Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Le roman de Cuba

Broché - DU ROCHER - 276 pages - Publication: 15 janvier 2009

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Dans l'imaginaire occidental, Cuba reste cette terre de plaisir, où des plages de carte postale le disputent à la beauté insolente des femmes, où les meilleurs cigares du monde, s'accompagnent de la dégustation d'un rhum vieux. La sensualité n'est pas un vain mot. Les amateurs y verront là un avant-goût du paradis terrestre, que Christophe Colomb situe à quelques milles marins des côtes cubaines. D'autres y ajouteront les nombreux rythmes semés le long de son histoire : habanera, son, danzón, boléro, rumba, cha-cha-cha, mambo, salsa. Les grosses américaines des années 1940 et 1950 qui continuent de rouler, le million de kilomètres au compteur, leur carcasse rutilante sur les routes cabossées de l'île charrient leur part de stéréotypes. Le cinéma hollywoodien aussi, avec des films comme Cuba de Richard Lester, Havana de Sydney Pollack ou The Lost City d'Andy Garcia. Même la révolution castriste, et ses cinquante ans de pouvoir absolu, aura contribué à façonner l'image d'un pays suspendu dans le temps. Les amoureux de Cuba savent que l'identité de l'île ne s'arrête pas à ces regards nostalgiques, ni à un régime à bout de souffle dont les slogans éculés cachent une réalité plus profonde. De Colomb à Castro, Le Roman de Cuba nous plonge dans les méandres de cinq siècles d'histoire d'une terre mystérieuse et envoûtante. Écrivain, ancien pensionnaire de la Villa Médicis, Louis-Philippe Dalembert est auteur d'une thèse de doctorat sur le grand romancier cubain Alejo Carpentier. Il séjourne régulièrement à Cuba, à laquelle il est attaché par son histoire familiale. En 2008, il a reçu le prix Casa de las Americas, le plus prestigieux de cette île caraïbe, pour son roman Les dieux voyagent la nuit (Le Rocher, 2006). Extrait Extrait du prologue : «Je n'ai jamais vu un étranger aimer autant Cuba !» Je ne me rappelle plus dans quelle circonstance la poétesse Nancy Morejón, émue par tant d'intérêt pour son pays natal, me gratifia de cette exclamation. Pour elle, c'était le plus beau des compliments à l'endroit d'un non-Cubain. Un peu comme lorsqu'un natif de l'Hexagone admiratif devant la maîtrise, par un non-Français, de la langue de Voltaire, déclare : «Il s'exprime dans un français parfait.» C'est le sentiment que me laissa la phrase de la poétesse cubaine au faux air d'Angela Davis. On devait être, si j'ai bonne mémoire, quelque part dans La Havane, non loin du Malecón. Construite en 1902 pour protéger la ville des débordements de l'Atlantique, cette promenade de béton armé qui longe le front de mer sur plus de huit kilomètres est le lieu où aiment à se retrouver les Havanais pour prendre l'air, conter fleurette, lancer des piropos (flatteries) sur les pas des jeunes filles en chair, taquiner le poisson guanabana ou, plus prosaïquement, rêver de l'autre bord : la Floride. Miami, la ville cubaine la plus proche des États-Unis, selon les Cubains... J'ai mis du temps à cerner l'origine de cet amour pour Cuba La fascination des Caribéens de ma génération, moins au fond pour la Révolution que pour la résistance du David antillais face au Goliath étasunien, ne pouvait pas suffire. Même si longtemps j'ai cru le contraire. Adolescent, je lisais Fidel sous le manteau, et me trimbalais avec une photo du Che dans mon portefeuille. Les vraies explications sont arrivées plus tard, par vagues successives, à l'image des charges répétées de l'Océan contre les soubassements du Malecón. Il y eut d'abord une thèse de doctorat en littérature comparée. Et cette impression étrange, le jour de la soutenance, de la présence à mes côtés de ma grand-mère maternelle, décédée deux ans auparavant. Biographie de l'auteur Louis-Philippe Dalembert est né en Haiti en 1962, à Port-au-Prince. Grand amateur de voyages, ce vagabond, comme il se définit lui-même, a vécu une dizaine d'années à Paris, où il a réalisé ses études universitaires et exercé la profession de journaliste. En 1989, il a obtenu pour Et le soleil se souvien
Détails du livre
Auteur

