Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

La lune de papier

Broché - Univers Poche - 228 pages - Publication: 10 janvier 2008

Camilleri, Andrea (Auteur), Quadruppani, Serge (Traduction)

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Quand il était minot, son père lui avait raconté que la lune dans le ciel était en papier. Et lui, qui avait toujours confiance en ce que disait son père, il y avait cru. Et maintenant, homme mûr, il avait nouvellement crû comme un minot à deux femmes qui lui avaient raconté que la lune était en papier.Le commissaire Montalbano s'interroge sur sa propre vieillesse et apprend à vivre avec l'obsession de la mort, lorsqu'une nouvelle affaire le conduit tout droit dans les eaux putrides de la passion...Angelo Pardo est retrouvé mort sur la terrasse de son palais d'époque, de la banlieue de Vigàta, dans une tenue compromettante et le visage défiguré par un projectile. Mais son passé sordide en fait une victime qui est loin d'être innocente, et pour résoudre cette affaire, Montalbano devra jouer fin. Car les deux femmes troublantes qui partageaient la vie d'Angelo s'appliquent consciencieusement à brouiller les pistes du commissaire... Avec La lune de papier, Camilleri montre un nouveau visage du "commissiare préféré des Italiens" en plein règlement de comptes avec ses passions et ses peurs les plus intimes. Et toujours les scènes de plaisirs gastronomiques, les références mordantes à la politique italienne, et cette langue, truculente... Extrait Le réveil sonna, comme tous les matins depuis un an, à sept heures et demie. Mais lui, il s'était aréveillé une fraction de seconde avant l'alarme, il lui avait assuffi du déclic du ressort qui mettait en mouvement la sonnerie. Il eut donc, avant de sauter du lit, le temps de tourner les yeux vers la fenêtre; d'après la lumière, il comprit que la journée s'annonçait bonne, sans nuages. Après, il eut tout juste le temps de se préparer le café, de se boire une cafetière, d'aller faire ses besoins, de se faire la barbe et de se prendre la douche, de se boire une autre cafetière, de s'allumer une cigarette, s'habiller, sortir, démarrer la voiture, arriver à neuf heures au commissariat : le tout avec la rapidité d'un film comique de Larry Semon ou de Chariot. Jusqu'à voilà un an, la procédure du réveil matutinal avait en fait suivi des règles différentes et, surtout, sans hâte et sans décarrade de coureur de cent mètres. D'abord, pas d'utilisation du réveil. Montalbano avait l'habitude après le sommeil d'ouvrir l'oeil de manière naturelle, sans qu'il soit besoin de stimulus externes : il y avait bien une espèce de réveil, mais il était en dedans de lui, caché certainement dans sa coucourde, il lui suffisait de pointer sur lui avant de s'endormir : Rappelle-toi que demain tu dois t'aréveiller à six heures, et à six heures pétantes, il s'aretrouvait les yeux ouverts. Il avait toujours considéré le réveil, l'objet de métal, pratiquement comme un instrument de torture : les trois ou quatre fois qu'il avait dû s'aréveiller avec ce bruit de foreuse parce que Livia, qui devait partir, ne s'était pas fiée à son réveil intérieur, il était resté toute la journée avec le mal de tête. Alors, Livia, après une engueulade, avait acheté un réveil de plastique qui, au lieu de sonner, faisait un bruit électronique, une espèce de biiiiiiip qui ne finissait jamais, comme le ronflement d'un moustique coincé dedans l'oreille et resté prisonnier. Un truc à devenir dingue. Il l'avait balancé par la fenêtre, déclenchant une bagarre mémorable. Ensuite, il s'autoréveillait, volontairement, avec une certaine avance, au grand minimum une dizaine de minutes. Ah, qu'il était bon de rester recroquevillé sous le drap à pinser des conneries ! Ce livre dont tout le monde disait que c'était un chef-d'oeuvre, je me l'achète ou pas ? Aujourd'hui je vais manger à la trattoria ou je reviens à Marinella et je me bâfre ce que m'a priparé Adelina ? Je le lui dis ou je le lui dis pas, à Livia, que la paire de chaussures qu'elle m'a offertes, je peux pas me les mettre passqu'elles sont serrées ? Voilà, des trucs comme ça. Des tambasiate, des pertes de temps volontaires, en pensée. Mais en évitant soigneu
Détails du livre
Auteur

