La possibilité d'une île

Promo

Broché - 31/08/2005 - Fayard - 496 pages

2148 notes

Le Pitch

Dans ce roman d'anticipation, Michel Houellebecq explore les thèmes de la vie éternelle, de la solitude et de la quête de sens. À travers le récit de deux clones et de leur créateur, il interroge les limites de la science et de l'humanité. Une œuvre sombre et provocante qui bouscule les certitudes. Afficher moins Afficher plus
Détails du livre

La possibilité d'une île

Promo

Broché - 31/08/2005 - Fayard - 496 pages

2148 notes
État
 
 
Il ne reste plus que 1 exemplaire(s) en stock
Prix réduit2,74 €
Livré entre : 13 janvier - 16 janvier
Livraison gratuite (FR et BE) à partir de 20 €

Retour GRATUIT sous 14 jours.


Paiement sécurisé

Achat engagé

Produit collecté et traité en France.

1050 g de CO2eq en moins par rapport au neuf.

Image to render

Revendez-le sur notre application!

Le Pitch

Dans ce roman d'anticipation, Michel Houellebecq explore les thèmes de la vie éternelle, de la solitude et de la quête de sens. À travers le récit de deux clones et de leur créateur, il interroge les limites de la science et de l'humanité. Une œuvre sombre et provocante qui bouscule les certitudes. Afficher moins Afficher plus
Détails du livre

Critiques de presse

Lecturejeune

Lecturejeune

Lecture jeune, n°117 - La possibilité d’une île, prix Interallié 2005, figurait sur la liste du Goncourt des lycéens. Cette fresque d’anticipation qui dit si bien le mal de notre (début de) siècle est certes l’un des romans les plus forts de la rentrée littéraire. Comme son personnage Daniel, comique de son état, Michel Houellebecq est profondément dépressif, provocateur et misogyne. Agaçant ? Peut être, mais avant tout brillant… et malgré tout touchant. Héritier de La Rochefoucauld, il livre des analyses aiguës des dérives de notre société (jeunisme, individualisme, consumérisme) et titille ainsi le lecteur là où ça fait mal. L’épopée de Daniel, qui fit du cynisme et du politiquement incorrect son fonds de commerce avant de s’enrôler dans une secte pour fuir sa peur de vieillir et de mourir seul, est exemplaire. La vie éternelle, qu’il tente en un dernier sursaut pathétique de gagner dans les bras d’une Lolita, lui est finalement offerte par les Eholim. Daniel livre des descriptions amusées des moeurs de cette secte new wave spécialiste du clonage (toute ressemblance avec les Raëliens serait purement fortuite). Parmi les adolescents, les lecteurs matures pourront être séduits par cet aspect et par l’inscription du roman dans le registre de la science-fiction. Mais combien s’intéresseront vraiment au désespoir d’un héros à la chair triste qui clame que «La vie commence à cinquante ans, c'est vrai ; à ceci près qu'elle se termine à quarante» ? Gaëlle Glin

Aller plus loin

Vous pouvez également aimer

Récemment consultés