Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Le discours d'un roi

Broché - Place des éditeurs - 320 pages - Publication: 01 juin 2011

Logue, Mark (Auteur), Borello, Suzy (Traduction), Clarinard, Raymond (Traduction), Lee, Caroline (Traduction)

Audience
Adulte - Grand Public

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Témoignage historique éclairant et unique, basé sur les journaux personnels de Lionel Logue, voici l'histoire de l'homme qui sauva la monarchie britannique. Dans les premières décennies du XXe siècle, la famille royale britannique fut sauvée par un homme. Ce n'était ni le Premier Ministre ni l'archevêque de Canterbury. Illustre inconnu, Lionel Logue était un orthophoniste autodidacte. Il n'était ni un aristocrate, ni même un véritable Anglais, c'était un roturier d'origine australienne. Pourtant, c'est bien lui qui transforma le nerveux et bègue duc d'York en l'un des plus grands rois qu'ait connu l'Angleterre. Voici l'histoire inédite de l'incroyable relation qui a uni Lionel Logue et le futur roi George VI, écrite avec la collaboration de son petit-fils et nourrie de documents familiaux exclusifs : les archives et journaux privés de Lionel Logue et sa correspondance avec le roi. Au-delà des secrets de cette relation entre les deux hommes, on y découvre le rôle essentiel de la femme du roi, future reine mère, qui sut rapprocher l'orthophoniste de son mari et sauver ainsi sa réputation et son règne. Le discours d'un roi est une plongée étonnante au cœur d'un monde extrêmement secret. Jamais auparavant portrait aussi personnel de la monarchie britannique n'avait été brossé, moins encore à travers les yeux d'un roturier australien fier de servir, et de sauver, son roi. Extrait Extrait de l'introduction J'ai passé une grande partie de ma jeunesse, dans les années soixante-dix et quatre-vingt, en Belgique, où mon père, Antony, travaillait comme juriste au siège européen de Procter & Gamble. Au fil des ans, nous avons occupé différents logements en banlieue de Bruxelles, mais une chose ne changeait jamais : où que nous fussions, une série de photographies et de souvenirs finissait installée sur le manteau d'une cheminée ou le rebord d'une fenêtre. On y trouvait entre autres une photographie de mon père en uniforme des Scots Guards ; une autre de lui et de ma mère, Elizabeth, le jour de leur mariage en 1953, et un cliché de Lionel, mon grand-père paternel né en Australie, et de son épouse Myrtle. Mais aussi, ce qui me paraissait plus étrange, un portrait encadré du roi George VI, père de la reine actuelle, signé et daté du 12 mai 1937, date de son couronnement ; un autre de lui et de sa femme, Elizabeth, que ma génération a surtout connue comme la reine mère, et de leurs deux filles, la future reine Elizabeth, alors âgée de onze ans, et sa petite soeur, Margaret Rose ; et un troisième du couple royal, daté de 1928, quand ils n'étaient encore que le duc et la duchesse d'York, signé Elizabeth et Albert. On avait dû m'expliquer la raison de la présence de toutes ces photographies, mais quand j'étais petit, je n'étais que rarement très attentif. Je comprenais que Lionel était notre lien avec la royauté, mais pour moi, il était de l'histoire ancienne. Il était mort en 1953, douze ans avant ma naissance. Tout ce que je savais de mon grand-père, c'était qu'il avait été l'orthophoniste du roi - quoi que cela ait pu être - et je ne cherchais pas à en apprendre plus. Je ne posais jamais d'autres questions, pas plus que l'on ne me fournissait davantage d'informations. Je m'intéressais nettement plus à toutes les médailles et tous les boutons placés autour des photographies. J'adorais porter la ceinture et la casquette d'officier de mon père, et jouer à la guerre, les médailles fièrement épinglées sur ma chemise. Mais en grandissant, puis quand j'ai eu des enfants à mon tour, j'ai commencé à me demander qui avaient été mes ancêtres et d'où ils étaient venus. Ma curiosité fut encore attisée par l'intérêt croissant dont la généalogie s'était mise à faire l'objet. Étudiant l'arbre généalogique de la famille, j'ai découvert une arrière-grand-mère de Melbourne qui avait eu quatorze enfants, dont sept seulement avaient survécu au-delà de la petite enfance. J'appris également que mon arrière-arrière-grand-père av
Détails du livre
Auteur

