Fiche technique
- Titre : Comme une valse
- Auteur : Parker, Dorothy
- Langue : Français
- Format : Poche
- Nombre de pages : 283
- Genre : Romans étrangers
- Date de publication : 01-02-1992
- Édition : 10 X 18
- Poids : 0.155 kg
- Dimensions : 11 x 1.7 x 17.8 cm
- ISBN-10 : 2264017104
- ISBN-13 : 9782264017109
Résumé
Entre lassitude et neurasthénie, ironie et fausse douceur féminine, les nouvelles de Dorothy Parker narre avec causticité des tranches de vie quotidiennes. Un vrai régal." Je suis le seul être vivant réveillé pendant que le reste de l'humanité est en train de dormir ", constate la narratrice d'Heures blêmes, première nouvelle du livre. D'emblée, l'auteur donne le la : ses monologues et pas de deux oscillent entre ivresse et neurasthénie. Belle, célèbre, puis oubliée, Dorothy Parker (1893-1967) n'ignore rien des "petites ironies de la vie". En quatre, dix pages ou quelques mots, ses personnages deviennent plus réels que votre voisine de palier ; on n'est pas près d'oublier Madge et Annabel, qui jouent à "et si un millionnaire nous léguait un million de dollars ?", ni Lolita, morne fille d'une mère survoltée, que Miss Parker décrit ainsi : " À chaque fois que Madame Ewing entrait quelque part, toute tranquillité paraissait déserter la pièce. "Quatrième de couverture" Je suis le seul être vivant réveillé pendant que le reste de l'humanité est en train de dormir ", constate la narratrice d'Heures blêmes, première nouvelle du livre. D'emblée, l'auteur donne le la : ses monologues et pas de deux oscillent entre ivresse et neurasthénie. Belle, célèbre, puis oubliée, Dorothy Parker (1893-1967) n'ignore rien des " petites ironies de la vie ". En quatre, dix pages ou quelques mots, ses personnages deviennent plus réels que votre voisine de palier ; on n'est pas près d'oublier Madge et Annabel, qui jouent à " et si un millionnaire nous léguait un million de dollars ? ", ni Lolita, morne fille d'une mère survoltée, que miss Parker décrit ainsi : " A chaque fois que Madame Ewing entrait quelque part, toute tranquillité paraissait déserter la pièce. "
Quatrième de couverture
" Je suis le seul être vivant réveillé pendant que le reste de l'humanité est en train de dormir ", constate la narratrice d'Heures blêmes, première nouvelle du livre. D'emblée, l'auteur donne le la : ses monologues et pas de deux oscillent entre ivresse et neurasthénie. Belle, célèbre, puis oubliée, Dorothy Parker (1893-1967) n'ignore rien des " petites ironies de la vie ". En quatre, dix pages ou quelques mots, ses personnages deviennent plus réels que votre voisine de palier ; on n'est pas près d'oublier Madge et Annabel, qui jouent à " et si un millionnaire nous léguait un million de dollars ? ", ni Lolita, morne fille d'une mère survoltée, que miss Parker décrit ainsi : " A chaque fois que Madame Ewing entrait quelque part, toute tranquillité paraissait déserter la pièce. "Biographie de l'auteurDorothy Parker est née à West End dans le New Jersey en 1893. Journaliste, elle collabore à Vogue, Vanity Fair, au New Yorker ou à Esquire. Proche de Scott Fitzgerald, Robert Benchley, Dashiell Hammett et des Marx Brothers, connue pour son humour corrosif et ses bons mots – ses amis la surnomment The Wit : l'esprit –, elle écrit comme elle boit, sec, et fréquente chaque jour la célèbre Table Ronde de l'hôtel Algonquin où se réunissent les esprits les plus brillants de cette époque. Auteur de poèmes, de recueils de nouvelles, de pièces de théâtre, elle écrit également des scénarios pour Hollywood, dont Une étoile est née, pour lequel elle obtient l'Oscar du meilleur scénario. Inquiétée dans les années 50 en raison de ses sympathies communistes, puis finalement jugée inoffensive, elle reprend sa chronique satirique au New Yorker. Elle succombe à une crise cardiaque à New York en 1967, en léguant ses biens au mouvement du pasteur Martin Luther King.
À propos de l'auteur
Parker, Dorothy
Dorothy Parker est née à West End dans le New Jersey en 1893. Journaliste, elle collabore à Vogue, Vanity Fair, au New Yorker ou à Esquire. Proche de Scott Fitzgerald, Robert Benchley, Dashiell Hammett et des Marx Brothers, connue pour son humour corrosif et ses bons mots – ses amis la surnomment The Wit : l'esprit –, elle écrit comme elle boit, sec, et fréquente chaque jour la célèbre Table Ronde de l'hôtel Algonquin où se réunissent les esprits les plus brillants de cette époque. Auteur de poèmes, de recueils de nouvelles, de pièces de théâtre, elle écrit également des scénarios pour Hollywood, dont Une étoile est née, pour lequel elle obtient l'Oscar du meilleur scénario. Inquiétée dans les années 50 en raison de ses sympathies communistes, puis finalement jugée inoffensive, elle reprend sa chronique satirique au New Yorker. Elle succombe à une crise cardiaque à New York en 1967, en léguant ses biens au mouvement du pasteur Martin Luther King.
Vous souhaitez vendre ce livre ?
C'est simple et rapide, il vous suffit de scanner le code-barres. Cette référence a été scannée 6 fois avec notre app par notre communauté de vendeurs, rejoignez le mouvement en cliquant ici.