Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Le roi est mort

Broché - 10 X 18 - 382 pages - Publication: 06 septembre 2007

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Héros de la Deuxième Guerre mondiale, brillant conseiller du sénateur du Tennessee et heureux en ménage, Walter Selby menait une vie droite et sans histoires. Jusqu'au jour où tout a basculé. Un drame, la déchéance, et désormais, pour son fils, Frank, de terribles interrogations... Pourra-t-il un jour comprendre, admettre et même pardonner le crime de son père ? Mêlant avec virtuosité tragédie familiale et tableau de l'Amérique contemporaine, Le roi est mort est une puissante réflexion sur la nature et la force des liens filiaux. «Jim Lewis parvient à tout dire dans ce roman foisonnant : l'anecdotique et l'essentiel, l'intime et la marche du monde. Ajoutez à cela une écriture éblouissante et vous avez le roman le plus inconvenant et le plus intelligent qu'on puisse lire sur notre monde.» Christine Ferniot, Lire Né en 1963 à New York, Jim Lewis est critique d'art et journaliste. Il est l'auteur de trois romans : Sister, Quand on aime son bourreau (Balland, 2003) et Le roi est mort. Jim Lewis vit aujourd'hui au Texas. Extrait PRÉLUDE Il y eut un jour une femme qui s'appelait Kelly Flynn. Fille d'un banquier dublinois, elle naquit en Irlande en 1720 mais passa son enfance à Londres, où son père était parti solliciter un emprunt auprès du roi. Elle rencontra à la cour d'Angleterre un fourreur belge qui s'appelait DeLours et l'épousa. Ensemble ils eurent neuf enfants, dont six moururent, quatre de maladie et deux lors d'accidents. L'un des survivants, Henry (né en 1745), un garçon intrépide, abandonna ses études pour s'engager dans l'armée, où il fut nommé officier. L'Empire britannique, alors en pleine expansion dans le sous-continent indien, avait grand besoin d'hommes ingénieux. Henry DeLours était intelligent et courageux; il fut envoyé à Calcutta. Lors de son séjour, il rencontra Elizabeth, fille d'un officier anglais. Il l'épousa, et ils engendrèrent cinq enfants. L'une des filles, Mary (née en 1770) fut envoyée au pensionnat en Angleterre. Lors d'un voyage en Cornouailles, Mary fit la connaissance d'un homme plus âgé, un imprimeur du nom de Samuel Crown, qui conçut de l'admiration pour elle, lui fit la cour, et obtint bientôt sa main. Ils partirent pour Londres et eurent comme enfants, à un an d'intervalle, William, Théodore, Olivia et Georgia. Les garçons devaient reprendre le commerce de leur père mais dès qu'il fut en âge, Théodore (né en 1790), un garçon volontaire et aventurier, s'embarqua pour l'Amérique dans l'espoir d'y faire fortune. Il fut quelque temps clerc dans un office notarial à New York. Chaque soir, de retour dans sa petite chambre sombre, il écrivait à sa mère la foi qu'il avait en son avenir, mais aussi les obstacles qu'il rencontrait au quotidien : les dettes, le mépris de ses employeurs, l'angoisse qu'il éprouvait dans cette ville neuve et étrange. Néanmoins, grâce à son côté économe, il amassa bientôt une petite somme qui lui permit d'acquérir quelques acres dans le Kentucky. Il y planta du tabac, laboura, prospéra, et au bout de quelques années, il possédait près de trois cents acres et deux douzaines d'esclaves. À l'âge de trente ans, il était devenu assez important pour se présenter aux élections de juge local, et grâce à quelques tonneaux de whisky livrés par ses soins dans les tavernes la veille du scrutin, il fut élu. C'était alors l'année 1820, et le juge Crown n'avait pas d'épouse. Il se rabattit donc sur une femme noire, une esclave du nom de Betsey, qui travaillait chez lui. Il la faisait venir presque chaque soir dans son lit -Apollon ne me pardonnera peut-être pas, mais Pan certainement, écrivit-il dans son Journal - et elle mit bientôt un enfant au monde, un garçon à la peau marron clair nommé Marcus (né en 1821). Durant l'enfance de Marcus, sa mère lui raconta que son père était esclave dans une maison voisine, mais à l'époque déjà, le garçon avait eu vent de la rumeur disant qu'il était issu de son maître. La cuisinière ricanait à
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Le roi est mort

