Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

La maison indigène

Grand Format - Actes Sud Editions - 192 pages - Publication: 11 mars 2020

Claro (Auteur)

Audience
Adulte - Grand Public

Le Pitch

Présentation de l'éditeur En 1930, l’architecte Léon Claro, grand-père de l’auteur, fait bâtir, au pied de la Casbah d’Alger, une « maison indigène », à la fois hommage au style néo-mauresque et célébration du centenaire de l’Algérie française .De cette maison (qui existe toujours) ce livre est une visite – intime, historique, littéraire, politique ― une « boîte noire » dont Claro extrait la mémoire, laquelle inclut Albert Camus, Le Corbusier, le poète Jean Sénac ou Lucchino Visconti, tous fascinés par la ville blanche ou pris dans la tourmente de la guerre d’Algérie – et chacun détenant, à sa façon, une clé de la « maison mauresque ». Ce livre force donc des serrures, pousse des portes, dont une, inattendue, qui donne sur une pièce que l’auteur croyait vide : celle du père. Quatrième de couverture Ce livre est, à sa façon, une visite : non seulement de la maison que fit bâtir, en 1930, l’architecte Léon Claro, grand-père de l’auteur, pour rendre hommage au style néomauresque lors du centenaire de l’Algérie française, mais également de tout un passé – intime, historique, littéraire, politique – auquel l’écrivain avait toujours refusé de s’intéresser. Reconnaissant enfin, dans cette maison indigène, une vraie “boîte noire” dont il importe d’extraire la mémoire, Claro apprend qu’elle a été visitée en 1933 par un jeune homme de vingt ans, Albert Camus, lequel en ressortit littéralement ébloui et écrivit alors un de ses tout premiers textes : “La Maison mauresque”, véritable acte de naissance littéraire du futur prix Nobel. Mais la “Villa Claro” – ainsi qu’on l’appelait parfois – a également accueilli un autre créateur : Le Corbusier, que Léon Claro convia à Alger en 1931 et qui, à cette occasion, s’égara dans la Casbah, allant jusqu’à s’aventurer dans une autre maison, “close” celle-là, où l’attendait le secret de son esthétique à venir. Au cours de cette enquête, Claro est amené à croiser d’autres visiteurs, tel le poète Jean Sénac, qui avait pris son père en amitié, mais aussi Visconti, venu à Alger tourner l’adaptation de L’Étranger. Camus, Sénac, Le Corbusier, et quelques autres, tous fascinés par la Ville Blanche ou pris dans la tourmente de la guerre d’Algérie – et chacun détenant, à sa manière, une clé de la “maison mauresque” : il fallait donc forcer des serrures, pousser des portes. Dont une, inattendue, donnant sur une pièce que l’écrivain croyait vide : celle du père. Biographie de l'auteur Né en 1962, Claro est l’auteur d’une vingtaine de fictions – dont Tous les diamants du ciel (Actes Sud, 2012), Crash-test (Actes Sud, 2015) – ainsi que de deux recueils d’essais, Le Clavier cannibale (Inculte, 2010) et Cannibale lecteur (Inculte, 2014). Également traducteur de l’américain (une centaine d’ouvrages traduits : Vollmann, Gass, Joyce Carol Oates, Lucy Ellmann…), Claro tient un blog littéraire, “Le Clavier cannibale”.Sa chienne Onyx et son chat Salam vont bien.
Détails du livre
Contenu
Auteur

La maison indigène

Grand Format - Actes Sud Editions - 192 pages - Publication: 11 mars 2020

Claro (Auteur)

État
 
 
Il ne reste plus que 1 exemplaire(s) en stock
19,50 € - 76 %
Prix réduit4,66 € Prix normal

Livraison

Livré entre : 8 octobre - 11 octobre
Livraison gratuite (FR et BE) à partir de 20 €

Retour GRATUIT sous 14 jours.


Paiement sécurisé

Achat engagé

Produit collecté et traité en France.

441 g de CO2eq en moins par rapport au neuf.

Le Pitch

Présentation de l'éditeur En 1930, l’architecte Léon Claro, grand-père de l’auteur, fait bâtir, au pied de la Casbah d’Alger, une « maison indigène », à la fois hommage au style néo-mauresque et célébration du centenaire de l’Algérie française .De cette maison (qui existe toujours) ce livre est une visite – intime, historique, littéraire, politique ― une « boîte noire » dont Claro extrait la mémoire, laquelle inclut Albert Camus, Le Corbusier, le poète Jean Sénac ou Lucchino Visconti, tous fascinés par la ville blanche ou pris dans la tourmente de la guerre d’Algérie – et chacun détenant, à sa façon, une clé de la « maison mauresque ». Ce livre force donc des serrures, pousse des portes, dont une, inattendue, qui donne sur une pièce que l’auteur croyait vide : celle du père. Quatrième de couverture Ce livre est, à sa façon, une visite : non seulement de la maison que fit bâtir, en 1930, l’architecte Léon Claro, grand-père de l’auteur, pour rendre hommage au style néomauresque lors du centenaire de l’Algérie française, mais également de tout un passé – intime, historique, littéraire, politique – auquel l’écrivain avait toujours refusé de s’intéresser. Reconnaissant enfin, dans cette maison indigène, une vraie “boîte noire” dont il importe d’extraire la mémoire, Claro apprend qu’elle a été visitée en 1933 par un jeune homme de vingt ans, Albert Camus, lequel en ressortit littéralement ébloui et écrivit alors un de ses tout premiers textes : “La Maison mauresque”, véritable acte de naissance littéraire du futur prix Nobel. Mais la “Villa Claro” – ainsi qu’on l’appelait parfois – a également accueilli un autre créateur : Le Corbusier, que Léon Claro convia à Alger en 1931 et qui, à cette occasion, s’égara dans la Casbah, allant jusqu’à s’aventurer dans une autre maison, “close” celle-là, où l’attendait le secret de son esthétique à venir. Au cours de cette enquête, Claro est amené à croiser d’autres visiteurs, tel le poète Jean Sénac, qui avait pris son père en amitié, mais aussi Visconti, venu à Alger tourner l’adaptation de L’Étranger. Camus, Sénac, Le Corbusier, et quelques autres, tous fascinés par la Ville Blanche ou pris dans la tourmente de la guerre d’Algérie – et chacun détenant, à sa manière, une clé de la “maison mauresque” : il fallait donc forcer des serrures, pousser des portes. Dont une, inattendue, donnant sur une pièce que l’écrivain croyait vide : celle du père. Biographie de l'auteur Né en 1962, Claro est l’auteur d’une vingtaine de fictions – dont Tous les diamants du ciel (Actes Sud, 2012), Crash-test (Actes Sud, 2015) – ainsi que de deux recueils d’essais, Le Clavier cannibale (Inculte, 2010) et Cannibale lecteur (Inculte, 2014). Également traducteur de l’américain (une centaine d’ouvrages traduits : Vollmann, Gass, Joyce Carol Oates, Lucy Ellmann…), Claro tient un blog littéraire, “Le Clavier cannibale”.Sa chienne Onyx et son chat Salam vont bien.
Détails du livre
Contenu
Auteur

Vous pouvez également aimer

Récemment consultés