Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Trésors de la vie

Broché - Univers Poche - 553 pages - Publication: 21 février 2008

Collectif (Auteur)

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Rien, jamais, ne sera trop beau pour eux. Connie et son frère Eddy en ont fait le serment... À la mort de leur mère, ils quittent leur petite ville de l'Amérique profonde et leur soeur aînée Lara, pour partir à la conquête du monde. Connie se rend au Texas, où elle rencontre son futur mari. Eddy s'installe à New York, où ses brillants talents de financier lui ouvrent toutes les portes. Les deux jeunes gens entreprennent leur irrésistible ascension vers l'univers de luxe et de raffinement dont ils ont tant rêvé. Mais un jour, ils vont être rattrapés par leurs origines qu'ils ont presque oubliées et l'heure du choix va sonner : le faste de la grande vie ou la sérénité familiale ? Tous les grands succès de Belva Plain sont chez Pocket Extrait Les deux inspecteurs de police venus procéder à une arrestation garèrent leur voiture noire banalisée, s'en extirpèrent et levèrent la tête en direction du toit de style postmoderne coiffant une tour de soixante-dix étages. Des nuages sombres pesaient sur la ville et les premières gouttes de pluie se mirent à tomber comme les deux hommes atteignaient les portes de bronze qui donnaient sur l'avenue. Le plus jeune, qui semblait imperceptiblement hésiter, marchait sur les talons de l'autre. Ils traversèrent le hall pavé de marbre pour atteindre l'enfilade d'ascenseurs. Ce n'était pas le genre de quartier où on les envoyait habituellement et leur mission du jour sortait de l'ordinaire. Le plus jeune était nerveux et se reprochait cette réaction si peu pro­fessionnelle. «D'une certaine façon, c'est bizarre de passer les menottes à ce type, dit-il. C'est sûrement le genre à porter un costume fait sur mesure. Tu vois ce que je veux dire ? Ce n'est pas un bandit armé. - On ne sait jamais comment les gens réagissent. Il est capable de perdre la tête et de se débattre. Ou même d'essayer de sauter par la fenêtre. Tu peux appuyer sur le bouton du quarante et unième étage.» L'ascenseur s'éleva silencieusement comme glissant sur du velours tandis que les voyants rouges s'allu­maient pour indiquer les étages. «Ça sent le fric, tu ne trouves pas, Jim ? fit le plus jeune. - C'est sûr. Et pas qu'un peu. - Je me demande ce que ce type a fait. Je veux dire de quoi il est vraiment coupable. - Dieu seul le sait. Il faudrait être un de ces avo­cats des grands quartiers pour y comprendre quelque chose. Pas la peine de se casser la tête. - C'est plutôt triste, non ? Se faire embarquer dans un endroit comme celui-ci. - C'est toujours triste, où que ce soit. C'est jamais marrant de faire ça, dit Jim d'un air sérieux. Mais c'est le boulot, Harry. On finit par s'habituer.» La porte s'ouvrit et ils s'avancèrent vers un grand mur de verre percé de nombreuses portes, elles aussi en verre. «C'est où, Jim ? C'est laquelle ? - Il possède tout l'étage. En fait, c'est deux étages qu'il a. Je vais le trouver, ne t'inquiète pas», fit Jim en souriant. Les réceptionnistes sont toujours jolies, se dit Harry et tandis que son confrère s'entretenait avec l'une d'elles, il examina les lieux. Il n'avait aucune idée de ce qu'est la richesse, il en était conscient, mais lorsqu'il aperçut, le temps d'un éclair à la faveur d'une porte qui s'ouvrit et se referma, la moquette gris sombre d'un corridor aux murs couverts de tableaux, il sut que c'était cela, la vraie richesse. Criards étaient les ors et cher le silence. Il lui sembla avoir lu cette phrase quelque part. Il pensait... dans l'une de ces pièces, peut-être celle au bout du corridor, un homme va avoir un sale coup. Dans une minute ou deux. Un très sale coup. La réceptionniste avait dû téléphoner car une femme venait d'entrer précipitamment. C'était une dame d'un certain âge, aux cheveux gris, à l'air tatillon et elle semblait paniquée. «Que se passe-t-il ? des inspecteurs de police ?» cria-t-elle en s'adressant à Jim. Il lui montra son insigne et Harry fit de même. Les yeux de la femme, démesurés derrière ses verres de myope, s'empl
Détails du livre
Auteur

