Fiche technique
- Titre : No logo: La tyrannie des marques
- Auteur : Klein, Naomi
- Langue : Anglais
- Format : Poche
- Nombre de pages : 570
- Genre : Modern & contemporary fiction (post c 1945)
- Date de publication : 01-08-2004
- Édition : J'ai lu
- Poids : 0.295 kg
- Dimensions : 11 x 2.3 x 17.8 cm
- ISBN-10 : 2290333123
- ISBN-13 : 9782290333129
Résumé
Aujourd'hui, les compagnies ne nous vendent plus seulement des produits, mais surtout un mode de vie, une marque. À la télévision et dans la presse, dans les rues et jusque dans les écoles, les marques sont omniprésentes. Les multinationales ont ainsi peu à peu investi toutes les sphères de la vie privée. L'émergence de ces " super-marques " s'est accompagnée d'une dégradation des conditions de travail, que ce soit en Occident, où se multiplient les différentes formes de travail précaire, ou dans de nombreux pays du tiers-monde qui assistent, impuissants, à la montée d'un nouveau type d'esclavage. Face à cette situation, de nombreuses voix s'élèvent pour dénoncer les abus des multinationales et prôner la reconquête d'un espace vierge. Un nouveau militantisme à l'échelle mondiale qui nous montre qu'il est encore temps de dire non à la tyrannie des marques...Quatrième de couvertureAujourd'hui, le village est "planétaire", l'adolescent "mondial" et la société de consommation dominée par les marques. Les espaces publicitaires traditionnels qu'elles se sont de tout temps montré promptes à coloniser - panneaux d'affichage, télévision, cinéma, presse écrite - sont désormais devenus trop restreints pour des logos frappés d'expansionnisme galopant.En plantant leurs drapeaux sur des territoires jusqu'à présent vierges de toute publicité, en substituant au simple objet de consommation une image capable de le faire accéder à la dimension du mythe, les multinationales ne se sont pas contentées de bouleverser les mentalités et le monde du travail, elles ont modifié l'économie de nombreux pays.Dans cette course au profit, beaucoup sont en effet passés maîtres dans l'art de bafouer les droits de l'homme : l'esclavage moderne existe dans les zones franches industrielles ou dans certains Etats du Tiers-Monde, véritables paradis fiscaux pour sociétés capitalistes. Pendant ce temps, en Occident, les usines ferment les unes après les autres et migrent sous des cieux plus complaisants, les mises à pied massives se succèdent à un rythme effréné, les contrats à temps partiel ou intérimaires remplacent les emplois permanents, les acquis sociaux sont laminés, voire disparaissent. Mais le nombre augmente de ceux qui prônent l'urgence d'une mobilisation vigilante, et qui dénoncent les abus commis par les grandes sociétés. Venant de partout, ils se rencontrent, se regroupent et s'organisent sur l'Internet : ils veulent récupérer l'espace, la rue, la forêt dont on les a privés, ils réclament des emplois et des conditions de travail décents, un partage plus équitable des énormes bénéfices des multinationales, ils refusent d'acheter des produits pour lesquels d'autres, à des milliers de kilomètres de chez eux, paient le tribut de la sueur et parfois du sang.Ce nouveau militantisme, reflet de la pluralité sociale et ethnique de bon nombre de pays, a déjà gagné des batailles contre les logos mastodontes. Les événements de Seattle ou de Prague l'ont prouvé : il est encore temps de dire non à la tyrannie des marques. Ce texte se rapporte à l'édition Broché.
Quatrième de couverture
Aujourd'hui, le village est "planétaire", l'adolescent "mondial" et la société de consommation dominée par les marques. Les espaces publicitaires traditionnels qu'elles se sont de tout temps montré promptes à coloniser - panneaux d'affichage, télévision, cinéma, presse écrite - sont désormais devenus trop restreints pour des logos frappés d'expansionnisme galopant.En plantant leurs drapeaux sur des territoires jusqu'à présent vierges de toute publicité, en substituant au simple objet de consommation une image capable de le faire accéder à la dimension du mythe, les multinationales ne se sont pas contentées de bouleverser les mentalités et le monde du travail, elles ont modifié l'économie de nombreux pays.Dans cette course au profit, beaucoup sont en effet passés maîtres dans l'art de bafouer les droits de l'homme : l'esclavage moderne existe dans les zones franches industrielles ou dans certains Etats du Tiers-Monde, véritables paradis fiscaux pour sociétés capitalistes. Pendant ce temps, en Occident, les usines ferment les unes après les autres et migrent sous des cieux plus complaisants, les mises à pied massives se succèdent à un rythme effréné, les contrats à temps partiel ou intérimaires remplacent les emplois permanents, les acquis sociaux sont laminés, voire disparaissent. Mais le nombre augmente de ceux qui prônent l'urgence d'une mobilisation vigilante, et qui dénoncent les abus commis par les grandes sociétés. Venant de partout, ils se rencontrent, se regroupent et s'organisent sur l'Internet : ils veulent récupérer l'espace, la rue, la forêt dont on les a privés, ils réclament des emplois et des conditions de travail décents, un partage plus équitable des énormes bénéfices des multinationales, ils refusent d'acheter des produits pour lesquels d'autres, à des milliers de kilomètres de chez eux, paient le tribut de la sueur et parfois du sang.Ce nouveau militantisme, reflet de la pluralité sociale et ethnique de bon nombre de pays, a déjà gagné des batailles contre les logos mastodontes. Les événements de Seattle ou de Prague l'ont prouvé : il est encore temps de dire non à la tyrannie des marques. Ce texte se rapporte à l'édition Broché.Biographie de l'auteurNaomi Klein. Née en 1970 à Montréal, elle fut journaliste au Toronto Star avant de devenir reporter indépendant. Elle travaille aujourd'hui pour le Globe and Mail. No logo a connu un succès planétaire.
À propos de l'auteur
Klein, Naomi
Naomi Klein. Née en 1970 à Montréal, elle fut journaliste au Toronto Star avant de devenir reporter indépendant. Elle travaille aujourd'hui pour le Globe and Mail. No logo a connu un succès planétaire.
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