La lune de papier

Broché - Univers Poche - 228 pages - Publication: 10 janvier 2008

Camilleri, Andrea (Auteur), Quadruppani, Serge (Traduction)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Quand il était minot, son père lui avait raconté que la lune dans le ciel était en papier. Et lui, qui avait toujours confiance en ce que disait son père, il y avait cru. Et maintenant, homme mûr, il avait nouvellement crû comme un minot à deux femmes qui lui avaient raconté que la lune était en papier.Le commissaire Montalbano s'interroge sur sa propre vieillesse et apprend à vivre avec l'obsession de la mort, lorsqu'une nouvelle affaire le conduit tout droit dans les eaux putrides de la passion...Angelo Pardo est retrouvé mort sur la terrasse de son palais d'époque, de la banlieue de Vigàta, dans une tenue compromettante et le visage défiguré par un projectile. Mais son passé sordide en fait une victime qui est loin d'être innocente, et pour résoudre cette affaire, Montalbano devra jouer fin. Car les deux femmes troublantes qui partageaient la vie d'Angelo s'appliquent consciencieusement à brouiller les pistes du commissaire... Avec La lune de papier, Camilleri montre un nouveau visage du "commissiare préféré des Italiens" en plein règlement de comptes avec ses passions et ses peurs les plus intimes. Et toujours les scènes de plaisirs gastronomiques, les références mordantes à la politique italienne, et cette langue, truculente... Extrait Le réveil sonna, comme tous les matins depuis un an, à sept heures et demie. Mais lui, il s'était aréveillé une fraction de seconde avant l'alarme, il lui avait assuffi du déclic du ressort qui mettait en mouvement la sonnerie. Il eut donc, avant de sauter du lit, le temps de tourner les yeux vers la fenêtre; d'après la lumière, il comprit que la journée s'annonçait bonne, sans nuages. Après, il eut tout juste le temps de se préparer le café, de se boire une cafetière, d'aller faire ses besoins, de se faire la barbe et de se prendre la douche, de se boire une autre cafetière, de s'allumer une cigarette, s'habiller, sortir, démarrer la voiture, arriver à neuf heures au commissariat : le tout avec la rapidité d'un film comique de Larry Semon ou de Chariot. Jusqu'à voilà un an, la procédure du réveil matutinal avait en fait suivi des règles différentes et, surtout, sans hâte et sans décarrade de coureur de cent mètres. D'abord, pas d'utilisation du réveil. Montalbano avait l'habitude après le sommeil d'ouvrir l'oeil de manière naturelle, sans qu'il soit besoin de stimulus externes : il y avait bien une espèce de réveil, mais il était en dedans de lui, caché certainement dans sa coucourde, il lui suffisait de pointer sur lui avant de s'endormir : Rappelle-toi que demain tu dois t'aréveiller à six heures, et à six heures pétantes, il s'aretrouvait les yeux ouverts. Il avait toujours considéré le réveil, l'objet de métal, pratiquement comme un instrument de torture : les trois ou quatre fois qu'il avait dû s'aréveiller avec ce bruit de foreuse parce que Livia, qui devait partir, ne s'était pas fiée à son réveil intérieur, il était resté toute la journée avec le mal de tête. Alors, Livia, après une engueulade, avait acheté un réveil de plastique qui, au lieu de sonner, faisait un bruit électronique, une espèce de biiiiiiip qui ne finissait jamais, comme le ronflement d'un moustique coincé dedans l'oreille et resté prisonnier. Un truc à devenir dingue. Il l'avait balancé par la fenêtre, déclenchant une bagarre mémorable. Ensuite, il s'autoréveillait, volontairement, avec une certaine avance, au grand minimum une dizaine de minutes. Ah, qu'il était bon de rester recroquevillé sous le drap à pinser des conneries ! Ce livre dont tout le monde disait que c'était un chef-d'oeuvre, je me l'achète ou pas ? Aujourd'hui je vais manger à la trattoria ou je reviens à Marinella et je me bâfre ce que m'a priparé Adelina ? Je le lui dis ou je le lui dis pas, à Livia, que la paire de chaussures qu'elle m'a offertes, je peux pas me les mettre passqu'elles sont serrées ? Voilà, des trucs comme ça. Des tambasiate, des pertes de temps volontaires, en pensée. Mais en évitant soigneu
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