Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

L'idole et l'abject

Broché - Bayard - 220 pages - Publication: 01 avril 1995

Audience
Adulte - Haut niveau

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Avec Le crépuscule de la raison, Jean Maisondieu invitait soignants et familles à retrouver la relation avec la personne au coeur du désordre que représente la démence. Avec Les alcooléens, il les engageait à réhabiliter les alcooliques comme sujets dignes de respect. Poursuivant sa réflexion sur la pratique des psychiatres, dont la sienne, il met en évidence la tentation permanente de nier l'altérité du sujet. Perçu comme abject, celui-ci ne peut que s'enfermer dans sa pathologie. Or, l'objection - réponse défensive à la peur de la maladie et de la mort - n'est jamais prise en compte par les cliniciens, pas plus qu'elle ne trouve sa place dans les théories, qui sont, depuis Freud, centrées sur le désir et la séduction. Faute d'être reconnue, elle empoisonne les relations avec les "malades" et les maintient de façon durable dans le désordre mental. À la manière provocatrice qu'on lui connaît, Jean Maisondieu plaide pour "une psychiatrie de l'abjection" qui permettrait à celui que l'on soigne d'être accepté comme un semblable en humanité afin que sa "guérison" ne soit pas un vœu pieux, mais un espoir raisonnable. Quatrième de couverture Avec Le crépuscule de la raison, Jean Maisondieu invitait soignants et familles à retrouver la relation avec la personne au coeur du désordre que représente la démence. Avec Les alcooléens, il les engageait à réhabiliter les alcooliques comme sujets dignes de respect. Poursuivant sa réflexion sur la pratique des psychiatres, dont la sienne, il met en évidence la tentation permanente de nier l'altérité du sujet. Perçu comme abject, celui-ci ne peut que s'enfermer dans sa pathologie. Or, l'objection - réponse défensive à la peur de la maladie et de la mort - n'est jamais prise en compte par les cliniciens, pas plus qu'elle ne trouve sa place dans les théories, qui sont, depuis Freud, centrées sur le désir et la séduction. Faute d'être reconnue, elle empoisonne les relations avec les " malades " et les maintient de façon durable dans le désordre mental. A la manière provocatrice qu'on lui connaît, Jean Maisondieu plaide pour " une psychiatrie de l'abjection " qui permettrait à celui que l'on soigne d'être accepté comme un semblable en humanité afin que sa " guérison " ne soit pas un voeu pieux, mais un espoir raisonnable.
Détails du livre

L'idole et l'abject

Broché - Bayard - 220 pages - Publication: 01 avril 1995

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Avec Le crépuscule de la raison, Jean Maisondieu invitait soignants et familles à retrouver la relation avec la personne au coeur du désordre que représente la démence. Avec Les alcooléens, il les engageait à réhabiliter les alcooliques comme sujets dignes de respect. Poursuivant sa réflexion sur la pratique des psychiatres, dont la sienne, il met en évidence la tentation permanente de nier l'altérité du sujet. Perçu comme abject, celui-ci ne peut que s'enfermer dans sa pathologie. Or, l'objection - réponse défensive à la peur de la maladie et de la mort - n'est jamais prise en compte par les cliniciens, pas plus qu'elle ne trouve sa place dans les théories, qui sont, depuis Freud, centrées sur le désir et la séduction. Faute d'être reconnue, elle empoisonne les relations avec les "malades" et les maintient de façon durable dans le désordre mental. À la manière provocatrice qu'on lui connaît, Jean Maisondieu plaide pour "une psychiatrie de l'abjection" qui permettrait à celui que l'on soigne d'être accepté comme un semblable en humanité afin que sa "guérison" ne soit pas un vœu pieux, mais un espoir raisonnable. Quatrième de couverture Avec Le crépuscule de la raison, Jean Maisondieu invitait soignants et familles à retrouver la relation avec la personne au coeur du désordre que représente la démence. Avec Les alcooléens, il les engageait à réhabiliter les alcooliques comme sujets dignes de respect. Poursuivant sa réflexion sur la pratique des psychiatres, dont la sienne, il met en évidence la tentation permanente de nier l'altérité du sujet. Perçu comme abject, celui-ci ne peut que s'enfermer dans sa pathologie. Or, l'objection - réponse défensive à la peur de la maladie et de la mort - n'est jamais prise en compte par les cliniciens, pas plus qu'elle ne trouve sa place dans les théories, qui sont, depuis Freud, centrées sur le désir et la séduction. Faute d'être reconnue, elle empoisonne les relations avec les " malades " et les maintient de façon durable dans le désordre mental. A la manière provocatrice qu'on lui connaît, Jean Maisondieu plaide pour " une psychiatrie de l'abjection " qui permettrait à celui que l'on soigne d'être accepté comme un semblable en humanité afin que sa " guérison " ne soit pas un voeu pieux, mais un espoir raisonnable.
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