Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Joachim et Caroline Murat

Relié - Librairie Académique Perrin - 383 pages - Publication: 01 septembre 1996

Le Pitch

Présentation de l'éditeur C'est en 1800, à trente-trois ans, que Joachim Murat, douzième enfant d'une modeste famille de la Bastide-Fortunière (près de Cahors), épousa Caroline, dix-huit ans, la plus jeune sœur de Bonaparte. Sans son intervention musclée, le coup d'Etat de Brumaire, où Napoléon jouait son avenir, aurait probablement échoué. Michel Lacour-Gayet, avec rigueur et minutie, raconte, à partir de sources nombreuses et les plus sûres, la trajectoire ambitieuse, fastueuse et finalement tragique du plus brillant cavalier de l'Empereur, et de son épouse, une jeune femme intelligente et artiste, dont les écarts amoureux - qu'ils soient dus à la passion ou simplement à l'intérêt - ne mirent jamais à mal le profond attachement qu'elle portait à son mari. Maréchal et prince d'Empire en 1804, grand-duc de Berg en 1806, Murat, comme Caroline, aspirait à des positions encore plus prestigieuses. Ambitionnant le trône de Pologne, puis celui d'Espagne, ils durent "se contenter " de celui de Naples. Mais Murat se voulait roi à part entière et non simple vassal de l'Empire : c'était répondre à l'aspiration profonde des Napolitains, mais aller à l'encontre des vues de Napoléon. Ces conflits d'intérêt n'empêchèrent pas Murat de rejoindre l'Empereur pour commander sa cavalerie avec un incomparable brio au cours des campagnes de 1812 et 1813, tandis que Caroline, à Naples, assurait la régence. Quand les revers militaires vinrent confirmer que l'ambition de Napoléon était allée trop loin, Murat le supplia de répondre aux offres des Puissances coalisées qui auraient permis de sauver l'essentiel. Jamais Napoléon ne répondit à ces appels. Murat et Caroline cherchèrent alors à sauver leur royaume. Un revirement de dernière minute, lors des Cent Jours, rejeta Murat dans le camp de l'Empereur mais il était trop tard. Son ambition de réaliser l'unité italienne était elle-même prématurée. La fin de Murat est pathétique. Réfugié en Provence, puis en Corse, il tenta l'impossible reconquête de son merveilleux Naples. Le roi Bourbon, rétabli sur son trône, le fit fusiller. Caroline lui survivra une quinzaine d'années sous le nom de comtesse de Lipona. Louis-Philippe, roi des Français, saura reconnaître ses mérites. Biographie de l'auteur Michel Lacour-Gayet, licencié en histoire, diplômé de sciences-Po, déporté à Buchenwald avant de faire une grande carrière industrielle, a écrit une très intéressante biographie de Marie Caroline de Naples, une adversaire de Napoléon (Tallandier, 1990), dont les Murat sont une suite logique.
Détails du livre

Joachim et Caroline Murat

Relié - Librairie Académique Perrin - 383 pages - Publication: 01 septembre 1996

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur C'est en 1800, à trente-trois ans, que Joachim Murat, douzième enfant d'une modeste famille de la Bastide-Fortunière (près de Cahors), épousa Caroline, dix-huit ans, la plus jeune sœur de Bonaparte. Sans son intervention musclée, le coup d'Etat de Brumaire, où Napoléon jouait son avenir, aurait probablement échoué. Michel Lacour-Gayet, avec rigueur et minutie, raconte, à partir de sources nombreuses et les plus sûres, la trajectoire ambitieuse, fastueuse et finalement tragique du plus brillant cavalier de l'Empereur, et de son épouse, une jeune femme intelligente et artiste, dont les écarts amoureux - qu'ils soient dus à la passion ou simplement à l'intérêt - ne mirent jamais à mal le profond attachement qu'elle portait à son mari. Maréchal et prince d'Empire en 1804, grand-duc de Berg en 1806, Murat, comme Caroline, aspirait à des positions encore plus prestigieuses. Ambitionnant le trône de Pologne, puis celui d'Espagne, ils durent "se contenter " de celui de Naples. Mais Murat se voulait roi à part entière et non simple vassal de l'Empire : c'était répondre à l'aspiration profonde des Napolitains, mais aller à l'encontre des vues de Napoléon. Ces conflits d'intérêt n'empêchèrent pas Murat de rejoindre l'Empereur pour commander sa cavalerie avec un incomparable brio au cours des campagnes de 1812 et 1813, tandis que Caroline, à Naples, assurait la régence. Quand les revers militaires vinrent confirmer que l'ambition de Napoléon était allée trop loin, Murat le supplia de répondre aux offres des Puissances coalisées qui auraient permis de sauver l'essentiel. Jamais Napoléon ne répondit à ces appels. Murat et Caroline cherchèrent alors à sauver leur royaume. Un revirement de dernière minute, lors des Cent Jours, rejeta Murat dans le camp de l'Empereur mais il était trop tard. Son ambition de réaliser l'unité italienne était elle-même prématurée. La fin de Murat est pathétique. Réfugié en Provence, puis en Corse, il tenta l'impossible reconquête de son merveilleux Naples. Le roi Bourbon, rétabli sur son trône, le fit fusiller. Caroline lui survivra une quinzaine d'années sous le nom de comtesse de Lipona. Louis-Philippe, roi des Français, saura reconnaître ses mérites. Biographie de l'auteur Michel Lacour-Gayet, licencié en histoire, diplômé de sciences-Po, déporté à Buchenwald avant de faire une grande carrière industrielle, a écrit une très intéressante biographie de Marie Caroline de Naples, une adversaire de Napoléon (Tallandier, 1990), dont les Murat sont une suite logique.
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