons plus sur terre Odeur du temps brin de bruyère Et souviens-toi que je t'attends Extrait Mon bourreau, mon amour Non, le mégalomane, le paranoïaque, ce n'est pas moi. C'est lui. Moi, personne ne m'appelle jamais, personne ne m'écrit jamais. Ou alors des dames de province avec des chapeaux verts ou des colonels à la retraite. Moi, je cache mes téléphones de Saint-Chély-d'Apcher ou de Loguivy-Plougras et les lettres que je reçois, d'une écriture maladroite, sur du papier quadrillé, pour me confirmer que je suis idiot et la honte de la famille. Lui, c'est Sartre à tout bout de champ. C'est Nadeau deux fois par semaine. Dans les jours les plus sans, dans les heures les plus pâles, c'est Fontaine ou Fauvet, il ne sait plus, il les confond, il plane très loin au dessus-d'eux. Mais il se souvient avec précision de tous les torrents de miel qui sortaient de leur bouche : «Ah ! comme c'est bien Frank, ce que vous avez écrit sur Drieu ! Je ne croyais pas que vous seriez capable d'écrire quelque chose d'aussi bon. Pourquoi ne nous donneriez-vous pas un article comme ça, en plus long, pour Les Temps modernes ? (Ou pour le Cahier des saisons, ou pour Le Monde, ou pour L'Observateur, on le réclame de partout, rayez la mention inutile.) Allez-y comme vous voulez sur le sujet que vous voulez.» Éblouir ! Éblouir ! Le jeune Frank ne pense qu'à ça. Et il y réussit. Pas toujours pour longtemps. C'est souvent : «Bonjour ! Bonsoir ! Adieu ! Et allez au diable !» On dirait qu'on se fatigue de Bernard Frank plus qu'il ne se fatigue de lui-même. «J'ignorais, lui confie Sartre avec une espèce d'admiration, que vous pouviez écrire quoi que ce soit sur quelqu'un d'autre que vous-même.» Mais enfin, à mi-chemin entre le coup de tonnerre de la révélation sur le mont Sinaï ou sur le mont Nebo et la lassitude, le dégoût, l'extinction de voix, Bernard Frank, qui vient de réunir en volume ses articles des années cinquante, y aura tenu beaucoup de place. Une place qui me paraît énorme puisqu'elle fait plus de bruit que la mienne. Revue de presse À l'inverse de Jean qui grogne et Jean qui rit sorti en 1984, la politique est presque absente, comme le précise l'écrivain dans la préface à ce volume «consacré aux îles, aux livres, aux amis». De fait, la centaine de chroniques, essentiellement parues dans Le Figaro et Le Figaro Magazine, composant cet «exercice d'admiration et de fidélité» nous font croiser Frédéric II, les soeurs Mitford, John McEnroe, Venise, Garbo
Détails du livre
Auteur

Odeur du temps

Broché - Héloïse d'Ormesson - 475 pages - Publication: 24 mai 2007

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur " Le livre est irremplaçable. On le dit menacé par l'image et par l'ordinateur. J'espère pourtant – et je crois – que le rôle du livre est loin d'être terminé. Plus que la machine, évidemment, et plus aussi que l'image, si forte, mais peut-être justement trop forte, c'est le livre qui permet le mieux les jeux féconds du souvenir, du rêve, de l'imagination. " Parmi le millier de chroniques que Jean d'Ormesson a publié de 1969 à aujourd'hui, Odeur du Temps en rassemble une centaine. Plaidoyer pour la lecture mais aussi billets d'humeur, réflexions sur un monde en mutation, ces textes pleins d'esprit furent autant d'occasions de rendre hommage aux grands noms de la vie intellectuelle de la fin du XXe siècle et du début du XXIe. Avec une jubilation communicative, Jean d'Ormesson y proclame son amour de la littérature, de l'art et de la vie. Il y parle de ses voyages, réels ou imaginaires, aux côtés de figures aussi diverses que le peintre Raphaël, l'empereur Frédéric II, le poète Charles Péguy ou le tennis-man John McEnroe. Tour à tour érudites, enthousiastes ou polémiques, ces chroniques séduisent par leur fraîcheur, surprennent par leur actualité. Vingt, trente après, elles continuent de nous transporter tout à la fois hors du temps et au cœur de notre temps. Autant qu'une autobiographie, elles dessinent le portrait de leur auteur. Le titre est tiré d'un vers de L'Adieu d'Apollinaire : J'ai cueilli ce brin de bruyère L'automne est morte souviens-t'en Nous ne nous verrons plus sur terre Odeur du temps brin de bruyère Et souviens-toi que je t'attends Extrait Mon bourreau, mon amour Non, le mégalomane, le paranoïaque, ce n'est pas moi. C'est lui. Moi, personne ne m'appelle jamais, personne ne m'écrit jamais. Ou alors des dames de province avec des chapeaux verts ou des colonels à la retraite. Moi, je cache mes téléphones de Saint-Chély-d'Apcher ou de Loguivy-Plougras et les lettres que je reçois, d'une écriture maladroite, sur du papier quadrillé, pour me confirmer que je suis idiot et la honte de la famille. Lui, c'est Sartre à tout bout de champ. C'est Nadeau deux fois par semaine. Dans les jours les plus sans, dans les heures les plus pâles, c'est Fontaine ou Fauvet, il ne sait plus, il les confond, il plane très loin au dessus-d'eux. Mais il se souvient avec précision de tous les torrents de miel qui sortaient de leur bouche : «Ah ! comme c'est bien Frank, ce que vous avez écrit sur Drieu ! Je ne croyais pas que vous seriez capable d'écrire quelque chose d'aussi bon. Pourquoi ne nous donneriez-vous pas un article comme ça, en plus long, pour Les Temps modernes ? (Ou pour le Cahier des saisons, ou pour Le Monde, ou pour L'Observateur, on le réclame de partout, rayez la mention inutile.) Allez-y comme vous voulez sur le sujet que vous voulez.» Éblouir ! Éblouir ! Le jeune Frank ne pense qu'à ça. Et il y réussit. Pas toujours pour longtemps. C'est souvent : «Bonjour ! Bonsoir ! Adieu ! Et allez au diable !» On dirait qu'on se fatigue de Bernard Frank plus qu'il ne se fatigue de lui-même. «J'ignorais, lui confie Sartre avec une espèce d'admiration, que vous pouviez écrire quoi que ce soit sur quelqu'un d'autre que vous-même.» Mais enfin, à mi-chemin entre le coup de tonnerre de la révélation sur le mont Sinaï ou sur le mont Nebo et la lassitude, le dégoût, l'extinction de voix, Bernard Frank, qui vient de réunir en volume ses articles des années cinquante, y aura tenu beaucoup de place. Une place qui me paraît énorme puisqu'elle fait plus de bruit que la mienne. Revue de presse À l'inverse de Jean qui grogne et Jean qui rit sorti en 1984, la politique est presque absente, comme le précise l'écrivain dans la préface à ce volume «consacré aux îles, aux livres, aux amis». De fait, la centaine de chroniques, essentiellement parues dans Le Figaro et Le Figaro Magazine, composant cet «exercice d'admiration et de fidélité» nous font croiser Frédéric II, les soeurs Mitford, John McEnroe, Venise, Garbo
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