Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Allmen et les dahlias

Broché - BOURGOIS - 196 pages - Publication: 02 mai 2014

Suter, Martin (Auteur)

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Après deux enquêtes menées avec succès, le dandy-détective Friedrich von Allmen est passé maître dans l'art de la recherche d'œuvres d'art volées. Toujours secondé par Carlos, son fidèle domestique guatémaltèque, c'est sur les rives d'un lac suisse qu'il est appelé pour retrouver un tableau de Fantin-Latour dérobé à Mme Gutbauer, excentrique milliardaire qui occupe tout l'étage d'un vieil hôtel de luxe. Élisant domicile sur les lieux du délit, Allmen devient partie prenante d'un habile huis-clos au sein duquel Martin Suter combine à la perfection suspense, élégance et ironie. « Rien n'est plus agréable que d'être manipulé avec classe. » Gladys Marivat, Chronic'art Extrait C'était l'un de ces matins où il devait nouer sa cravate trois fois de suite avant d'obtenir les bonnes longueurs. Allmen avait mal dormi. Il avait déserté l'ennuyeuse inauguration d'un club pelucheux pour aller s'ensabler avec quelques autres renégats dans les locaux du Goldenbar, puis au Blauer Heinrich. Lorsqu'il avait enfin regagné son lit, une conférence nocturne avec la Colombie organisée par Mark Moreno l'avait arraché à son tout premier sommeil. Carlos, lui aussi, conférait fréquemment avec sa famille au Guatemala, mais il le faisait toujours avec discrétion. Lorsque c'était Maria, en revanche, dans la maison mal insonorisée du jardinier, on aurait juré que sa chambre était pleine de Colombiens venus faire la fête. Juste après l'heureuse conclusion de l'affaire du «Diamant rose», il avait voulu proposer un emploi fixe à Maria Moreno. Cela lui paraissait pure logique. L'argent, désormais, ne manquait pas, Allmen aimait avoir du personnel et Carlos aimait Maria Moreno. Mais, une fois de plus, il n'avait pas compté sur la pingrerie de ce dernier. Même à présent que les réserves bancaires de Carlos dépassaient largement celles de son patron, il mégotait sur le moindre sou. Il n'avait pas voulu accepter l'offre d'Allmen, qui proposait de l'employer non plus à temps partiel en échange du gîte et du couvert, mais à plein temps et moyennant un bon salaire. Il préférait rester à mi-temps comme jardinier et concierge chez K, C, L & D Fiduciaire, la société qui avait acheté la villa Schwarzacker et laissé à Allmen l'usufruit emphytéotique de la maison de jardinier. «Nunca sesabe», avait-il dit : on ne sait jamais. Allmen savait parfaitement de quoi il était question : on ne savait jamais à quel moment Don John serait de nouveau en faillite. Et il s'avéra bientôt qu'on y était presque. Il avait également réussi à faire échec à l'embauche fixe de sa Maria. Il lui conseilla de continuer à travailler à l'heure et de garder la main sur le reste de sa clientèle. Nunca se sabe. Pour ce qui concernait sa situation domestique, Carlos était moins strict. L'entrée de Maria Moreno dans les lieux s'était déroulée par étapes. Ce furent d'abord des visites féminines occasionnelles chez Carlos, visites qu'Allmen, en homme du monde, toléra bien sûr comme si cela allait de soi. Non sans être effleuré par une émotion désagréable, toutefois, ses vidéoconférences avec la Colombie n'étant pas la seule occasion pour Maria Moreno de se manifester bruyamment. Elle n'avait pas tardé à rester le week-end, ce qui ne le dérangeait pas plus que cela, car elle offrait un spectacle réjouissant. Le jour où Carlos était venu expliquer à Allmen, avec ses circonvolutions habituelles, que Maria était provisoirement sans domicile, il n'avait vu aucune objection à ce qu'elle trouve refuge un moment auprès d'eux, dans la maison du jardinier. Et lorsqu'il la vit, un soir, assister Carlos en robe noire et petit tablier blanc, Allmen sut qu'il avait laissé passer le moment d'intervenir. Depuis, il hébergeait deux immigrés clandestins. Pas seulement «por mientras», c'est-à-dire provisoirement, comme le disait Carlos. Revue de presse Beaucoup de personnages gravitent autour de l'histoire, aucun d'eux n'étant à proprement parler honnête suivant les critères en vigue
Détails du livre
Auteur

