Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Chymie charitable et facile en faveur des dames

Broché - CNRS editions - 250 pages - Publication: 10 avril 1999

Collectif (Auteur)

Le Pitch

Présentation de l'éditeur " Quand j'ai commencé ce petit Traité, ça a été pour ma seule satisfaction, et pour ne pas perdre la mémoire des connaissances que je me suis acquises par un long travail, et par diverses recherches plusieurs fois réitérées. J'ai été tentée de le publier ; mais si j'avais des raisons de le mettre en lumière, j'en avais pour le tenir caché ; je m'objectais à moi-même que ce n'était pas la profession d'une femme d'enseigner ; qu'elle se doit demeurer dans le silence, écouter et apprendre, sans témoigner qu'elle sait ; qu'il est au-dessus d'elle de donner un Ouvrage au public, et que cette réputation n'est pas d'ordinaire avantageuse, puisque les hommes méprisent et blâment toujours les productions qui partent de l'esprit d'une femme. Je me flattais d'un autre côté que je ne suis pas la première qui ai mis quelque chose sous la Presse ; que les Esprits n'ont point de sexe ; et que si ceux des femmes étaient cultivés comme ceux des hommes, et que l'on employât autant de temps et de dépenses à les instruire, ils pourraient les égaler. " Marie Meurdrac (1666) Voici donc qu'il y a trois siècles une voix de femme s'élève pour nous apporter témoignage sur ce qu'était la chimie et la " science " des produits de beauté de ce temps-là. Vous n'y rencontrerez pas grand-chose qui soit encore utilisable, mais vous y retrouverez ce qui fera toujours la qualité d'une recherche sans âge : la volonté de savoir, la bonne volonté, l'ambition de bien faire et de faire savoir ce que l'on sait. Avec, en prime, le charme insolite et le merveilleux des Contes de ma mère l'Oye. Quatrième de couverture « Quand j'ai commencé ce petit Traité, ça a été pour ma seule satisfaction, et pour ne pas perdre la mémoire des connaissances que je me suis acquises par un long travail, et par diverses recherches plusieurs fois réitérées. J'ai été tentée de le publier; mais si j'avais des raisons de le mettre en lumière, j'en avais pour le tenir caché; je m'objectais à moi-même que ce n'était pas la profession d'une femme d'enseigner ; qu'elle se doit demeurer dans le silence, écouter et apprendre, sans témoigner qu'elle sait ; qu'il est au-dessus d'elle de donner un Ouvrage au public, et que cette réputation n'est pas d'ordinaire avantageuse, puisque les hommes méprisent et blâment toujours les productions qui partent de l'esprit d'une femme. Je me flattais d'un autre côté que je ne suis pas la première qui ai mis quelque chose sous la Presse; que les Esprits n'ont point de sexe ; et que si ceux des femmes étaient cultivés comme ceux des hommes, et que l'on employât autant de temps et de dépenses à les instruire, ils pourraient les égaler. » - Marie Meurdrac (1666) Voici donc qu'il y a trois siècles une voix de femme s'élève pour nous apporter témoignage sur ce qu'était la chimie et la « science » des produits de beauté de ce temps-là. Vous n'y rencontrerez pas grand-chose qui soit encore utilisable,mais vous y retrouverez ce qui fera toujours la qualité d'une recherche sans âge : la volonté de savoir, la bonne volonté, l'ambition de bien faire et de faire savoir ce que l'on sait. Avec, en prime, le charme insolite et le merveilleux des Contes de ma mère l'Oye.
Détails du livre
Auteur

Chymie charitable et facile en faveur des dames

Broché - CNRS editions - 250 pages - Publication: 10 avril 1999

Collectif (Auteur)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur " Quand j'ai commencé ce petit Traité, ça a été pour ma seule satisfaction, et pour ne pas perdre la mémoire des connaissances que je me suis acquises par un long travail, et par diverses recherches plusieurs fois réitérées. J'ai été tentée de le publier ; mais si j'avais des raisons de le mettre en lumière, j'en avais pour le tenir caché ; je m'objectais à moi-même que ce n'était pas la profession d'une femme d'enseigner ; qu'elle se doit demeurer dans le silence, écouter et apprendre, sans témoigner qu'elle sait ; qu'il est au-dessus d'elle de donner un Ouvrage au public, et que cette réputation n'est pas d'ordinaire avantageuse, puisque les hommes méprisent et blâment toujours les productions qui partent de l'esprit d'une femme. Je me flattais d'un autre côté que je ne suis pas la première qui ai mis quelque chose sous la Presse ; que les Esprits n'ont point de sexe ; et que si ceux des femmes étaient cultivés comme ceux des hommes, et que l'on employât autant de temps et de dépenses à les instruire, ils pourraient les égaler. " Marie Meurdrac (1666) Voici donc qu'il y a trois siècles une voix de femme s'élève pour nous apporter témoignage sur ce qu'était la chimie et la " science " des produits de beauté de ce temps-là. Vous n'y rencontrerez pas grand-chose qui soit encore utilisable, mais vous y retrouverez ce qui fera toujours la qualité d'une recherche sans âge : la volonté de savoir, la bonne volonté, l'ambition de bien faire et de faire savoir ce que l'on sait. Avec, en prime, le charme insolite et le merveilleux des Contes de ma mère l'Oye. Quatrième de couverture « Quand j'ai commencé ce petit Traité, ça a été pour ma seule satisfaction, et pour ne pas perdre la mémoire des connaissances que je me suis acquises par un long travail, et par diverses recherches plusieurs fois réitérées. J'ai été tentée de le publier; mais si j'avais des raisons de le mettre en lumière, j'en avais pour le tenir caché; je m'objectais à moi-même que ce n'était pas la profession d'une femme d'enseigner ; qu'elle se doit demeurer dans le silence, écouter et apprendre, sans témoigner qu'elle sait ; qu'il est au-dessus d'elle de donner un Ouvrage au public, et que cette réputation n'est pas d'ordinaire avantageuse, puisque les hommes méprisent et blâment toujours les productions qui partent de l'esprit d'une femme. Je me flattais d'un autre côté que je ne suis pas la première qui ai mis quelque chose sous la Presse; que les Esprits n'ont point de sexe ; et que si ceux des femmes étaient cultivés comme ceux des hommes, et que l'on employât autant de temps et de dépenses à les instruire, ils pourraient les égaler. » - Marie Meurdrac (1666) Voici donc qu'il y a trois siècles une voix de femme s'élève pour nous apporter témoignage sur ce qu'était la chimie et la « science » des produits de beauté de ce temps-là. Vous n'y rencontrerez pas grand-chose qui soit encore utilisable,mais vous y retrouverez ce qui fera toujours la qualité d'une recherche sans âge : la volonté de savoir, la bonne volonté, l'ambition de bien faire et de faire savoir ce que l'on sait. Avec, en prime, le charme insolite et le merveilleux des Contes de ma mère l'Oye.
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