Fiche technique
- Titre : Les débuts gossip girl : Nous étions faits pour nous entendre
- Auteur : VON ZIEGESAR, Cecily
- Langue : Français
- Format : Broché
- Nombre de pages : 448
- Genre : CHICK LIT
- Date de publication : 10-01-2008
- Édition : Fleuve éditions
- Poids : 0.39 kg
- Dimensions : 13.1 x 3 x 19.1 cm
- ISBN-10 : 2265085790
- ISBN-13 : 9782265085794
Résumé
Bienvenue à New York, dans l'Upper East Side, où mes amis et moi vivons dans d'immenses et fabuleux appartements, où nous fréquentons les écoles privées les plus sélectes. Nous ne sommes pas toujours des modèles d'amabilité, mais nous avons le physique et la classe, ça compense. Tout a commencé avec trois inséparables ados de quinze ans, parfaitement innocents et sublimissimes : Serena, Olivia et Nate. À l'époque, Olivia craque pour les yeux verts de Nate mais, évidemment, c'est pour Serena, la meilleure amie d'Olivia, que Nate a le béguin. Laquelle Serena, de son côté, fait de vilaines cachotteries aux deux autres... Dès le départ, ces soi-disant meilleurs amis n'étaient pas aussi proches qu'ils en avaient l'air !Si quelqu'un peut aujourd'hui raconter leur histoire, c'est moi et personne d'autre car j'étais sur les lieux du crime, et, c'est votre jour de chance, je suis incapable de tenir ma langue. Alors asseyez-vous bien confortablement pendant que je dévoile le passé et révèle les secrets de chacun !Je sais ABSOLUMENT tout et surtout, ce que j'ignore, je me ferai un plaisir de l'inventer - de toutes pièces...ExtraitLes meilleures histoires commencent avec un garçon et deux filles - Pouce ! hurla Serena van der Woodsen alors que Nate Archibald lui faisait un body-check dans une congère poudreuse de près d'un mètre de haut. La neige fondait dans ses oreilles et sur son pantalon. Nate plongea sur elle, de tout son mètre quatre-vingts d'adolescent parfait aux cheveux châtain doré et aux yeux verts étincelants. Il sentait Downy et le savon Kiehl's au bois de santal dont la bonne approvisionnait la salle de bains. Serena resta allongée, immobile, essayant de respirer en dépit de tout le poids de Nate sur elle. «J'ai froid aux cheveux !» l'implora-t-elle en prenant une bouchée des boucles divines de Nate trempées de neige. Le jeune homme soupira, la mort dans l'âme, comme s'il avait passé toute la matinée de février dans le jardin transformé en chambre froide de sa maison de Manhattan, sur la 82e Rue, juste derrière Parle Avenue. Il roula sur le dos et se trémoussa comme Guppy, le golden retriever de Serena mort depuis longtemps, quand elle le lâchait sur la pelouse verte du Great Lawn de Central Park. Puis il se releva et épousseta maladroitement le fond de son treillis Brooks Brothers impeccablement repassé. C'était samedi, mais il portait les mêmes vêtements que ceux qu'il mettait tous les jours de la semaine en seconde à St Jude's, l'école de garçons sur East End Avenue. C'était l'uniforme non officiel de Prince de l'Upper East Side, celui que ses camarades de classe et lui-même portaient depuis qu'ils étaient rentrés à la maternelle ensemble à Park Avenue Presbyterian. Nate tendit la main pour aider Serena à se relever. Elle le regarda avec circonspection en fronçant les sourcils, craignant qu'il ne se moque d'elle et ne la plaque de nouveau au sol. - J'ai vraiment froid, ajouta-t-elle. Il lui fit un geste de la main, impatient. - Je sais, viens. Elle s'ébroua, feignit de se curer le nez et de s'essuyer sur son jean Earl en denim foncé trempé de neige, puis lui tendit une main. - Merci mon vieux. (Elle se releva en chancelant.) Tu es un vrai pote. Nate la conduisit à l'intérieur. Le derrière de son pantalon était mouillé et elle vit la couture de son slip kangourou moulant. Ouh là là, comme c'était gay de sa part ! Il lui ouvrit la porte-fenêtre en verre et s'écarta pour la laisser passer. Serena ôta ses Ugg bleu pastel d'un coup et traîna ses pieds nus et ses ongles vernis de rose Piggy Bank de Urban Decay dans un long couloir en direction de la cuisine Italian Modem toute blanche et rarement utilisée. Le père de Nate était un ancien capitaine de la marine reconverti en banquier et sa mère, une Française de la haute. Ils n'étaient pratiquement jamais chez eux et quand ils y étaient, ils se rendaient à l'Opéra.
À propos de l'auteur
VON ZIEGESAR, Cecily
Cecily Von Ziegesar appartient sans contest
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