Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Adieu Alexandrie: Récit

Grand Format - Stock - 461 pages - Publication: 01 mars 1996

Le Pitch

Adieu AlexandrieOncle fraudeur de haut vol, grands-mères autoritaires, mère ravissante et sourde, père capitaliste et coureur, tous artistes de la tractation commerciale ou amoureuse : quand on a ce genre de personnages dans sa famille, pourquoi en inventer d'autres, qui ne pourraient faire que pâle figure au milieu de ce clan flamboyant sur fond d'une Alexandrie de dolce vita, mythique, contrastée, odorante.Le lecteur, lui, est d'emblée happé par le clan, comme y sont agrégées une belle-fille ou une parente fuyant l'Allemagne nazie ; car il n'est de recours, face au monde hostile - des nazis aux nationalistes égyptiens - que la chaleur du giron sépharade.Non pas que le narrateur prenne fait et cause pour ses proches - son affection va plus au souvenir des êtres qu'aux êtres eux-mêmes : nostalgie d'un passé irrécupérable, enfoui dans une terre désormais étrangère, ville que l'on connaissait par coeur et que l'on ne peut plus parcourir ; mais bonheur, surtout, d'un bout à l'autre du livre, de l'évocation : image d'une mère fumant une cigarette sur l'impériale d'un tramway, souvenirs de cuisines, de terrasses, de plages, gardés intacts par une prose incomparable, qui semble avoir acquis la qualité de cet air particulier à l'Egypte dont les archéologues nous disent qu'il a préservé admirablement les papyrus et les peintures de l'Antiquité.Traduit de l'anglais par Bernard Turle
Détails du livre

Adieu Alexandrie: Récit

Grand Format - Stock - 461 pages - Publication: 01 mars 1996

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Le Pitch

Adieu AlexandrieOncle fraudeur de haut vol, grands-mères autoritaires, mère ravissante et sourde, père capitaliste et coureur, tous artistes de la tractation commerciale ou amoureuse : quand on a ce genre de personnages dans sa famille, pourquoi en inventer d'autres, qui ne pourraient faire que pâle figure au milieu de ce clan flamboyant sur fond d'une Alexandrie de dolce vita, mythique, contrastée, odorante.Le lecteur, lui, est d'emblée happé par le clan, comme y sont agrégées une belle-fille ou une parente fuyant l'Allemagne nazie ; car il n'est de recours, face au monde hostile - des nazis aux nationalistes égyptiens - que la chaleur du giron sépharade.Non pas que le narrateur prenne fait et cause pour ses proches - son affection va plus au souvenir des êtres qu'aux êtres eux-mêmes : nostalgie d'un passé irrécupérable, enfoui dans une terre désormais étrangère, ville que l'on connaissait par coeur et que l'on ne peut plus parcourir ; mais bonheur, surtout, d'un bout à l'autre du livre, de l'évocation : image d'une mère fumant une cigarette sur l'impériale d'un tramway, souvenirs de cuisines, de terrasses, de plages, gardés intacts par une prose incomparable, qui semble avoir acquis la qualité de cet air particulier à l'Egypte dont les archéologues nous disent qu'il a préservé admirablement les papyrus et les peintures de l'Antiquité.Traduit de l'anglais par Bernard Turle
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