Broché - 10 X 18 - 382 pages - Publication: 06 septembre 2007

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Héros de la Deuxième Guerre mondiale, brillant conseiller du sénateur du Tennessee et heureux en ménage, Walter Selby menait une vie droite et sans histoires. Jusqu'au jour où tout a basculé. Un drame, la déchéance, et désormais, pour son fils, Frank, de terribles interrogations... Pourra-t-il un jour comprendre, admettre et même pardonner le crime de son père ? Mêlant avec virtuosité tragédie familiale et tableau de l'Amérique contemporaine, Le roi est mort est une puissante réflexion sur la nature et la force des liens filiaux. «Jim Lewis parvient à tout dire dans ce roman foisonnant : l'anecdotique et l'essentiel, l'intime et la marche du monde. Ajoutez à cela une écriture éblouissante et vous avez le roman le plus inconvenant et le plus intelligent qu'on puisse lire sur notre monde.» Christine Ferniot, Lire Né en 1963 à New York, Jim Lewis est critique d'art et journaliste. Il est l'auteur de trois romans : Sister, Quand on aime son bourreau (Balland, 2003) et Le roi est mort. Jim Lewis vit aujourd'hui au Texas. Extrait PRÉLUDE Il y eut un jour une femme qui s'appelait Kelly Flynn. Fille d'un banquier dublinois, elle naquit en Irlande en 1720 mais passa son enfance à Londres, où son père était parti solliciter un emprunt auprès du roi. Elle rencontra à la cour d'Angleterre un fourreur belge qui s'appelait DeLours et l'épousa. Ensemble ils eurent neuf enfants, dont six moururent, quatre de maladie et deux lors d'accidents. L'un des survivants, Henry (né en 1745), un garçon intrépide, abandonna ses études pour s'engager dans l'armée, où il fut nommé officier. L'Empire britannique, alors en pleine expansion dans le sous-continent indien, avait grand besoin d'hommes ingénieux. Henry DeLours était intelligent et courageux; il fut envoyé à Calcutta. Lors de son séjour, il rencontra Elizabeth, fille d'un officier anglais. Il l'épousa, et ils engendrèrent cinq enfants. L'une des filles, Mary (née en 1770) fut envoyée au pensionnat en Angleterre. Lors d'un voyage en Cornouailles, Mary fit la connaissance d'un homme plus âgé, un imprimeur du nom de Samuel Crown, qui conçut de l'admiration pour elle, lui fit la cour, et obtint bientôt sa main. Ils partirent pour Londres et eurent comme enfants, à un an d'intervalle, William, Théodore, Olivia et Georgia. Les garçons devaient reprendre le commerce de leur père mais dès qu'il fut en âge, Théodore (né en 1790), un garçon volontaire et aventurier, s'embarqua pour l'Amérique dans l'espoir d'y faire fortune. Il fut quelque temps clerc dans un office notarial à New York. Chaque soir, de retour dans sa petite chambre sombre, il écrivait à sa mère la foi qu'il avait en son avenir, mais aussi les obstacles qu'il rencontrait au quotidien : les dettes, le mépris de ses employeurs, l'angoisse qu'il éprouvait dans cette ville neuve et étrange. Néanmoins, grâce à son côté économe, il amassa bientôt une petite somme qui lui permit d'acquérir quelques acres dans le Kentucky. Il y planta du tabac, laboura, prospéra, et au bout de quelques années, il possédait près de trois cents acres et deux douzaines d'esclaves. À l'âge de trente ans, il était devenu assez important pour se présenter aux élections de juge local, et grâce à quelques tonneaux de whisky livrés par ses soins dans les tavernes la veille du scrutin, il fut élu. C'était alors l'année 1820, et le juge Crown n'avait pas d'épouse. Il se rabattit donc sur une femme noire, une esclave du nom de Betsey, qui travaillait chez lui. Il la faisait venir presque chaque soir dans son lit -Apollon ne me pardonnera peut-être pas, mais Pan certainement, écrivit-il dans son Journal - et elle mit bientôt un enfant au monde, un garçon à la peau marron clair nommé Marcus (né en 1821). Durant l'enfance de Marcus, sa mère lui raconta que son père était esclave dans une maison voisine, mais à l'époque déjà, le garçon avait eu vent de la rumeur disant qu'il était issu de son maître. La cuisinière ricanait à
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