Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

De l'art de dire des conneries

Relié - Univers Poche - 80 pages - Publication: 07 septembre 2006

Frankfurt, Harry G. (Auteur), Sénécal, Didier (Traduction)

Le Pitch

Présentation de l'éditeur " L'un des traits les plus caractéristiques de notre culture est l'omniprésence du baratin. Chacun d'entre nous en est conscient – et y a sa part de responsabilité. Mais nous avons tendance à considérer cette situation comme naturelle. La plupart des gens ont confiance dans leur aptitude à repérer le baratin et à éviter d'en être dupes. Aussi ce phénomène soulève-t-il fort peu d'inquiétudes et n'a-t-il guère suscité d'études approfondies. Dès lors nous avons du mal à appréhender clairement ce qu'est le baratin, pourquoi il est aussi répandu et quelles fonctions il remplit. Il nous manque également une approche consciente de ce qu'il signifie pour nous. En d'autres termes, nous ne disposons d'aucune théorie. Je me propose donc d'engager un travail d'explication théorique du baratin, en suivant avant tout les démarches exploratoires de l'analyse philosophique. Je laisserai de côté les us et les abus rhétoriques du baratin. Mon objectif se résume à ébaucher une définition du baratin et à montrer en quoi il diffère de certaines notions voisines – autrement dit à décrire plus ou moins sommairement ses structures conceptuelles. "Harry G. Frankfurt Extrait Extrait de l'avant-propos de l'auteur à l'édition française : J'ai écrit cet essai en 1984 ou 1985. À l'époque, j'enseignais la philosophie à l'université de Yale et j'étais fellow du Whitney Humanities Center. L'appartenance à cette société savante m'amenait à rencontrer régulièrement les autres membres - issus de disciplines très variées - afin d'aborder des sujets présentant un intérêt commun. Chaque fellow devait fournir un échantillon de son travail lors d'une de ces séances de discussion. C'est pour m'acquitter de cette obligation que j'ai rédigé mon essai sur l'art de dire des conneries. Lorsque j'ai présenté mon texte, mes collègues l'ont considéré (conformément à mon attente) comme un travail sérieux d'analyse philosophique et sociale. Personne n'a semblé y voir une entreprise frivole ou humoristique. La seule réaction explicite dont je me souvienne est celle d'un fellow (physicien de son état) particulièrement sensible au fait que le corps professoral de Yale comptait alors dans ses rangs Jacques Derrida et plusieurs autres têtes de file du postmodernisme. Le fait que mon essai ait été écrit à Yale lui semblait fort approprié car, selon ses propres mots, «Yale, après tout, est la capitale mondiale du baratin». Certains passages situés à la fin du texte font référence aux idées postmodernes, mais je n'ai jamais eu l'intention d'attaquer le postmodernisme en partictilier. Je me suis simplement efforcé de comprendre ce que je voulais dire chaque fois que je manifestais mon opposition ou mon dédain à l'égard de quelque chose en le qualifiant de «conneries» - une réaction irréfléchie dont j'étais assez coutumier. J'étais donc mû par le désir philosophique classique, qui remonte au moins aux dialogues platoniciens, de clarifier certains concepts auxquels on a souvent recours pour décrire le comportement humain. Biographie de l'auteur Harry G. Frankfurt, spécialiste renommé de philosophie morale, est professeur émérite à l'université de Princeton. Il a publié, entre autres ouvrages, The Reasons of Love, Necessity, Volition, and Love et The Importance of What We Care About.
Détails du livre
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De l'art de dire des conneries

Relié - Univers Poche - 80 pages - Publication: 07 septembre 2006

Frankfurt, Harry G. (Auteur), Sénécal, Didier (Traduction)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur " L'un des traits les plus caractéristiques de notre culture est l'omniprésence du baratin. Chacun d'entre nous en est conscient – et y a sa part de responsabilité. Mais nous avons tendance à considérer cette situation comme naturelle. La plupart des gens ont confiance dans leur aptitude à repérer le baratin et à éviter d'en être dupes. Aussi ce phénomène soulève-t-il fort peu d'inquiétudes et n'a-t-il guère suscité d'études approfondies. Dès lors nous avons du mal à appréhender clairement ce qu'est le baratin, pourquoi il est aussi répandu et quelles fonctions il remplit. Il nous manque également une approche consciente de ce qu'il signifie pour nous. En d'autres termes, nous ne disposons d'aucune théorie. Je me propose donc d'engager un travail d'explication théorique du baratin, en suivant avant tout les démarches exploratoires de l'analyse philosophique. Je laisserai de côté les us et les abus rhétoriques du baratin. Mon objectif se résume à ébaucher une définition du baratin et à montrer en quoi il diffère de certaines notions voisines – autrement dit à décrire plus ou moins sommairement ses structures conceptuelles. "Harry G. Frankfurt Extrait Extrait de l'avant-propos de l'auteur à l'édition française : J'ai écrit cet essai en 1984 ou 1985. À l'époque, j'enseignais la philosophie à l'université de Yale et j'étais fellow du Whitney Humanities Center. L'appartenance à cette société savante m'amenait à rencontrer régulièrement les autres membres - issus de disciplines très variées - afin d'aborder des sujets présentant un intérêt commun. Chaque fellow devait fournir un échantillon de son travail lors d'une de ces séances de discussion. C'est pour m'acquitter de cette obligation que j'ai rédigé mon essai sur l'art de dire des conneries. Lorsque j'ai présenté mon texte, mes collègues l'ont considéré (conformément à mon attente) comme un travail sérieux d'analyse philosophique et sociale. Personne n'a semblé y voir une entreprise frivole ou humoristique. La seule réaction explicite dont je me souvienne est celle d'un fellow (physicien de son état) particulièrement sensible au fait que le corps professoral de Yale comptait alors dans ses rangs Jacques Derrida et plusieurs autres têtes de file du postmodernisme. Le fait que mon essai ait été écrit à Yale lui semblait fort approprié car, selon ses propres mots, «Yale, après tout, est la capitale mondiale du baratin». Certains passages situés à la fin du texte font référence aux idées postmodernes, mais je n'ai jamais eu l'intention d'attaquer le postmodernisme en partictilier. Je me suis simplement efforcé de comprendre ce que je voulais dire chaque fois que je manifestais mon opposition ou mon dédain à l'égard de quelque chose en le qualifiant de «conneries» - une réaction irréfléchie dont j'étais assez coutumier. J'étais donc mû par le désir philosophique classique, qui remonte au moins aux dialogues platoniciens, de clarifier certains concepts auxquels on a souvent recours pour décrire le comportement humain. Biographie de l'auteur Harry G. Frankfurt, spécialiste renommé de philosophie morale, est professeur émérite à l'université de Princeton. Il a publié, entre autres ouvrages, The Reasons of Love, Necessity, Volition, and Love et The Importance of What We Care About.
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