Le roman de Cuba

Broché - DU ROCHER - 276 pages - Publication: 15 janvier 2009

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Dans l'imaginaire occidental, Cuba reste cette terre de plaisir, où des plages de carte postale le disputent à la beauté insolente des femmes, où les meilleurs cigares du monde, s'accompagnent de la dégustation d'un rhum vieux. La sensualité n'est pas un vain mot. Les amateurs y verront là un avant-goût du paradis terrestre, que Christophe Colomb situe à quelques milles marins des côtes cubaines. D'autres y ajouteront les nombreux rythmes semés le long de son histoire : habanera, son, danzón, boléro, rumba, cha-cha-cha, mambo, salsa. Les grosses américaines des années 1940 et 1950 qui continuent de rouler, le million de kilomètres au compteur, leur carcasse rutilante sur les routes cabossées de l'île charrient leur part de stéréotypes. Le cinéma hollywoodien aussi, avec des films comme Cuba de Richard Lester, Havana de Sydney Pollack ou The Lost City d'Andy Garcia. Même la révolution castriste, et ses cinquante ans de pouvoir absolu, aura contribué à façonner l'image d'un pays suspendu dans le temps. Les amoureux de Cuba savent que l'identité de l'île ne s'arrête pas à ces regards nostalgiques, ni à un régime à bout de souffle dont les slogans éculés cachent une réalité plus profonde. De Colomb à Castro, Le Roman de Cuba nous plonge dans les méandres de cinq siècles d'histoire d'une terre mystérieuse et envoûtante. Écrivain, ancien pensionnaire de la Villa Médicis, Louis-Philippe Dalembert est auteur d'une thèse de doctorat sur le grand romancier cubain Alejo Carpentier. Il séjourne régulièrement à Cuba, à laquelle il est attaché par son histoire familiale. En 2008, il a reçu le prix Casa de las Americas, le plus prestigieux de cette île caraïbe, pour son roman Les dieux voyagent la nuit (Le Rocher, 2006). Extrait Extrait du prologue : «Je n'ai jamais vu un étranger aimer autant Cuba !» Je ne me rappelle plus dans quelle circonstance la poétesse Nancy Morejón, émue par tant d'intérêt pour son pays natal, me gratifia de cette exclamation. Pour elle, c'était le plus beau des compliments à l'endroit d'un non-Cubain. Un peu comme lorsqu'un natif de l'Hexagone admiratif devant la maîtrise, par un non-Français, de la langue de Voltaire, déclare : «Il s'exprime dans un français parfait.» C'est le sentiment que me laissa la phrase de la poétesse cubaine au faux air d'Angela Davis. On devait être, si j'ai bonne mémoire, quelque part dans La Havane, non loin du Malecón. Construite en 1902 pour protéger la ville des débordements de l'Atlantique, cette promenade de béton armé qui longe le front de mer sur plus de huit kilomètres est le lieu où aiment à se retrouver les Havanais pour prendre l'air, conter fleurette, lancer des piropos (flatteries) sur les pas des jeunes filles en chair, taquiner le poisson guanabana ou, plus prosaïquement, rêver de l'autre bord : la Floride. Miami, la ville cubaine la plus proche des États-Unis, selon les Cubains... J'ai mis du temps à cerner l'origine de cet amour pour Cuba La fascination des Caribéens de ma génération, moins au fond pour la Révolution que pour la résistance du David antillais face au Goliath étasunien, ne pouvait pas suffire. Même si longtemps j'ai cru le contraire. Adolescent, je lisais Fidel sous le manteau, et me trimbalais avec une photo du Che dans mon portefeuille. Les vraies explications sont arrivées plus tard, par vagues successives, à l'image des charges répétées de l'Océan contre les soubassements du Malecón. Il y eut d'abord une thèse de doctorat en littérature comparée. Et cette impression étrange, le jour de la soutenance, de la présence à mes côtés de ma grand-mère maternelle, décédée deux ans auparavant. Biographie de l'auteur Louis-Philippe Dalembert est né en Haiti en 1962, à Port-au-Prince. Grand amateur de voyages, ce vagabond, comme il se définit lui-même, a vécu une dizaine d'années à Paris, où il a réalisé ses études universitaires et exercé la profession de journaliste. En 1989, il a obtenu pour Et le soleil se souvien
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