Le discours d'un roi

Broché - Place des éditeurs - 320 pages - Publication: 01 juin 2011

Logue, Mark (Auteur), Borello, Suzy (Traduction), Clarinard, Raymond (Traduction), Lee, Caroline (Traduction)

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Témoignage historique éclairant et unique, basé sur les journaux personnels de Lionel Logue, voici l'histoire de l'homme qui sauva la monarchie britannique. Dans les premières décennies du XXe siècle, la famille royale britannique fut sauvée par un homme. Ce n'était ni le Premier Ministre ni l'archevêque de Canterbury. Illustre inconnu, Lionel Logue était un orthophoniste autodidacte. Il n'était ni un aristocrate, ni même un véritable Anglais, c'était un roturier d'origine australienne. Pourtant, c'est bien lui qui transforma le nerveux et bègue duc d'York en l'un des plus grands rois qu'ait connu l'Angleterre. Voici l'histoire inédite de l'incroyable relation qui a uni Lionel Logue et le futur roi George VI, écrite avec la collaboration de son petit-fils et nourrie de documents familiaux exclusifs : les archives et journaux privés de Lionel Logue et sa correspondance avec le roi. Au-delà des secrets de cette relation entre les deux hommes, on y découvre le rôle essentiel de la femme du roi, future reine mère, qui sut rapprocher l'orthophoniste de son mari et sauver ainsi sa réputation et son règne. Le discours d'un roi est une plongée étonnante au cœur d'un monde extrêmement secret. Jamais auparavant portrait aussi personnel de la monarchie britannique n'avait été brossé, moins encore à travers les yeux d'un roturier australien fier de servir, et de sauver, son roi. Extrait Extrait de l'introduction J'ai passé une grande partie de ma jeunesse, dans les années soixante-dix et quatre-vingt, en Belgique, où mon père, Antony, travaillait comme juriste au siège européen de Procter & Gamble. Au fil des ans, nous avons occupé différents logements en banlieue de Bruxelles, mais une chose ne changeait jamais : où que nous fussions, une série de photographies et de souvenirs finissait installée sur le manteau d'une cheminée ou le rebord d'une fenêtre. On y trouvait entre autres une photographie de mon père en uniforme des Scots Guards ; une autre de lui et de ma mère, Elizabeth, le jour de leur mariage en 1953, et un cliché de Lionel, mon grand-père paternel né en Australie, et de son épouse Myrtle. Mais aussi, ce qui me paraissait plus étrange, un portrait encadré du roi George VI, père de la reine actuelle, signé et daté du 12 mai 1937, date de son couronnement ; un autre de lui et de sa femme, Elizabeth, que ma génération a surtout connue comme la reine mère, et de leurs deux filles, la future reine Elizabeth, alors âgée de onze ans, et sa petite soeur, Margaret Rose ; et un troisième du couple royal, daté de 1928, quand ils n'étaient encore que le duc et la duchesse d'York, signé Elizabeth et Albert. On avait dû m'expliquer la raison de la présence de toutes ces photographies, mais quand j'étais petit, je n'étais que rarement très attentif. Je comprenais que Lionel était notre lien avec la royauté, mais pour moi, il était de l'histoire ancienne. Il était mort en 1953, douze ans avant ma naissance. Tout ce que je savais de mon grand-père, c'était qu'il avait été l'orthophoniste du roi - quoi que cela ait pu être - et je ne cherchais pas à en apprendre plus. Je ne posais jamais d'autres questions, pas plus que l'on ne me fournissait davantage d'informations. Je m'intéressais nettement plus à toutes les médailles et tous les boutons placés autour des photographies. J'adorais porter la ceinture et la casquette d'officier de mon père, et jouer à la guerre, les médailles fièrement épinglées sur ma chemise. Mais en grandissant, puis quand j'ai eu des enfants à mon tour, j'ai commencé à me demander qui avaient été mes ancêtres et d'où ils étaient venus. Ma curiosité fut encore attisée par l'intérêt croissant dont la généalogie s'était mise à faire l'objet. Étudiant l'arbre généalogique de la famille, j'ai découvert une arrière-grand-mère de Melbourne qui avait eu quatorze enfants, dont sept seulement avaient survécu au-delà de la petite enfance. J'appris également que mon arrière-arrière-grand-père av
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