Qualité


Notre programme qualité

Dans notre entrepôt à Beauvais, un contrôle qualité est effectué minutieusement sur tous nos livres par nos équipes compétentes avant la mise en vente pour déterminer l’état et vérifier qu’il respecte notre charte de qualité. Certains produits peuvent présenter des signes d’usure minimes, les livres comme les accessoires (CD, cahiers d’exercices…) mais seulement si cela ne nuit pas à la lecture. Si vous rencontrez le moindre problème concernant l’état des livres reçus, cliquez ici, notre équipe en charge du service client est à votre disposition et fait son possible pour vous aider.

Ce contrôle permet de déterminer une classification de nos livres détaillée ci-dessous.

Description de l’état d’un livre :

Très bon :

  • Livre en excellent état, presque comme neuf, il a été lu très peu de fois
  • Présence de quelques marques d’usure mais à peine perceptibles
  • Les pages ne sont ni écornées, ni annotées, ni tachées 
  • La couverture est en parfait état
  • Vous pouvez offrir ce livre à vos proches sans aucun doute !

Bon:

  • Livre déjà lu et usagé
  • Quelques légères marques d’usure (marque de crayon, page un peu écornée)
  • Aucune page n’est manquante
  • La couverture est intacte

Correct:

  • Livre usagé avec des marques d’usure visibles  (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Aucune page n’est manquante, marques d’usure sans nuire à la lecture (marques de crayon, pages écornées, petites annotations)
  • Les accessoires sont présents mais peuvent avoir des marques d’usure
  • La couverture de protection peut être manquante

Le capitalisme est-il moral ?

Promo

Broché - Albin Michel - 240 pages - Publication: 04 février 2004

Audience
Adulte - Haut niveau

Le Pitch

Présentation de l'éditeur Le capitalisme est-il moral ? Nul ne peut se soustraire à la question puisque aucun d'entre nous n'échappe ni à la morale ni au capitalisme. Par son travail, son épargne et sa consommation, chacun participe à un système économique que les uns justifient et que d'autres condamnent au nom de concepts éthiques. Deux démarches intellectuelles que le philosophe André Comte-Sponville passe au crible de l'analyse lucide. Une grille de lecture étonnamment claire, qui débouche sur un appel à la responsabilité. Amazon.fr Il est loin, désormais, le temps où l’on s’affrontait sur la question de la valeur du capitalisme : d’un côté, les marxistes, en rôle d’accusateurs, voyaient en lui un mode de production fondé sur l’exploitation de l’homme, engendrant certes des richesses mais toujours inégalement réparties ; de l’autre, les libéraux, dans une position plus cynique, tentaient de justifier l’inégalité en en faisant une des conditions de l’enrichissement des nations. Depuis l’effondrement de l’économie du bloc soviétique, le capitalisme paraît s’imposer comme un fait nécessaire et universel. L’heure est à ses louanges, au point que, par une sorte de réenchantement moral du monde, on irait presque jusqu’à prêter de la moralité à ses lois de fer : on parle d’ "éthique d’entreprise", on fait du travail salarié une valeur, on loue les vertus de l’homme d’entreprise, on fait de la mondialisation le salut des économies les plus faibles Il est opportun, pour sortir de cette confusion d’esprit, d’effectuer quelques clarifications conceptuelles. En rappelant, par exemple, qu’on ne saurait assimiler l’ordre de la moralité à celui de l’économique ou de la politique, car ni l’intérêt ni la loi ne sont le Bien. Ainsi André Comte-Sponville soutient, dans cette conférence adressée à des interlocuteurs du monde de l’entreprise, que le capitalisme n’est ni moral, ni immoral mais amoral : c’est un système de production qui a fait les preuves de son efficacité et que la politique doit encadrer et réguler afin de le conformer, autant que possible, aux exigences de l’éthique. Que chacun tienne sa place : que le chef d’entreprise ne prétende pas faire du social, qu’on n’attende pas de lui qu’il en fasse, qu’on cesse de tout attendre du politique… et chacun sera naturellement reconduit à l’évidence que les lieux d’exercice naturel de la morale sont la conscience et l’action individuelle. Il faut lire les philosophes pour s’en convaincre. André Comte-Sponville nous le rappelle ici à bon escient. --Emilio Balturi Biographie de l'auteur Philosophe humaniste, André Comte-Sponville est l'auteur de nombreux ouvrages qui, par leur clarté et leur pédagogie, mettent la philosophie à la portée de tous et connaissent un succès qui ne se dément pas. Chez Albin Michel, il est l'auteur, notamment, de L'Esprit de l'athéisme (2006), Le capitalisme est-il moral ? (2004, rééd. 2008), Le Goût de vivre (2010), Le Sexe ni la mort (2012), C'est chose tendre que la vie (Entretiens avec François L'Yvonnet, 2015).
Détails du livre