Allmen et les dahlias

Broché - BOURGOIS - 196 pages - Publication: 02 mai 2014

Suter, Martin (Auteur)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Après deux enquêtes menées avec succès, le dandy-détective Friedrich von Allmen est passé maître dans l'art de la recherche d'œuvres d'art volées. Toujours secondé par Carlos, son fidèle domestique guatémaltèque, c'est sur les rives d'un lac suisse qu'il est appelé pour retrouver un tableau de Fantin-Latour dérobé à Mme Gutbauer, excentrique milliardaire qui occupe tout l'étage d'un vieil hôtel de luxe. Élisant domicile sur les lieux du délit, Allmen devient partie prenante d'un habile huis-clos au sein duquel Martin Suter combine à la perfection suspense, élégance et ironie. « Rien n'est plus agréable que d'être manipulé avec classe. » Gladys Marivat, Chronic'art Extrait C'était l'un de ces matins où il devait nouer sa cravate trois fois de suite avant d'obtenir les bonnes longueurs. Allmen avait mal dormi. Il avait déserté l'ennuyeuse inauguration d'un club pelucheux pour aller s'ensabler avec quelques autres renégats dans les locaux du Goldenbar, puis au Blauer Heinrich. Lorsqu'il avait enfin regagné son lit, une conférence nocturne avec la Colombie organisée par Mark Moreno l'avait arraché à son tout premier sommeil. Carlos, lui aussi, conférait fréquemment avec sa famille au Guatemala, mais il le faisait toujours avec discrétion. Lorsque c'était Maria, en revanche, dans la maison mal insonorisée du jardinier, on aurait juré que sa chambre était pleine de Colombiens venus faire la fête. Juste après l'heureuse conclusion de l'affaire du «Diamant rose», il avait voulu proposer un emploi fixe à Maria Moreno. Cela lui paraissait pure logique. L'argent, désormais, ne manquait pas, Allmen aimait avoir du personnel et Carlos aimait Maria Moreno. Mais, une fois de plus, il n'avait pas compté sur la pingrerie de ce dernier. Même à présent que les réserves bancaires de Carlos dépassaient largement celles de son patron, il mégotait sur le moindre sou. Il n'avait pas voulu accepter l'offre d'Allmen, qui proposait de l'employer non plus à temps partiel en échange du gîte et du couvert, mais à plein temps et moyennant un bon salaire. Il préférait rester à mi-temps comme jardinier et concierge chez K, C, L & D Fiduciaire, la société qui avait acheté la villa Schwarzacker et laissé à Allmen l'usufruit emphytéotique de la maison de jardinier. «Nunca sesabe», avait-il dit : on ne sait jamais. Allmen savait parfaitement de quoi il était question : on ne savait jamais à quel moment Don John serait de nouveau en faillite. Et il s'avéra bientôt qu'on y était presque. Il avait également réussi à faire échec à l'embauche fixe de sa Maria. Il lui conseilla de continuer à travailler à l'heure et de garder la main sur le reste de sa clientèle. Nunca se sabe. Pour ce qui concernait sa situation domestique, Carlos était moins strict. L'entrée de Maria Moreno dans les lieux s'était déroulée par étapes. Ce furent d'abord des visites féminines occasionnelles chez Carlos, visites qu'Allmen, en homme du monde, toléra bien sûr comme si cela allait de soi. Non sans être effleuré par une émotion désagréable, toutefois, ses vidéoconférences avec la Colombie n'étant pas la seule occasion pour Maria Moreno de se manifester bruyamment. Elle n'avait pas tardé à rester le week-end, ce qui ne le dérangeait pas plus que cela, car elle offrait un spectacle réjouissant. Le jour où Carlos était venu expliquer à Allmen, avec ses circonvolutions habituelles, que Maria était provisoirement sans domicile, il n'avait vu aucune objection à ce qu'elle trouve refuge un moment auprès d'eux, dans la maison du jardinier. Et lorsqu'il la vit, un soir, assister Carlos en robe noire et petit tablier blanc, Allmen sut qu'il avait laissé passer le moment d'intervenir. Depuis, il hébergeait deux immigrés clandestins. Pas seulement «por mientras», c'est-à-dire provisoirement, comme le disait Carlos. Revue de presse Beaucoup de personnages gravitent autour de l'histoire, aucun d'eux n'étant à proprement parler honnête suivant les critères en vigue
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