Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

J'étais médecin dans les tranchées

Broché - Univers Poche - 384 pages - Publication: 21 octobre 2010

Maufrais, Louis (Auteur), Ferro, Marc (Préface)

Audience
Adulte - Grand Public

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Août 1914. Louis Maufrais est étudiant en médecine quand la guerre éclate. Il rejoint alors le front et découvre les tranchées. Il y restera quatre ans à côtoyer la mort les pieds dans la boue et les mains dans le sang. Dans ses moment de repos, il prend des notes, photographie, pour raconter la souffrance, celle de ses camarades, la sienne. De l'Argonne au Chemin des Dames en passant par Verdun, la Grande Guerre au jour le jour et illustrée – fait rarissime – de photos prises par l'auteur du texte. " Un texte hallucinant. Non seulement il a été sur tous les fronts de la guerre, en France, mais au feu quatre années sur quatre. En cela son témoignage est unique. " Marc Ferro " Un des ouvrages les plus éclairants sur ce que fut la vie des combattants. " Le Figaro Extrait Extrait de la préface de Marc Ferro Voici un texte hallucinant. Il est l'oeuvre d'un médecin, qui, de 1914 à 1918, a fait toute la Grande Guerre dans les tranchées. À ce jour inédit, il est publié pour la première fois en ce quatre-vingt-dixième anniversaire de l'Armistice. On n'y trouvera ni idéologie ni jugements ni analyse. Dans l'horreur des postes de secours englués de boue, de sang, et soumis jour et nuit à des pluies d'obus, Louis Maufrais vit sa guerre à lui, pas celle des dirigeants, pas celle des historiens. Cette guerre avait pourtant commencé pour lui comme du Courteline. Étudiant en médecine, il était en congé dans sa famille, à Dol-de-Bretagne, quand il avait reçu sa feuille de route. Envoyé en Normandie en attendant son affectation, il n'avait pas grand-chose à faire. Il s'ennuie, il observe le nettoyage des tinettes, aide à trier les caleçons, fait passer la visite à des recrues très pittoresques pas si enthousiastes que ça d'aller verser leur sang pour la mère patrie. Ensuite, les classes commencent, cette école du soldat, avec ses marques extérieures de respect, le pas cadencé, la façon de s'aligner et de pivoter. Puis vient le maniement du fusil, un fusil Gras, datant de la guerre de 1870, qu'on fait manoeuvrer avec des cartouches en bois. «On nous faisait grimper des falaises, le long de la Vire, en silence, tous feux éteints, cigarettes interdites. Pour un peu, on se serait crus à la guerre !» Le samedi après-midi est consacré à l'hygiène, sauf pour «les universitaires, les juristes, les magistrats et les détenteurs d'une patente». Ce dont Maufrais déduit que «l'intelligentsia était présumée avoir les pieds propres !». Le voici planton sur le quai d'une petite gare, de neuf heures à midi, baïonnette au canon, devant la porte de la consigne. Une fois relevé, il demande à un employé la raison de sa veille : «- Ah, me répondit-il, au début de la guerre, on avait mis là un baril d'eau-de-vie pour les blessés. Nous n'avons pas eu de blessés, mais le niveau du baril n'arrêtait pas de baisser. C'est pour cela qu'on a demandé un planton pour garder la porte. - Et maintenant, ça va ? - Oh maintenant, il y a longtemps que le baril est vide !» Biographie de l'auteur Martine Veillet, journaliste free lance, a consacré cinq années d'enquête à la réalisation de ce livre, pour décrypter la voix de son grand-père, identifier les témoins et vérifier les faits et anecdotes racontés. " (...) un des ouvrages les plus éclairants sur ce que fut la vie des combattants. " Le Figaro
Détails du livre
Auteur

J'étais médecin dans les tranchées

Broché - Univers Poche - 384 pages - Publication: 21 octobre 2010

Maufrais, Louis (Auteur), Ferro, Marc (Préface)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Août 1914. Louis Maufrais est étudiant en médecine quand la guerre éclate. Il rejoint alors le front et découvre les tranchées. Il y restera quatre ans à côtoyer la mort les pieds dans la boue et les mains dans le sang. Dans ses moment de repos, il prend des notes, photographie, pour raconter la souffrance, celle de ses camarades, la sienne. De l'Argonne au Chemin des Dames en passant par Verdun, la Grande Guerre au jour le jour et illustrée – fait rarissime – de photos prises par l'auteur du texte. " Un texte hallucinant. Non seulement il a été sur tous les fronts de la guerre, en France, mais au feu quatre années sur quatre. En cela son témoignage est unique. " Marc Ferro " Un des ouvrages les plus éclairants sur ce que fut la vie des combattants. " Le Figaro Extrait Extrait de la préface de Marc Ferro Voici un texte hallucinant. Il est l'oeuvre d'un médecin, qui, de 1914 à 1918, a fait toute la Grande Guerre dans les tranchées. À ce jour inédit, il est publié pour la première fois en ce quatre-vingt-dixième anniversaire de l'Armistice. On n'y trouvera ni idéologie ni jugements ni analyse. Dans l'horreur des postes de secours englués de boue, de sang, et soumis jour et nuit à des pluies d'obus, Louis Maufrais vit sa guerre à lui, pas celle des dirigeants, pas celle des historiens. Cette guerre avait pourtant commencé pour lui comme du Courteline. Étudiant en médecine, il était en congé dans sa famille, à Dol-de-Bretagne, quand il avait reçu sa feuille de route. Envoyé en Normandie en attendant son affectation, il n'avait pas grand-chose à faire. Il s'ennuie, il observe le nettoyage des tinettes, aide à trier les caleçons, fait passer la visite à des recrues très pittoresques pas si enthousiastes que ça d'aller verser leur sang pour la mère patrie. Ensuite, les classes commencent, cette école du soldat, avec ses marques extérieures de respect, le pas cadencé, la façon de s'aligner et de pivoter. Puis vient le maniement du fusil, un fusil Gras, datant de la guerre de 1870, qu'on fait manoeuvrer avec des cartouches en bois. «On nous faisait grimper des falaises, le long de la Vire, en silence, tous feux éteints, cigarettes interdites. Pour un peu, on se serait crus à la guerre !» Le samedi après-midi est consacré à l'hygiène, sauf pour «les universitaires, les juristes, les magistrats et les détenteurs d'une patente». Ce dont Maufrais déduit que «l'intelligentsia était présumée avoir les pieds propres !». Le voici planton sur le quai d'une petite gare, de neuf heures à midi, baïonnette au canon, devant la porte de la consigne. Une fois relevé, il demande à un employé la raison de sa veille : «- Ah, me répondit-il, au début de la guerre, on avait mis là un baril d'eau-de-vie pour les blessés. Nous n'avons pas eu de blessés, mais le niveau du baril n'arrêtait pas de baisser. C'est pour cela qu'on a demandé un planton pour garder la porte. - Et maintenant, ça va ? - Oh maintenant, il y a longtemps que le baril est vide !» Biographie de l'auteur Martine Veillet, journaliste free lance, a consacré cinq années d'enquête à la réalisation de ce livre, pour décrypter la voix de son grand-père, identifier les témoins et vérifier les faits et anecdotes racontés. " (...) un des ouvrages les plus éclairants sur ce que fut la vie des combattants. " Le Figaro
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