Le capitalisme est-il moral ?

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Broché - Albin Michel - 240 pages - Publication: 04 février 2004

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Le Pitch

Présentation de l'éditeur Le capitalisme est-il moral ? Nul ne peut se soustraire à la question puisque aucun d'entre nous n'échappe ni à la morale ni au capitalisme. Par son travail, son épargne et sa consommation, chacun participe à un système économique que les uns justifient et que d'autres condamnent au nom de concepts éthiques. Deux démarches intellectuelles que le philosophe André Comte-Sponville passe au crible de l'analyse lucide. Une grille de lecture étonnamment claire, qui débouche sur un appel à la responsabilité. Amazon.fr Il est loin, désormais, le temps où l’on s’affrontait sur la question de la valeur du capitalisme : d’un côté, les marxistes, en rôle d’accusateurs, voyaient en lui un mode de production fondé sur l’exploitation de l’homme, engendrant certes des richesses mais toujours inégalement réparties ; de l’autre, les libéraux, dans une position plus cynique, tentaient de justifier l’inégalité en en faisant une des conditions de l’enrichissement des nations. Depuis l’effondrement de l’économie du bloc soviétique, le capitalisme paraît s’imposer comme un fait nécessaire et universel. L’heure est à ses louanges, au point que, par une sorte de réenchantement moral du monde, on irait presque jusqu’à prêter de la moralité à ses lois de fer : on parle d’ "éthique d’entreprise", on fait du travail salarié une valeur, on loue les vertus de l’homme d’entreprise, on fait de la mondialisation le salut des économies les plus faibles Il est opportun, pour sortir de cette confusion d’esprit, d’effectuer quelques clarifications conceptuelles. En rappelant, par exemple, qu’on ne saurait assimiler l’ordre de la moralité à celui de l’économique ou de la politique, car ni l’intérêt ni la loi ne sont le Bien. Ainsi André Comte-Sponville soutient, dans cette conférence adressée à des interlocuteurs du monde de l’entreprise, que le capitalisme n’est ni moral, ni immoral mais amoral : c’est un système de production qui a fait les preuves de son efficacité et que la politique doit encadrer et réguler afin de le conformer, autant que possible, aux exigences de l’éthique. Que chacun tienne sa place : que le chef d’entreprise ne prétende pas faire du social, qu’on n’attende pas de lui qu’il en fasse, qu’on cesse de tout attendre du politique… et chacun sera naturellement reconduit à l’évidence que les lieux d’exercice naturel de la morale sont la conscience et l’action individuelle. Il faut lire les philosophes pour s’en convaincre. André Comte-Sponville nous le rappelle ici à bon escient. --Emilio Balturi Biographie de l'auteur Philosophe humaniste, André Comte-Sponville est l'auteur de nombreux ouvrages qui, par leur clarté et leur pédagogie, mettent la philosophie à la portée de tous et connaissent un succès qui ne se dément pas. Chez Albin Michel, il est l'auteur, notamment, de L'Esprit de l'athéisme (2006), Le capitalisme est-il moral ? (2004, rééd. 2008), Le Goût de vivre (2010), Le Sexe ni la mort (2012), C'est chose tendre que la vie (Entretiens avec François L'Yvonnet, 2015).
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