Trésors de la vie

Broché - Univers Poche - 553 pages - Publication: 21 février 2008

Collectif (Auteur)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Rien, jamais, ne sera trop beau pour eux. Connie et son frère Eddy en ont fait le serment... À la mort de leur mère, ils quittent leur petite ville de l'Amérique profonde et leur soeur aînée Lara, pour partir à la conquête du monde. Connie se rend au Texas, où elle rencontre son futur mari. Eddy s'installe à New York, où ses brillants talents de financier lui ouvrent toutes les portes. Les deux jeunes gens entreprennent leur irrésistible ascension vers l'univers de luxe et de raffinement dont ils ont tant rêvé. Mais un jour, ils vont être rattrapés par leurs origines qu'ils ont presque oubliées et l'heure du choix va sonner : le faste de la grande vie ou la sérénité familiale ? Tous les grands succès de Belva Plain sont chez Pocket Extrait Les deux inspecteurs de police venus procéder à une arrestation garèrent leur voiture noire banalisée, s'en extirpèrent et levèrent la tête en direction du toit de style postmoderne coiffant une tour de soixante-dix étages. Des nuages sombres pesaient sur la ville et les premières gouttes de pluie se mirent à tomber comme les deux hommes atteignaient les portes de bronze qui donnaient sur l'avenue. Le plus jeune, qui semblait imperceptiblement hésiter, marchait sur les talons de l'autre. Ils traversèrent le hall pavé de marbre pour atteindre l'enfilade d'ascenseurs. Ce n'était pas le genre de quartier où on les envoyait habituellement et leur mission du jour sortait de l'ordinaire. Le plus jeune était nerveux et se reprochait cette réaction si peu pro­fessionnelle. «D'une certaine façon, c'est bizarre de passer les menottes à ce type, dit-il. C'est sûrement le genre à porter un costume fait sur mesure. Tu vois ce que je veux dire ? Ce n'est pas un bandit armé. - On ne sait jamais comment les gens réagissent. Il est capable de perdre la tête et de se débattre. Ou même d'essayer de sauter par la fenêtre. Tu peux appuyer sur le bouton du quarante et unième étage.» L'ascenseur s'éleva silencieusement comme glissant sur du velours tandis que les voyants rouges s'allu­maient pour indiquer les étages. «Ça sent le fric, tu ne trouves pas, Jim ? fit le plus jeune. - C'est sûr. Et pas qu'un peu. - Je me demande ce que ce type a fait. Je veux dire de quoi il est vraiment coupable. - Dieu seul le sait. Il faudrait être un de ces avo­cats des grands quartiers pour y comprendre quelque chose. Pas la peine de se casser la tête. - C'est plutôt triste, non ? Se faire embarquer dans un endroit comme celui-ci. - C'est toujours triste, où que ce soit. C'est jamais marrant de faire ça, dit Jim d'un air sérieux. Mais c'est le boulot, Harry. On finit par s'habituer.» La porte s'ouvrit et ils s'avancèrent vers un grand mur de verre percé de nombreuses portes, elles aussi en verre. «C'est où, Jim ? C'est laquelle ? - Il possède tout l'étage. En fait, c'est deux étages qu'il a. Je vais le trouver, ne t'inquiète pas», fit Jim en souriant. Les réceptionnistes sont toujours jolies, se dit Harry et tandis que son confrère s'entretenait avec l'une d'elles, il examina les lieux. Il n'avait aucune idée de ce qu'est la richesse, il en était conscient, mais lorsqu'il aperçut, le temps d'un éclair à la faveur d'une porte qui s'ouvrit et se referma, la moquette gris sombre d'un corridor aux murs couverts de tableaux, il sut que c'était cela, la vraie richesse. Criards étaient les ors et cher le silence. Il lui sembla avoir lu cette phrase quelque part. Il pensait... dans l'une de ces pièces, peut-être celle au bout du corridor, un homme va avoir un sale coup. Dans une minute ou deux. Un très sale coup. La réceptionniste avait dû téléphoner car une femme venait d'entrer précipitamment. C'était une dame d'un certain âge, aux cheveux gris, à l'air tatillon et elle semblait paniquée. «Que se passe-t-il ? des inspecteurs de police ?» cria-t-elle en s'adressant à Jim. Il lui montra son insigne et Harry fit de même. Les yeux de la femme, démesurés derrière ses verres de myope, s'empl
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