Fiche technique
- Titre : Cybione, tome 3 : Keelsom, Jahnaïc
- Auteur : Ayerdhal
- Langue : Français
- Format : Broché
- Nombre de pages : 190
- Genre : Science fiction
- Date de publication : 31-10-2001
- Édition : J'AI LU
- Poids : 0.08499896383794427 kg
- Dimensions : 11 x 1.2 x 18 cm
- ISBN-10 : 2290311820
- ISBN-13 : 9782290311820
Résumé
Sollicitée par le gouvernement de la planète Tilsom, qui souhaite que sa constitution soit assuré par Ender, lAgence expédie Elyia pour étudier les conditions de ce contrat et vérifier que Tilsom satisfait à ses critères, au besoin en lui donnant un petit coup de pouce à sa façon. Mais la cybione saperçoit très vite que la démocratie de Tilsom souffre de désintérêt total de la population pour ses principes et ses institutions. Et découvre aussi quEnder la déjà envoyé sur Tilsom pour la même raison, et quelle y est morte assassinée à chaque fois...Amazon.fr"Tu t'attendais à ça, Saryll ?" Lorsque Elyia Nahm joue un mauvais tour à son chef, le détestable patron de l'Agence Ender (les amateurs auront saisi le clin d'œil), on se dit que la chance de la cybione – androïde de combat cloné – a enfin tourné. Pour le troisième épisode de sa série noire mâtinée de SF classique, Ayerdhal rompt avec les fins tragiques des précédents volumes. C'est qu'on a fini par s'y attacher à son Elyia, à chaque fois replongée dans sa cuve Phénix, séductrice et chaleureuse, courageuse et révoltée, la tête prêt du bonnet mais le cœur gros comme ça… Un héros positif au féminin, à mille lieux des nunuches de la SF de grand-papa !Métaphore transparente de notre monde, Keelsom Jahnaïc est une planète assez peu développée en ce qui concerne la technologie, où les agents d'Ender sont éliminés les uns après les autres. Jusqu'au moment où l'Agence – "l'assureur des constitutions" – décide d'envoyer Elyia y mettre bon ordre. Mais qui tire les ficelles et au profit de qui ? Encore un ouvrage d'Ayerdhal qu'on ne lâche qu'au mot "fin". --Stéphane NicotQuatrième de couvertureEn Jahnaïc, on chante le reggae, on boit ou rhum, on joue au futchibol et on fume la ganja. Parfois aussi, on assassine un ministre ou on fait sauter un commissariat... Tout ça est cependant un peu réducteur. C'est en tout cas ce que pressent Elyia Nahm, sans comprendre vraiment quelles raisons poussent l'agence Ender à s'intéresser a cette jeune et fragile république sans histoires. Encore qu'il paraisse normal que l'assureur des constitutions de mille mondes envisage de garantir la démocratie jahnaïcaine ; après tout, c'est sa vocation. Mais quels buts poursuivent alors ceux qui s'obstinent à lui mettre des bâtons dans les roues
Quatrième de couverture
En Jahnaïc, on chante le reggae, on boit ou rhum, on joue au futchibol et on fume la ganja. Parfois aussi, on assassine un ministre ou on fait sauter un commissariat... Tout ça est cependant un peu réducteur. C'est en tout cas ce que pressent Elyia Nahm, sans comprendre vraiment quelles raisons poussent l'agence Ender à s'intéresser a cette jeune et fragile république sans histoires. Encore qu'il paraisse normal que l'assureur des constitutions de mille mondes envisage de garantir la démocratie jahnaïcaine ; après tout, c'est sa vocation. Mais quels buts poursuivent alors ceux qui s'obstinent à lui mettre des bâtons dans les rouesBiographie de l'auteurNé à Lyon en 1959. Il est l'auteur en collaboration avec J.-C. Dunyach, d'"Étoiles Mourantes", chef-d'oeuvre récompensé par le prix Tour Eiffel de science-fiction 1999. Lauréat du Grand Prie de l'Imaginaire 1993 pour "Demain, une oasis", Ayerdhal a dirigé "Genèses l'anthologie-manifeste" du renouveau de la S-F francophone; on lui doit également "Parleur ou les chroniques d'un rêve enclavé" (prix Ozone 1997).
À propos de l'auteur
Ayerdhal
Né à Lyon en 1959. Il est l'auteur en collaboration avec J.-C. Dunyach, d'"Étoiles Mourantes", chef-d'oeuvre récompensé par le prix Tour Eiffel de science-fiction 1999. Lauréat du Grand Prie de l'Imaginaire 1993 pour "Demain, une oasis", Ayerdhal a dirigé "Genèses l'anthologie-manifeste" du renouveau de la S-F francophone; on lui doit également "Parleur ou les chroniques d'un rêve enclavé" (prix Ozone 1997).
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